Fonction de juger et droits fondamentaux: transformation du contrôle juridictionnel dans les ordres juridiques américain et européens
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| 1. Verfasser: | |
|---|---|
| Format: | Abschlussarbeit Buch |
| Sprache: | French |
| Veröffentlicht: |
Bruxelles
Bruylant
1999
|
| Schriftenreihe: | Bibliothèque de la Faculté de Droit de l'Université Catholique de Louvain
29 |
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| Online-Zugang: | Inhaltsverzeichnis |
| Beschreibung: | XII, 1164 S. |
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BIBLIOTHEQUE DE LA FACULTE I)E DKOIT
DE L UNIVERSITE CATHOLIQUE DE LOUVAIN
XXIX
FONCTION DE JUGER ET DROITS FONDAMENTAUX TRANSFORMATION DU CONTROLE
JURIDICTIONNEL
DANS LES ORDRES JURIDIQUES AMERICAIN ET EUROPEENS
PAR
OLIVIER DE SCHUTTER
BRUYLANT
BRUXELLES
19 9 9
IMAGE 2
TABLE DES MATIERES
INTRODUCTION GENERATE
PROPORTIONNALITE, PESEE DES INTERETS, DEFORMALISATION DU DROIT, 5 - LES
INTERROGATIONS SUSCITEES PAR LE RECOURS A LA PONDERATION DES INTERETS,
10 - DEUX CONCEPTIONS DE LA BALANCE DES INTERETS : CONCEPTION CLASSIQUE
ET CONCEPTION DELIBERATIVE, 14 - LA PLURALITE DES OBJETS DU LITIGE AU
CONTENTIEUX DES DROITS : DROIT SUBJECTIF, OBLIGATION IMPOSEE PAR LE
DROIT OBJECTIF, PRECEDENT JUDICIAIRE, 18 - EFFECTIVITE DES DROITS ET
EXTENSION DES COMPETENCES DES JURIDICTIONS CHARGEES DEN GARANTIR LE
RESPECT, 24 -
LA RATIONALITE CONTEXTUELLE, 27 - PRESENTATION DES PARTIES DE L ETUDE,
30
LIVRE PREMIER LES EFFECTIVITES
INTRODUCTION AU LIVRE PREMIER, 37
CHAPITRE I ER. - L EKFECTIVITE IXANS L URDRE JURJDIQUE AMFCRLCAJN
INTRODUCTION, 43
1. L APPLICABILITY DES DROITS CONSTITUTIONNELLEMENT GARANTIS AUX
RELATIONS INTERINDIVI- DUELLES : LA DOCTRINE DE LA STATE ACTION », 44
- A) PRESENTATION DE LA DOCTRINE, 48 - LE CRITERE DE L EXCLUSIVE
GOVERNMENTAL FUNCTION », 49 - LE CRITERE DES LIENS INSTI TUTIONNELS
SUFFISANTS AVEC 1 ETAT, 51 - B) LE FORMALISME DE LA DOCTRINE DE LA
STATE
ACTION » ET SES LIMITES, 56 - L EFFET INCITATIF DES CRITERES DE LA
STATE ACTION », 58 - LA NATURAL SYMPATHY » ENVERS CERTAINES
SITUATIONS, 60 - STATE ACTION » ET OBLIGA- TIONS POSITIVES », 62 LA
TRANSFORMATION HISTORIQUE DE LA DOCTRINE DE LA STATE ACTION », 65 - C)
LES ALTERNATIVES AU FORMALISME DE LA DOCTRINE CLASSIQUE, 68 L ANALYSE
DIFFERENTIELLE DE LA DOCTRINE DE LA STATE ACTION » EN FONCTION DE
L IDEN- TITE DU DROIT EN CAUSE, 70 - L ABSORPTION DE LA DOCTRINE DE LA
STATE ACTION » DANS
L EPREUVE DE LA PESEE DES INTERETS, 71 - PORTEE DE L ABSORPTION DE LA
QUESTION DE LA STATE ACTION » DANS L EPREUVE DE LA PESEE DES INTERETS
ET DE LA CONTEXTUALISATION QUE CELA IMPLIQUE, 81
2. LE DE PLACEMENT DU DROIT .SUBJECTIF REVENDIQUE AU REMEDE JUDICIAIRE
OCTROYE : LA QUESTION DE LA PUBLIC LAW LITIGATION », 84 - A) LA NOTION
DE PUBLIC LAW LITIGATION », 86 B) DU DROIT SUBJECTIF VIOLE AU REMEDE
JUDICIAIRE OCTROYE, 91 - LA CAPACITE DU JUGE A EXCEDER L ECHELLE DU
LITIGE INTERINDIVIDUEL : LA QUESTION DE LA POLYCENTRICITE DE
L ADJUDICATION, 91 - LA TRANSFORMATION DE LA FONCTION DE JUGER ET LES
QUESTIONS LIEES A LA REPARTITION HORIZONTALE ET VERTICALE DES POUVOIRS,
95 - L OUVERTURE DE LA DEFINITION DU DROIT SUBJECTIF, 101 - LE PRINCIPE
DE LA SUBSIDIARITY DE L INTERVENTION DU JUGE FEDERAL, 103 - LE PRINCIPE
DE LA PROPORTIONNALITE DE L INTERVENTION DU JUGE
IMAGE 3
1154 TABLE DES MATIERES
FEDERAL, 107 LA FORCE DE PRECEDENT LIEE AU REMEDE ACCORDE EN CAS DE
VIOLATION DU
DROIT, 111
3. CONCLUSION, 116
CHAPITRE II. - L EFKEOTIVITE DE LA RE(JLE DIRECTEMENT APPLICABLE
1. LA NOTION D APPLICABILITY DIRECTE, 119
2. L APPLICABILITY DIRECTE ET LA RELATIVITE DES ORDRES JURIDIQUES, 123
L APPLICABILITY DIRECTE AU REGARD DE LA SCIENCE DU DROIT ET AU REGARD DE
L ORDRE JURIDIQUE AUTO- NOME, 126
3. LA SOLUTION DE CETTE RELATIVITE PAR LE, CHOIX D UN ME CANISME
INTERNATIONAL DE CONTROLE, 129
4. L EFFET D ENTRAINEMENT DE LA REGIE INTERNATIONALE DIRECTEMENT
APPLICABLE, 132 - L AFFIR- MATION DE 1 APPLICABILITY DIRECTE PAR LE JUGE
INTERNATIONAL, 132 - L EFFET D ENTRAI- NEMENT LIE A L AFFIRMATION PAR LE
JUGE INTERNATIONAL DE 1 APPLICABILITY DIRECTE, 133 *5. OBLIGATION DE
RESULTAT » ET DE E COMPORTEMENT », 136 - DIFFICULTY DE LA TRANSPOSITION
AU DROIT INTERNATIONAL DE LA DISTINCTION CIVILISTE ENTRE 1 OBLIGATION DE
MOYENS ET L OBLIGATION DE RESULTAT, 136 OBLIGATION DE RESULTAT ET
OBLIGATION DE COMPORTE- MENT DETERMINE », 137 DEGRE DE PRECISION
ATTEINT PAR LE DROIT INTERNATIONAL DANS LA DEFINITION DE L OBLIGATION
ETATIQUE, 140
6. OBLIGATIONS * POSITIVES » ET NEGATIVES », 141 - A) LA JURIDICTION
INTERNATIONALE CLASSI- QUE, 143 - B) LA JURIDICTION INTERNATIONALE NON
CLASSIQUE, 147 - C) LA JURIDICTION NATIONALE, 151 POSITION DE LA
QUESTION, 151 - L HYPOTHESE D UN DROIT COM- MUN », 153 - CONSEQUENCES
POUR L APPLICATION DIRECTE DE LA REGIE INTERNATIONALE PAR LE JUGE
INTERNE, 160
7. CONCLUSION, 164
CHAPITRE III. - LEFFECTIVITE DANS L ORDRE JURIDIQUE COMMUNAUTAIRE
/. LA QUESTION DE L EFFECTIVITE DES DROITS FONDAMENTAUX EN DROIT
COMMUNAUTAIRE, 165 - LA
DIVERSITE DES STATUTS DES DROITS FONDAMENTAUX DANS L ORDRE JURIDIQUE
COMMUNAU- TAIRE, 166 - EFFECTIVITE, APPLICABILITY DIRECTE, ET AUTONOMIE
PROCEDURALE DES ETATS MEMBRES, 171 - PRESENTATION DU CHAPITRE, 176
2. L EXIGENCE DUNE PROTECTION JURIDICTIONNELLE EFFICACE DES DROITS
INDIVIDUELS ATTRIBUE S PAR LE DROIT COMMUNAUTAIRE AYANT EFFET DIRECT,
176 - A) L EXEMPLE DES SANCTIONS NATIONALES POUR VIOLATION DU DROIT
COMMUNAUTAIRE. 179 - B) L EXEMPLE DE LA PRO- TECTION JURIDICTIONNELLE
PROVISOIRE, 185 LA PROTECTION PROVISOIRE CONTRE L APPLICA-
TION DU DROIT NATIONAL INCOMPATIBLE AVEC LE DROIT COMMUNAUTAIRE, 186 -
LA PRO- TECTION PROVISOIRE CONTRE LAPPLICATION DES MESURES NATIONALES
D EXECUTION DU DROIT COMMUNAUTAIRE, 193
*3. LA POSITION SPECIFIQUE DE LA DIRECTIVE, 199 - PRESENTATION DE LA
PROBLEMATIQUE, 199 - A) INVOCABILITE DE LA DIRECTIVE, 203 - LE PRINCIPE
DE 1 INVOCABILITE DE LA DIRECTIVE ENVERS LES AUTORITES PUBLIQUES. 203
L IMPRATICABILITE DE LA DOCTRINE ACTUELLE DE LA ( OUR RELATIVE A
LINVOCABILITE DES DIRECTIVES, 206 LA DIFFICULTE DE JUSTIFIER LA
IMAGE 4
TABLE DES MATIERES 1155
DOCTRINE ACTUELLE DE LA COUR RELATIVE A L INVOEABILITE DES DIRECTIVES,
211 - LES ANO- MALIES LIEES A LA DOCTRINE ACTUELLE DE LA COUR RELATIVE A
LINVOCABILITE DES DIREC- TIVES, 213 - B) LA DOCTRINE DE INTERPRETATION
CONFORME, 218 - C) L INVOCABILITE DE LA DIRECTIVE PAR VOIE DE
SUBSTITUTION, 222
4. LA RESPONSABILITE DE VETAT POUR LE PREJUDICE CAUSE PAR LA VIOLATION
DU DROIT COMMU- NAUTAIRE, 230 - A) DESCRIPTION DU REGIME DE LA
RESPONSABILITE DE L ETAT POUR LE PRE- JUDICE CAUSE PAR LA VIOLATION DU
DROIT COMMUNAUTAIRE, 231 - B) REPARTITION DES TACHES ENTRE LE DROIT
COMMUNAUTAIRE ET LE DROIT NATIONAL, 236 - C) FONDEMENT DE
LA RESPONSABILITE DES ETATS MEMBRES POUR VIOLATION DU DROIT
COMMUNAUTAIRE, 241
5. L EFFECTIVITE DES DROITS GARANTIS DANS I ORDRE JURIDIQUE
COMMUNAUTAIRE, 247 - 1. LES SOURCES NORMATIVES DE L EFFECTIVITE, 248 -
A) L EFFET UTILE DE L APPLICABILITE DIRECTE, 248 - B) LE PRINCIPE DE
COOPERATION, 249 - C) LE DROIT A UN CONTROLE JURI- DICTIONNEL EFFECTIF,
251 - LA COMPLEMENTARITY DES SOURCES NORMATIVES, 256 - 2. LES
CONSEQUENCES DE L EFFECTIVITE, 256 - CREATION DE NOUVELLES VOIES DE
RECOURS DEVANT LES JURIDICTIONS NATIONALES ET UTILISATION DES VOIES DE
RECOURS EXISTANTES, 257 ASPECTS SUBSTANTIELS ET ASPECTS PROCEDURAUX D UN
DROIT ATTRIBUE PAR L ORDRE JURIDI-
QUE COMMUNAUTAIRE, 262 - 3. LE PROBLEME DE LA DIFFUSION DU DROIT
COMMUNAUTAIRE DANS LE DROIT NATIONAL, 263
CHAPITRE IV. - L EFFECTIVITE DANS L ORDRE JURIDIQUE DE LA CONVENTION
EUROPEENNE DES DROITS DE L H O M ME
1. LA QUESTION DE L EFFECTIVITE DANS LA CONVENTION EUROPE ENNE DES
DROITS DE
I HOMME, 269 - NATURE DE LA REGIE DE L EPUISEMENT PREALABLE DES VOIES DE
RECOURS INTERNES, 270 - EPUISEMENT DES VOIES DE RECOURS INTERNES ET
OBLIGATION DE PREVEN- TION, 273 - NOTION D EFFECTIVITE POSTULEE DANS LA
CONVENTION EUROPEENNE DES DROITS DE I HOMME, 277
2. L APPLICABILITY DE LA CONVENTION EUROPE ENNE DES DROITS DE I HOMME
DANS LES ORDRES JURIDIQUES INTERNES DES ETATS PARTIES, 279 A)
APPLICABILITY DIRECTE ET APPLICABILITY INDIRECTE, 281 L EXEMPLE DU
STATUT RECONNU A LA CONVENTION EUROPEENNE DES DROITS DE I HOMME PAR LES
JURIDICTIONS DU ROYAUME-UNI, 282 L INTERPRETATION
CONFORME A LA CONVENTION DU DROIT INTERNE, 283 - LE DEVELOPPEMENT DE LA
COMMON LAW EN CONFORMITE AVEC LA CONVENTION EUROPEENNE DES DROITS DE
I HOMME, 286 L EMERGENCE DE LA PROPORTIONNALITE, 291 - B) L EXIGENCE DUN
RECOURS EFFEC- TIF, 295 - DROIT A UN RECOURS EFFECTIF ET APPLICABILITY
DIRECTE, 295 - LA SUPERIORITY DE LA DOCTRINE DE L APPLICABILITE DIRECTE
SUR LES AUTRES FACONS DE RESPECTER L EXI- GENCE DU RECOURS EFFECTIF, 299
3. L APPLICABILITE DE LA CONVENTION DANS LES RAPPORTS INTERINDIVIDUELS,
300 A) POSITION DE LA QUESTION, 300 B) L APPLICABILITE DE LA CONVENTION
AUX RAPPORTS INTERINDIVI- DUELS : REVOLUTION DE LA JURISPRUDENCE
EUROPEENNE, 304 - OBLIGATIONS POSITIVES DUES PAR L ETAT, 309 -
OBLIGATION DE L ETAT DE DEFINIR AUX RAPPORTS PRIVES UN CADRE JURIDIQUE
DE NATURE A EVITER LES ATTEINTES AUX DROITS QUI Y ONT LEUR SOURCE, 313 -
DEFINITION DE L IMPUTABILITE A L ETAT DE CERTAINES SITUATIONS A PARTIR
DE LA NOTION DE JURIDICTION », 315 - RESPONSABILITE DE L ETAT EN
PRESENCE D UN ELE- MENT D EXTRANEITE DANS LA CHAINE CAUSALE AYANT
CONDUIT A LA SITUATION LITI- GIEUSE, 318 RESPONSABILITE DE L ETAT DANS
LA CREATION DU CONTEXTE DARRIERE-PLAN
IMAGE 5
1156 TABLE DES MATIERES
DE LA SITUATION LITIGIEUSE, 323 EFFECTIVITE ET EXTENSION DE LA
RESPONSABILITE DE L KTAT, 324 O) L OBLIGATION DE PREVENTION D UN
EVENEMENT DONNE, 326 - DELIT D EVENEMENT ET OBLIGATION DE PREVENTION,
326 - OBLIGATION DE PREVENTION ET TEM- PUS DELICTI COM MISSI, 329 - LA
REALITE DU RISQUE COMME MESURE DE L OBLIGATION ETA- TIQUE ET LINDEXATION
DU DROIT SUR LE FAIT, 330 - D) L APPLICABILITE DE LA CONVENTION
AUX LITIGES INTERINDIVIDUELS : CONSEQUENCES DE REVOLUTION
JURISPRUDENTIELLE, 332 IMPUTABILITE A L ETAT ET ETENDUE DE SES
OBLIGATIONS INTERNATIONALES, 332 - IMPUTA- BILITE A L ETAT DE
COMPORTEMENTS DE PARTICULIERS, 335 - OBLIGATION DE PREVENTION ET
PREVISIBILITE, 337 OBLIGATION DE PREVENTION ET OBLIGATION DE PRESTATION,
341
ETENDUE DES OBLIGATIONS INTERNATIONALES DE L ETAT VIS-A-VIS DES
COMPORTEMENTS DES PARTICULIERS, 342 PRESOMPTIONS S ATTACHANT A LA
CIRCONSTANCE QUE LA VIOLATION DENONCEE A SA SOURCE DIRECTE DANS LES
RELATIONS INTERINDIVIDUELLES, 343 - LA MUTA- TION QUE SUBIT LA QUESTION
DE LA VIOLATION AYANT SA SOURCE DANS LES RAPPORTS INTER- INDIVIDUELS
LORSQU ELLE EST POSEE DANS L ORDRE JURIDIQUE INTERNATIONAL, 349 - DETER-
MINATION DU POIDS DES INTERETS EN PRESENCE, 350 - IDENTIFICATION DES
INTERETS EN PRESENCE, 353
4. EVALUATION DES OBLIGATIONS POSITIVES IMPOSE ES A L ETAT PARTIE A LA
CONVENTION EURO- PE ENNE DES DROITS DE I HOMME, 357 - A) LE REGIME
JURIDIQUE DES OBLIGATIONS POSI- TIVES, 357 - L HYPOTHESE DUN REGIME
UNIFORME AUX OBLIGATIONS NEGATIVES ET POSI- TIVES, 358 L UTILITE D UN
REGIME UNIFORME AUX OBLIGATIONS NEGATIVES ET POSI-
TIVES, 360 - B) DISTINCTION DE L OBLIGATION POSITIVE ET DE L OBLIGATION
NEGA- TIVE, 362 - LIEN ENTRE LA NATURE DE LA REGIE ET L EPUISEMENT DES
VOIES DE RECOURS INTERNES ET LA NATURE DE L OBLIGATION IMPOSEE A L ETAT,
363 - CRITERE DE DISTINCTION ENTRE LOBLIGATION NEGATIVE » ET
L OBLIGATION POSITIVE », 367 - CONSEQUENCES DE LA DISTINCTION POUR
L OPERATION DE PESEE DES INTERETS, 370 - IDENTIFICATION DES OBLIGA-
TIONS POSITIVES, 371 L EXECUTION DES ARRETS DE EONDAMNATION IMPOSANT DES
OBLI- GATIONS POSITIVES A 1 ETAT, 373 - LA TYPOLOGIE DES RELATIONS ENTRE
VIOLATION INDIVI- DUELLE ET MESURE GENERALE, 375 - DU CONSTAT DE
VIOLATION CONCRETE A L AFFIRMATION
DE LA NECESSITE DE LADOPTION DE MESURES GENERATES, 382 - DE
L AFFIRMATION DE LA NECESSITE DE 1 ADOPTION DE MESURES GENERATES A
L IDENTIFICATION DE CES MESURES, 384
*5. CONCLUSION, 391
DEUXIEME LIVRE LA PLURALITE DES OBJETS DU LITIGE
INTRODUCTION AU DEUXIEME LIVRE, 399
CHAPITRE V. - LE PRECEDENT JUDICIAIRE OBJET DU LITIGE
/. LE PRECEDENT JUDICIAIRE : LA THE ORIE DE I ELABORATION
JURISPRUDENTIELLE DU DROIT, 403 - A) LA TECHNIQUE DU PRECEDENT
JUDICIAIRE, 404 B) FORCE NORMATIVE DU PRECEDENT JUDICIAIRE. 413 -
NECESSITE DE JUSTIFIER LA FORCE NORMATIVE RECONNUE AU PRECEDENT
JUDICIAIRE. 413 LE PRECEDENT COMME DEDUIT DE LEXIGENCE D EGALITE, 415 -
LE PRE-
CEDENT COMME GARANTIE DE SECURITE JURIDIQUE. 417 - ARRIERE-PLAN DE LA
DOCTRINE DU STARE DECISIS, 420
IMAGE 6
TABLE DES MATIERES 1157
2. LE PRECEDENT JUDICIAIRE : LA PRATIQUE DES JURIDICTIONS ANALYSE ES,
427 - 2.1. LE LIEN QUE CRE E LE PRECEDENT JUDICIAIRE ENTRE JURIDICTIONS
APPARTENANT A DES ORDRES JURIDIQUES AUTONOMES, 430 - A) LA FONCTION DU
PRECEDENT JUDICIAIRE DANS LE CADRE DU RENVOI PREJUDICIEL EN
INTERPRETATION DU DROIT COMMUNAUTAIRE, 430 - LA DISTINCTION ENTRE
L APPLICATION ET L INTERPRETATION, 431 - L AUTORITE DE LA CHOSE
INTERPRETEE SUR REN-
VOI PREJUDICIEL EN INTERPRETATION, 433 - POSITION DE LA COUR DE JUSTICE
DES C.E. SUR L EFFET ERGA OMNES DE L ARRET RENDU SUR RENVOI PREJUDICIEL
EN INTERPRETATION, 439 *- STARE DECISIS ET EFFET DE L ARRET RENDU SUR
RENVOI PREJUDICIEL EN INTERPRETATION, 441 - B) LA FONCTION DU PRECEDENT
JUDICIAIRE DANS LA CADRE DE LA DETERMINATION DE LA RES- PONSABILITE
INTERNATIONALE DES ETATS PARTIES A LA CONVENTION EUROPEENNE DES DROITS
DE THOMME, 442 - L EXEMPLE DES AFFAIRES LE COMPTE (1981-1983), 443 -
ENJEUX THEORIQUES DE LA QUESTION, 446 - FORCE NORMATIVE DE
L INTERPRETATION JURISPRUDEN- TIELLE DANS L ORDRE JURIDIQUE
INTERNATIONAL ET OBLIGATION DU JUGE INTERNE, 449 - LA FONCTION DE LA
DOCTRINE DU STARE DECISIS DANS LES RAPPORTS ENTRE ORDRES JURIDIQUES
AUTONOMES, 452 - 2.2. LA DOCTRINE DU STARE DECISIS DANS LA DIMENSION
HORIZON- TALE, 454 - A) LA COUR SUPREME DES ETATS-UNIS, 456 - L EPREUVE
DE LA DOCTRINE DU STARE DECISIS : LE PRECEDENT MIS EN BALANCE, 456 - LA
REFLEXIVITE DE LA MISE A
L EPREUVE DE LA DOCTRINE, 459 - LA MANIPULATION DU PRECEDENT A PARTIR DE
SON ANTI- NOMIE, 464 - B) LA COUR DE JUSTICE DES C.E., 467 - STARE
DECISIS ET EFFET DES ARRETS RENDUS SUR RENVOI PREJUDICIEL EN
INTERPRETATION DANS LA JURISPRUDENCE COMMUNAU-
TAIRE, 467 LE REVIREMENT DE JURISPRUDENCE IMPLICITE, 470 LE REVIREMENT
DE JURISPRUDENCE EXPLICITE, 472 - C) LA COUR EUROPEENNE DES DROITS DE
I HOMME, 476 - ABSENCE D UNE THEORIE DU PRECEDENT DANS LA JURISPRUDENCE
DE LA COUR EUROPEENNE DES DROITS DE I HOMME, 476 - ELEMENTS PERTINENTS
POUR L ELABORATION DUNE THEORIE DU PRECEDENT JUDICIAIRE, 480 -
SIMULTANEITY ET SEQUENTIALITE DE LA BALANCE DES INTE-
RETS EN JEU DANS LE REVIREMENT DE JURISPRUDENCE, 483 FONCTION D UNE
THEORIE DU REVIREMENT DE JURISPRUDENCE, 484
3. CONCLUSIONS, 486
CHAPITRE VI. - LE DROIT INTERTEMPOREL ET LA PLURALITE DES OBJETS DU
LITIGE
1. LES DEUX NIVEAUX DU LIEN ENTRE LE DROIT INTERTEMPOREL ET LA PLURALITE
DES OBJETS DU
LITIGE, 489 - A) LE PRECEDENT JUDICIAIRE COMME NOUVELLE NORME JURIDIQUE
(PREMIER NIVEAU), 490 - LA CONCEPTION DECLARATOIRE DU JUGEMENT JURIDIQUE
ET LA REPARTITION DES TACHES ENTRE LE JUGE ET LE LEGISLATEUR, 490 -
PRESUPPOSES THEORIQUES ET AVAN-
TAGES PRATIQUES DE LA RETROACTIVITE ORDINAIRE DU JUGEMENT, 492 - POIDS
DES ARGU- MENTS FAVORABLES A LA RETROACTIVITE ORDINAIRE DU JUGEMENT
JURIDIQUE, 493 - B) LA NATURE DU CONTROLE JUDICIAIRE (SECOND NIVEAU),
495 - LES EFFETS DANS LE TEMPS DES ARRETS RENDUS AU CONTENTIEUX DE
L ANNULATION OU DE LA VALIDITE, 495 - DIFFICULTES LIEES A LA LIMITATION
DE L EFFET DANS LE TEMPS DES ARRETS RENDUS AU CONTENTIEUX DE
L ANNULATION OU DE LA VALIDITE, 498 - OBJECTIVATION DU CONTENTIEUX DES
DROITS ET EMERGENCE DE LA QUESTION DE DROIT INTERTEMPOREL, 500 - C) LE
LIEN ENTRE LES DEUX NIVEAUX, 501
2. RETROACTIVITE, APPLICABILITY IMMEDIATE, PROSPECTIVITE, 503 - A) LA
THEORIE DES DROITS ACQUIS, 504 - PRINCIPE DE LA THEORIE DES DROITS
ACQUIS, 504 - SOURCES DE L ECHEC DE LA THEORIE DES DROITS ACQUIS, 506 -
B) LES SOLUTIONS AU CONFLIT DE JURISPRUDENCES
IMAGE 7
1158 TABLE DES MATIERES
SUCCESSIVES, 507 - LA QUESTION DE LA NOUVEAUTE» DE L INTERPRETATION
JUDI- CIAIRE, 507 - SOLUTIONS AU CONFLIT DE JURISPRUDENCES SUCCESSIVES,
510 - 1. RETROACTI VITE ABSOLUE, 511 - 2. RETROACTIVITE ORDINAIRE, 513 -
3. PROSPECTIVITE ABSO-
LUE, 5 1 7 - 4. PROSPECTIVITE SELECTIVE, 522 - 5. PROSPECTIVITE
ORDINAIRE, 535
3. LA RETROACTIVITE TEMPEREE PAR LA BALANCE DES INTERETS, 536 LA
RETROACTIVITE TEMPEREE DANS LE DROIT COMMUNAUTAIRE, 536 - LA
RETROACTIVITE TEMPEREE DANS LA JURISPRU DENCE DE LA COUR SUPREME DES
ETATS-UNIS, 540 - LA DIVERSITE DES SITUATIONS OU SE POSE LA QUESTION DE
L APPLICABILITE TEMPORELLE DE LA DECISION DE JUSTICE, 544 - LES
DIFFICULTES LIEES A IDENTIFICATION DE L INTERPRETATION JUDICIAIRE
NOUVELLE », 546 L ADAPTATION DU DROIT AUX EVOLUTIONS DE LA MATIERE QU IL
REGIT, 552 - LA REMONTEE A L INFINI VERS LES NORMES D APPLICABILITE, 555
- LA RETROACTIVITE TEMPEREE PAR LA PESEE DES INTERETS ET LES DEUX
NIVEAUX AUXQUELS SE POSE LA QUESTION DE L APPLICABI-
LITE TEMPORELLE, 558
4. LE LIEN ENTRE I APPLICABILITY TEMPORELLE DE LA JURISPRUDENCE NOUVELLE
(PREMIER NIVEAU) ET LA NATURE DU CONTROLE JURIDICTIONNEL (SECOND NIVEAU)
, 560 - LA DISTINCTION ENTRE FAITS INSTANTANES, SUCCESSIFS ET CONTINUS,
562 - INUTILITE DE LA NOTION DE FAIT COM- PLEXE », 564 - OBLIGATION DE
PREVENTION ET EXTENSION TEMPORELLE DE L ILLICEITE, 567
FAITS INSTANTANES, SUCCESSIFS ET CONTINUS, ET PASSAGE D UN REGIME
JURIDIQUE A L AUTRE, 568 - ILLUSTRATIONS DANS L ORDRE JURIDIQUE DE LA
CONVENTION EUROPEENNE DES DROITS DE I HOMME, 573 - CRITERES DE
DISTINCTION ENTRE LA VIOLATION CONTINUE ET LA VIOLATION INSTANTANEE A
EFFETS CONTINUS, 576 EFFACEMENT DE LA DISTINCTION ENTRE
VIOLATION CONTINUE ET VIOLATION INSTANTANEE A EFFETS CONTINUS DANS LA
JURISPRUDENCE DE LA COUR EUROPEENNE DES DROITS DE I HOMME, 580 - ROLE DE
LA DISTINCTION ENTRE VIOLATION CONTINUE ET VIOLATION INSTANTANEE A
EFFETS CONTINUS DANS LA VERIFICATION DE LA CONDITION DE L EPUISEMENT
PREALABLE DES VOIES DE RECOURS INTERNES, 584 - INS- TANTANEITE ET
CONTINUITY, PRODUITS DUNE DETERMINATION PAR L ORDRE JURIDIQUE POSI- TIF,
585
5. CONCLUSION, 586
TROISIEME LIVRE EFFECTIVITE ET INTERET A AGIR EN JUSTICE
INTRODUCTION AU TROISIEME LIVRE, 593
CHAPITRE VII. - INTERETS INDIVIDUELS ET COLLECTIFS
1. INTRODUCTION, 597 LE DILEMME DE L INTERET COMME CONDITION DU DROIT
D ACTION EN
JUSTICE AU CONTENTIEUX DES DROITS : RELEGATION A L ORDRE DU FAIT OU
ATTRACTION PAR LE DROIT SUBJECTIF, 597 LE CONCEPT D AUTONOMIE ENTRE
L INTERET ET LE DROIT SUBJEC- TIF, 599 LES DEUX FIGURES DE L INTERET
COLLECTIF ET LA CONTINUITY ENTRE ELLES, 600 INTERET A AGIR ET
PREFERENCES INDIVIDUELLES DU DEMANDEUR EN JUSTICE DANS LA FORMU- LATION
DE L OBJET DE LA DEMANDE, 602 - LIEN ENTRE CES IDEES ET PRESENTATION DU
CHA- PITRE, 606
2. L INTERET INDIVIDUEL COMME CONDITION DU DROIT D ACTION EN JUSTICE,
609 - A) CARACTERE COMPOSITE DE L INTERET ET RAPPORT A L AUTONOMIE, 609
B) PERSPECTIVES INTERNE ET
IMAGE 8
TABLE DES MATIERES 1159
EXTERNE DE L INTERET A AGIR AU CONTENTIEUX DES DROITS, 611 - C) LA
PERSPECTIVE DU LITIGE INDIVIDUEL : LE LIEN ENTRE L INTERET A AGIR EN
JUSTICE ET LE DROIT SUBJECTIF REVEN- DIQUE, 614 - LA GARANTIE DU DROIT
SUBJECTIF, CONSIDERED COMME BIEN COLLECTIF, 615 LE CONCEPT D AUTONOMIE
AU FONDEMENT DES DROITS DE LA SOCIETE LIBERALE ET LE LIEN
QU IL PERMET DE CREER ENTRE L INTERET A AGIR EN JUSTICE ET LE DROIT
SUBJECTIF, 618 LE CONCEPT D AUTONOMIE ET LA NATURE DES RELATIONS ENTRE
LE TITULAIRE DU DROIT ET LA PERSONNE INTERESSEE A SON RESPECT, 624
L AUTONOMIE DANS I APPRECIATION DE L INTE- RET COLLECTIF AU CONTENTIEUX
DES DROITS, 627
3. INTERET COLLECTIF ET FORMES D ACTION COLLECTIVE EN JUSTICE, 628 - A)
LA TYPOLOGIE DES ACTIONS COLLECTIVES EN JUSTICE, 629 - ACTIONS
COLLECTIVES ET NOTIONS CONCURRENTES D INTERET COLLECTIF, 629 - ACTIONS
COLLECTIVES ET OBJETS DU LITIGE, 631 - CRITERES DE DISTINCTION ENTRE LES
DIVERSES FORMES D ACTION COLLECTIVE EN JUSTICE, 633 - GROUPE-
MENTS DOTES OU NON DE LA PERSONNALITE JURIDIQUE, 635 - RELATIVITE DE LA
TYPOLOGIE DES ACTIONS COLLECTIVES EN JUSTICE, 637 - B) DIALECTIQUE ENTRE
LES INTERETS INDIVI- DUELS ET L INTERET COLLECTIF, 638 PREMIERE SOURCE
DE LA DIALECTIQUE ENTRE LES INTE- RETS INDIVIDUELS ET L INTERET
COLLECTIF : PROBLEMES LIES A L ACQUISITION DU BIEN COLLEC-
TIF, 640 - FONCTION DE JUGER ET INTERETS DIFFUS ET FRAGMENTES DE LA
MASSE, 643 - L ESPACE ENTRE INTERETS INDIVIDUELS ET INTERETS COLLECTIFS
ET INDECIDABILITE, 646 - INTERET COLLECTIF ET TRANSFORMATION DES
PREFERENCES INDIVIDUELLES, 649 - TRANSPOSI- TION DE CES ENSEIGNEMENTS
DANS LE CHAMP JURIDIQUE, 650 - DEUXIEME SOURCE DE LA DIALECTIQUE ENTRE
LES INTERETS INDIVIDUELS ET L INTERET COLLECTIF: INDETERMINATION DU
PASSAGE DES PREFERENCES INDIVIDUELLES AU CHOIX COLLECTIF, 653 -
CONDITIONS DU CONFLIT ENTRE INTERETS INDIVIDUELS ET INTERET COLLECTIF AU
CONTENTIEUX DES DROITS, 654 - CONCLUSION : L AUTONOMIE RELATIVE DE
L INTERET COLLECTIF PAR RAPPORT A LA SOMME DES INTERETS INDIVIDUELS, 657
4. LA QUESTION DE (ACTION D INTERET COLLECTIF, 658 - A) NOTION D INTERET
COLLECTIF EN CAUSE DANS L ACTION D INTERET COLLECTIF, 658 - B)
JUSTIFICATIONS DE LA RECEVABILITE DE FAC- TION D INTERET COLLECTIF, 661
- PREMIERE JUSTIFICATION DE LA RECEVABILITE DE L ACTION D INTERET
COLLECTIF : L INTERET COLLECTIF COMME INTERET PROPRE DU GROUPEMENT, 661
- DEUXIEME JUSTIFICATION DE LA RECEVABILITE DE L ACTION D INTERET
COLLECTIF : FONDATION
DE L ACTION D INTERET COLLECTIF SUR LES LIBERTES D EXPRESSION ET
D ASSOCIATION ET SEPA- RATION DE L INTERET COLLECTIF ET DE LA SOMME DES
INTERETS INDIVIDUELS, 663 - TROI- SIEME JUSTIFICATION DE LA RECEVABILITE
DE FACTION D INTERET COLLECTIF : LINTERET COLLEC- TIF, TRACE DE LA
SUBSTITUTION PROEESSUELLE DU GROUPEMENT AUX PERSONNES DONT LES DROITS OU
LES INTERETS SONT EN CAUSE, 669 - QUATRIEME JUSTIFICATION DE LA
RECEVABI- LITE DE FACTION D INTERET COLLECTIF : L INTERET COLLECTIF,
AUTORISANT UNE FORME D ACTION PUBLIQUE DELEGUEE, 672 CONCLUSION, 675 -
C) GROUPEMENTS INTERESSES, QUASI-INTE- RESSES, DESINTERESSES, 676 -
PRESENTATION DE LA TYPOLOGIE, 676 - RAPPORT DE CETTE TYPOLOGIE DES
GROUPEMENTS POUR I APPRECIATION DE LA RECEVABILITE DE L ACTION D IN-
TERET COLLECTIF, 681
5. L INTERET COLLECTIF ET LA PLURALITE DES OBJETS DU LITIGE, 683 -
PREMIER DEPLACEMENT : DE LA GARANTIE DU DROIT SUBJECTIF AU RESPECT DU
DROIT OBJECTIF, 683 - SECOND DEPLACE- MENT : DE L AFFIRMATION DES DROITS
ET OBLIGATIONS DES PARTIES DANS LE DISPOSITIF DE LA DECISION DE JUSTICE
A LA FORMULATION DU PRECEDENT JUDICIAIRE, 684
6. CONCLUSION, 687
IMAGE 9
1160 TABLE DES MATIERES
CHAPITRE VIII. - LE LOCUS STANDI DEVANT LES JURIDICTIONS FEDERALES DES E
T A T S - U N IS
1. L ENSEIGNEMENT CLASSIQUE DE LA DOCTRINE ET LA QUESTION DE SA
PRIVATISATION », 690 - A) LA FORMULATION TRADITIONNELLE DE LA DOCTRINE,
690 - B) LES JUSTIFICATIONS DE LA DOCTRINE, 694 - C) LES DEUX
SIGNIFICATIONS DE LA PRIVATISATION DU STANDING, 698
2. LA FORMULATION ACTUELLE DE LA DOCTRINE DU STANDING, 701 - A) LA
REFORMULATION DE LA DOCTRINE DANS L ARRET LUJAN V. DEFENDERS OF
WILDLIFE, 701 - B) LE CONTENU DE LA LA DOCTRINE DU STANDING SUITE A SA
REFORMULATION : LA CONDITION DE L INJURY IN FACT», 704 - LA NOTION D
INJURY IN FACT», 704 - L ELARGISSEMENT DU DROIT D ESTER EN JUSTICE PAR
SUITE DE LA SUBSTITUTION DE LA CONDITION DE L INJURY IN FACT» A LA
CONDITION DU LEGAL INTEREST», 706 - L AMBIGUITE DE L ELARGISSEMENT DU
DROIT D ES- TER EN JUSTICE PAR SUITE DE LA SUBSTITUTION DE LA CONDITION
DE L INJURY IN FACT» A LA CONDITION DU LEGAL INTEREST », 709 - C) LE
CONTENU DE LA DOCTRINE DU STANDING
SUITE A SA REFORMULATION : LA CONDITION DE L INJURY IN FACT» : LA
QUESTION DE LA SOURCE DU PREJUDICE ( CAUSATION ») ET DU CARACTERE
ADEQUAT DU REMEDE ( REDRESS- ABILITY »), 713 - PREMIERE QUESTION :
L INTERPRETATION DES CONDITIONS DE CAUSATION » ET DE REDRESSABILITY
», 715 INDISSOCIABILITE DES QUESTIONS DE CAUSATION » ET DE
REDRESSABILITY » DANS LE CONTEXTE DU JUGEMENT DECLARATOIRE, 717 -
FORMULATION DE
L INJURY IN FACT », 717 - DEFINITION DE L INJURY IN FACT » PAR
L ILLEGALITE DENONCEE ET FUSION DES CONDITIONS DE CAUSATION » ET DE
REDRESSABILITY », 719 - CONSE- QUENCES DE LA COLLECTIVISATION DE
L ACTION SUR LA VERIFICATION DE LA CONDITION DU STANDING », 720 -
DEUXIEME QUESTION : LE LIEN DES QUESTIONS DE CAUSATION » ET DE
REDRESSABILITY » AVEC LA NATURE DU CONTROLE JUDICIAIRE OPERE, 722 -
HOMOLOGIE ENTRE LA DELIMITATION SPATIALE » ET LA DELIMITATION
TEMPORELLE » DE L INTERET A AGIR : LA DOCTRINE DU CHILLING EFFECT »,
726 - TROISIEME QUESTION : LA QUESTION DE LA PROCEDURAL INJURY », 732.
3. LE STATUT DE LA DOCTRINE DU STANDING » : LA CONSTITUTIONNALISATION
DE I EXCLUSION DES GENERALIZED GRIEVANCES », 733
4. L INTE REL A AGIR EN JUSTICE EN VUE DE LA GARANTIE DES DROITS DES
TIERS : LE JUS TERTII STANDING, 737 - DEFINITION DE LA QUESTION DU JUS
TERTII STANDING ET RAPPORT A LA DIS- SOCIATION DU DROIT ET DE L INTERET
JURIDIQUEMENT PROTEGE, 737 - LES HYPOTHESES DU JUS TERTII STANDING, 739
- L HYPOTHESE DE LA SUBSTITUTION AU TITULAIRE DU DROIT VIOLE,
QUI EST DANS 1 IMPOSSIBILITY D AGIR, 739 - L HYPOTHESE DU DROIT DERIVE
DU DROIT INVOQUE POUR AUTRUI : L EXEMPLE DE LA DOCTRINE DE L
OVERBREADTH », 744 - L HYPO- THESE PURE » DU JUS TERTII STANDING :
L INTERET DU DEMANDEUR EN JUSTICE A CE QUE LES DROITS D AUTRUI SOIENT
RESPECTES, 747 - CONTINUITY ENTRE CES DIFFERENTES HYPO- THESES ET
ABSENCE D AUTONOMIE DE LA DOCTRINE DU JUS TERTII STANDING, 750.
5. LA MOOTNESS COMME ASPECT TEMPOREL DE LA DOCTRINE DU STANDING, 751 -
PREMIERE ATTE- NUATION DE LA DOCTRINE DE MOOTNESS : 1 HYPOTHESE OU UNE
CLARIFICATION DU DROIT APPLICABLE A LEURS RAPPORTS JURIDIQUES EST UTILE
AUX PARTIES AU LITIGE, 753 - DEUXIEME ATTENUATION DE LA DOCTRINE DE
MOOTNESS : L HYPOTHESE DE LA CLASS ACTION. 755 TROISIEME ATTENUATION DE
LA DOCTRINE DE MOOTNESS : L HYPOTHESE DE LA
VIOLATION CAPABLE OF REPETITION, YET EVADING REVIEW», 758.
6. CONCLUSION. 761
IMAGE 10
TABLE DES MATIERES 1161
CHAPITRE IX. - LE LOCUS STANDI DEVANT LE JUGE COMMUNAUTAIRE ET LE
DETOURNEMENT DE LA PROCEDURE PREJUDICIELLE
INTRODUCTION : LES COMPETENCES DU JUGE COMMUNAUTAIRE, 764 - LA
COMPETENCE DU JUGE
COMMUNAUTAIRE SUR RECOURS DIRECT EN ANNULATION, 765 - LA COMPETENCE DU
JUGE COMMUNAUTAIRE SUR RENVOI PREJUDICIEL, 767 - LIMITES DU CARACTERE
SELECTIF DE NOTRE APPROCHE, 768
1. LA COHERENCE DU SYSTEME DES VOIES DE RECOURS, 769 - L AFFIRMATION DE
LINTERDEPEN- DANCE DES VOIES DE RECOURS, 769 - CARACTERE AMBIGU DE
L INTERDEPENDANCE DES VOIES DE RECOURS, 771
2. LA RECEVABILITE DU RECOURS EN ANNULATION DU PARTICULIER, 773 -
IDENTIFICATION DU PRO- BLEME DANS LA JURISPRUDENCE DES DEBUTS, 774 -
COMPLETUDE ET COHERENCE DU SYS- TEME DES VOIES DE RECOURS : LA
COMPLEMENTARITY SUPPOSEE ENTRE LE RECOURS DIRECT EN ANNULATION ET LE
RENVOI PREJUDICIEL EN APPRECIATION DE VALIDITE, 780 - L APPA- RENTE
EXCEPTION DE LA JURISPRUDENCE CODORNIU ENVISAGEE AU REGARD DU SYSTEME
DES VOIES DE RECOURS, 783 - LE RECOURS EN ANNULATION DANS CERTAINES
MATIERES SPECIFI-
QUES : DUMPING, CONCURRENCE, AIDES D ETAT, 786 - (I) LA RECEVABILITE DU
RECOURS EN ANNULATION DEDUITE DES DROITS PROCEDURAUX RECONNUS AU
REQUERANT DANS LA PROCE- DURE PRECONTENTIEUSE, 786 - (II) LA
RECEVABILITE DU RECOURS EN ANNULATION DEDUITE DE LA NECESSITE DE
GARANTIR UNE PROTECTION JURIDICTIONNELLE EFFECTIVE CONTRE L ACTE DE
DROIT DERIVE ILLEGAL, 790 - LA SUBORDINATION DE LA RECEVABILITE DU
RECOURS DIRECT EN ANNULATION A L ALTERNATIVE DU RENVOI PREJUDICIEL EN
APPRECIATION DE VALI- DITE, 795 - PREMIER MOTIF DE NE PAS RECONNAITRE LA
SUBORDINATION, 796 - SECOND
MOTIF DE NE PAS RECONNAITRE LA SUBORDINATION, 797 - LIEN ENTRE CES DEUX
MOTIFS, 798
3. RENVOI PREJUDICIEL ET DE TOURNEMENT DE PROCEDURE, 800 - A) PERTINENCE
DE LA QUESTION PREJUDICIELLE ET CARACTERE ARTIFICIEL OU FICTIF DU LITIGE
: LA JURISPRUDENCE FOGLIA C. NOVELLO, 803 - PRINCIPE DE LA JURISPRUDENCE
FOGLIA : IRRECEVABILITE DE LA QUESTION PREJUDICIELLE POSEE A L OCCASION
D UN LITIGE ARTIFICIEL », 805 - L ELEMENT D EXTRA-
NEITE, 809 - L AUTONOMIE CONTRACTUELLE DES PARTIES AU PRINCIPAL, 812
L ACCORD DES PARTIES AU PRINCIPAL SUR L INTERPRETATION DU DROIT
COMMUNAUTAIRE, 817 - B) LES LIMITES DE LA JURISPRUDENCE FOGLIA C.
NOVELLO ET LA REPARTITION DES TACHES ENTRE JURI- DICTION NATIONALE ET
JUGE COMMUNAUTAIRE, 821 - CONSEQUENCES DE LA JURISPRUDENCE FOGLIA, 821 -
ALTERNATIVES A LA JURISPRUDENCE FOGLIA, 824 - C) LA SUBORDINATION DE LA
DOCTRINE RELATIVE A LA RECEVABILITE DE LA QUESTION PREJUDICIELLE A LA
NECESSITE DE
GARANTIR L APPLICATION DU DROIT COMMUNAUTAIRE, 828
4. CONCLUSION, 833
CHAPITRE X. - LE LOCUS STANDI DEVANT LA COUR EUROPEENNE DES DROITS DE
L HOMME
INTRODUCTION, 836
1. LE REGLEMENT AMIABLE ET LA PLURALITE DES OBJETS DU LITIGE, 840 -
CONTEXTE NORMATIF DU REGLEMENT AMIABLE DE JURE ET DE FACTO, 840 -
RESTRICTIONS A LA POSSIBILITY DE REGLE- MENT AMIABLE LIEES A LA
REPARATION DE LA VIOLATION DANS LE CHEF DE LA VICTIME. 841 RESTRICTIONS
A LA POSSIBILITY DE REGLEMENT AMIABLE LIEES A LA PREVENTION DE LA REPE-
IMAGE 11
1162 TABLE DES MATIERES
TITION DE NOUVELLES VIOLATIONS, 844 RESTRICTIONS A LA POSSIBILITY DE
REGLEMENT AMIABLE LIEES AU DEVELOPPEMENT DU DROIT DE LA CONVENTION, 848
2. QUALITE DE VICTIME » ET EXISTENCE, D UN PREJUDICE REPARABLE, 851 -
SOURCES DES CONFU- SIONS AUXQUELLES DONNE LIEU LA QUESTION DU RAPPORT
ENTRE QUALITE DE VICTIME » ET EXISTENCE D UN PREJUDICE, 851 -
ASSIMILATION PRATIQUE DU PREJUDICE REQUIS A L AP- PARENCE DE VIOLATION
SUBIE, 855
3. LA QUALITE DE VICTIME » : DELIMITATION SPATIALE ET TEMPORELLE, 858
- A) LA DELIMITA- TION SPATIALE DE LA QUALITE DE VICTIME », 859
POSITION DE LA QUESTION, 859 - QUA- LITE DE VICTIME » ET MISE EN CAUSE
D UNE REGLEMENTATION GENERATE : AVANCEES REALI- SEES DANS LA
JURISPRUDENCE DE LA COUR, 863 - LES DEUX LECTURES POSSIBLES DE CES
AVANCEES . EXTENSION DES DROITS GARANTIS OU EXTENSION DE LA QUALITE DE
VICTIME » AUX CAS DE RISQUES D APPLICATION FUTURE, 869 LIEN ENTRE LA
RECONNAISSANCE DE LA QUALITE DE VICTIME » ET L IDENTITE DES CHOIX
POSES PAR L INDIVIDU QUI LA REVENDI- QUE, 871 - LIEN ENTRE LA
RECONNAISSANCE DE LA QUALITE DE VICTIME » ET 1 ANTICIPA-
TION DE LA VIOLATION SUBIE, 876 - LA QUALITE DE VICTIME » : DE
L ALLEGATION PLAUSIBLE DUNE VIOLATION DU DROIT A L ATTEINTE PORTEE A
L AUTONOMIE, 880 B) LA DELIMITA- TION TEMPORELLE DE LA QUALITE DE
VICTIME », 881 POSITION DE LA QUESTION, 881 - PERTE DE LA QUALITE DE
VICTIME » ET PLURALITE DES OBJETS DU LITIGE, 882 - RECONNAIS-
SANCE DE LA QUALITE DE VICTIME AU REQUERANT QUI SE PLAINT D UNE
VIOLATION VIR- TUELLE », 887 EVOLUTION COMMUNE DES DELIMITATIONS
SPATIALE ET TEMPORELLE DE LA QUALITE DE VICTIME », 892
4. LA DOCTRINE DE LA VICTIME INDIRECTE », 894
5. CONCLUSION, 898
QUATRIEME LIVRE
LE ROLE DES GROUPEMENTS DANS LE PROCES
INTRODUCTION AU QUATRIEME LIVRE, 903
CHAPITRE XI. - LA CLASS ACTION
1. PRINCIPE DE LA CLASS ACTION, 909 - A) CONDITIONS DE LA CLASS ACTION,
909 - CONDITIONS
GENERATES (PREREQUISITES) DEFINIES PAR LA RULE 23 : SUBSIDIARITY,
COMMUNAUTE DE QUESTIONS ET TYPIEALITE DES ALLEGATIONS DU REPRESENTANT,
CARACTERE EQUITABLE ET ADE- QUAT DE LA REPRESENTATION, 910 - CONDITIONS
GENERATES DEFINIES EN JURISPRUDENCE : EXISTENCE D UNE ELASSE AUX
FRONTIERES PRECISES, ET APPARTENANCE A LA CLASSE DU
REPRESENTANT. 915 B) LEA FORMES DE LA CLASS ACTION, 918 - CLASS ACTION
OBLIGATOIRE {MANDATORY) ET NON-OBLIGATOIRE (NON-MANDATORY), 918
RELATIVITE DE L OPPOSITION ENTRE LES FORMES OBLIGATOIRE ET
NON-OBLIGATOIRE DE LA CLASS ACTION, 920
2. LA CLASS ACTION COMME FORME DE COLLECTIVISATION DU LITIGE, 922 A)
INTERETS DES PAR- TIES AU LITIGE, 923 - B) INTERETS DE L APPAREIL
JUDICIAIRE, 925 - C) TRANSFORMATIONS DE L OFFICE DU JUGE. 930 D)
CONTEXTE DE LA CLASS ACTION : RAPPORT ENTRE L ENJEU ET LE EOIIT DE LA
PROCEDURE, 935
3. CONCLUSIONS. 938
IMAGE 12
TABLE DES MATIERES 1163
CHAPITRE XII. - LE ROLE DES GROUPEMENTS DEVANT LES JURIDICTIONS
FEDERALES DES E T A T S - U N IS
1. LE SORT DE L ACTION D INTERET COLLECTIF, 944 - A) POSITION DE LA
QUESTION, 944 - B) PRE- MIERE ETAPE : LE DENI DE L ASSOCIATIONAL
STANDINGS, 947 C) DEUXIEME ETAPE : RECONNAISSANCE DE LA SPECIFICITE DU
REPRESENTATIONAL STANDING», 952 D) TROI- SIEME ETAPE : DEFINITION DES
CRITERES DU REPRESENTATIONAL STANDING », 954 EXIS- TENCE D UN INTERET
INDIVIDUEL A AGIR DANS LE CHEF DES MEMBRES DU GROUPE-
MENT, 955 ABSENCE DE NECESSITE D U NE PARTICIPATION INDIVIDUELLE DES
MEMBRES DU GROUPEMENT, 958 LA PROXIMITE DE FOBJET SOCIAL DU GROUPEMENT
ET DES INTERETS DE SES MEMBRES DONT IL ASSURE LA REPRESENTATION, 959 LES
DIFFICULTES LIEES AUX CONDITIONS MISES A LA RECONNAISSANCE DE L ACTION
D INTERET COLLECTIF : PROBLEMES D ACTION COLLECTIVE LIES A L EXIGENCE
D UN INTERET INDIVIDUEL A AGIR DANS LE CHEF DES
MEMBRES DU GROUPEMENT, 962 LES DIFFICULTES LIEES AUX CONDITIONS MISES A
LA RECONNAISSANCE DE FACTION D INTERET COLLECTIF : DENI DE LA
SPECIFICITE DE L INTERET COL- LECTIF A TRAVERS LE CONTROLE DE LA
REPRESENTATION ASSUREE PAR LE GROUPEMENT, 966
2. L INTERVENTION VOLONTAIRE ET LA PARTICIPATION DES GROUPEMENTS COMME
AMICI CURIAE, 968 - LA REPRESENTATION DE L INTERET COLLECTIF A TRAVERS
L INTERVENTION VOLON- TAIRE, 970 CONDITIONS DE L INTERVENTION DE DROIT,
971 - L INTERET A AGIR (STANDING TO SUE) ET L INTERET A INTERVENIR
(STANDING TO INTERVENE), 973 - SIGNIFICATION DE LA
CONTROVERSE, 975 - LE CAS DE L INTERVENTION DE GROUPEMENTS
REPRESENTATIFS D INTE- RETS COLLECTIFS, 979 - TYPES D INTERVENTION DANS
L INTERET COLLECTIF, 982 LA REPRE- SENTATION DES INTERETS CONCERNES PAR
LES PARTIES AU LITIGE ET LA DOCTRINE DU PARENS PATRIM, 984 - B) LA
REPRESENTATION DE L INTERET COLLECTIF A TRAVERS VAMICUS
CURIA;, 986 - EVOLUTION DE LA FONCTION DE VAMICUS CURIA; ET CONVERGENCE
AVEC L INS- TITUTION DE L INTERVENTION, 987 - LE LITIGATING AMICUS
CURIA; », 989
CHAPITRE XIII. - LE ROLE DES GROUPEMENTS DEVANT LE JUGE COMMUNAUTAIRE
1. LE SORT DU RECOURS D INTERET COLLECTIF, 993 A) POSITION DE LA
QUESTION, 993 - B) L IN- TERET COLLECTIF DANS FENSEMBLE DES VOIES DE
RECOURS, 994 - AMBIGUITE DE FAFFIRMA TION DE FINTERDEPENDANCE DES VOIES
DE RECOURS EN DROIT COMMUNAUTAIRE ET RAPPORT A LA QUESTION DE L INTERET
COLLECTIF, 995 L INTERET COLLECTIF DANS LE CADRE DU
RECOURS EN INDEMNITE, 997 - L INTERET COLLECTIF DANS LE CADRE DU RECOURS
EN CARENCE, 999 - C) L INTERET COLLECTIF PRIS DANS LE RAPPORT ENTRE
ORDRES JURIDIQUES ETATIQUES ET ORDRE JURIDIQUE COMMUNAUTAIRE : FACTION
D INTERET COLLECTIF ET LE REN- VOI PREJUDICIEL, 1003 - CONSEQUENCES POUR
FACTION D INTERET COLLECTIF DU PRINCIPE D EQUIVALENCE ENTRE LES ACTIONS
FONDEES SUR LE DROIT NATIONAL ET LES ACTIONS FONDEES SUR LE DROIT
COMMUNAUTAIRE, 1003 - CONSEQUENCES POUR FACTION D INTERET COLLECTIF DU
PRINCIPE DE L EFFET UTILE DES ACTIONS PORTEES DEVANT LES JURIDICTIONS
NATIONALES
FONDEES SUR LE DROIT COMMUNAUTAIRE, 1004 - D) L INTERET COLLECTIF PRIS
DANS LE RAP- PORT ENTRE ORDRES JURIDIQUES ETATIQUES ET ORDRE JURIDIQUE
COMMUNAUTAIRE : LA QUES- TION DE LA CAPACITE A AGIR DU GROUPEMENT, 1008
E) LE PRINCIPE DE 1 EXCLUSION DU
RECOURS EN ANNULATION DANS FINTERET COLLECTIF, 1012 CARACTERE SUBVERSIF
DE 1 INTE- RET COLLECTIF DANS LE REGIME DU RECOURS DIRECT EN ANNULATION,
1012 - INTERET COLLEC TIF ET EXIGENCE QUE LE REQUERANT SOIT
INDIVIDUELLEMENT CONCERNE », 1014 INTERET COLLECTIF ET EXIGENCE QUE LE
REQUERANT SOIT DIRECTEMENT CONCERNE », 1015 - HOMO
IMAGE 13
1164 TABLE DES MATIERES
LOGIE ENTRE LES DEUX ARGUMENTS DEFAVORABLES A LA RECONNAISSANCE DE
L INTERET COLLEC- TIF DANS LE CADRE DU RECOURS DIRECT EN ANNULATION,
1016 - AFFERMISSEMENT DE LA JURISPRUDENCE DE LA COUR DE JUSTICE DES C.E.
DANS LES AFFAIRES SYNDICATES, 1017 -
UTILITE D UNE CONTEXTUALISATION DE LA QUESTION DE LA RECEVABILITE DU
RECOURS EN ANNULATION D INTERET COLLECTIF, 1022 - F) LE ROLE DU
LEGISLATEUR COMMUNAUTAIRE DANS LA RECONNAISSANCE DE L INTERET COLLECTIF,
1023 - LE DOMAINE DU DUMPING ET DES SUB- VENTIONS D ETATS TIERS, 1025 -
LE DOMAINE DU DROIT DE LA CONCURRENCE, 1027 - LE
DOMAINE DES CONCENTRATIONS D ENTREPRISES, 1030 LE DOMAINE DES AIDES
D ETAT, 1033 - G) CONCLUSION, 1037
2. L INTERVENTION VOLONTAIRE DES GROUPEMENTS DEVANT LE JUGE
COMMUNAUTAIRE, 1043 - LITIGES DANS LESQUELS L INTERVENTION PEUT AVOIR
LIEU, 1044 - OBJET DE [ INTERVEN- TION, 1047 - INTERET A INTERVENIR,
1048 - INTERACTION ENTRE L INTERET DESIGNE PAR LE LEGISLATEUR
COMMUNAUTAIRE ET L INTERET A INTERVENIR, 1050 - LE CAS DE L INTERVEN-
TION DANS L INTERET COLLECTIF, 1051
CHAPITRE XIV. - LE ROLE DES GROUPEMENTS DEVANT LA COUR EUROPEENNE DES
DROITS DE L HOMME
1. LE SORT DE LA REQUITE D INTERET COLLECTIF, 1059 - A) POSITION DE LA
QUESTION, 1059 - SUBORDINATION DE LA REQUETE INDIVIDUELLE A LA QUALITE
DE VICTIME » DU REQUERANT ET INTERET COLLECTIF, 1059 - L APPUI SUR LA
DOCTRINE DE LA VICTIME INDI- RECTE », 1061 - LA SUBSTITUTION DU
GROUPEMENT A SES MEMBRES POUR LA DEFENSE DES DROITS EXERCES
COLLECTIVEMENT, 1063 - DERIVATION D UN INTERET COLLECTIF SPECIFIQUE
DE FEXERCICE COLLECTIF DE DROITS INDIVIDUELS, 1065 - B) LA DERIVATION DE
FINTERET COLLECTIF A PARTIR DE LA LIBERTE D ASSOCIATION, CONSIDEREE DUN
POINT DE VUE INSTRU- MENTAL, 1071 - LA FONCTION INSTRUMENTALE DE LA
LIBERTE D ASSOCIATION, MOYEN EN VUE DE GARANTIR LA PROTECTION EFFECTIVE
D AUTRES DROITS GARANTIS, 1071 HOMOLOGIE AVEC LA QUESTION DU RAPPORT
ENTRE LES ASPECTS POSITIFS » ET NEGATIFS » DE LA LIBERTE
D ASSOCIATION, 1072 SIGNIFICIATION DE L HOMOLOGIE, 1075 - C)
CONSEQUENCES DU DENI DE LA REQUETE D INTERET COLLECTIF, 1078
2. L INTERVENTION DU GROUPEMENT COMME AMICUS CURIAE, 1082 - A) LES
INTERVENTIONS D AMICI CURICE DE LA PREMIERE GENERATION, 1083 - B) LES
INTERVENTIONS D AMICI CURIA; DE LA DEUXIEME GENERATION, 1089
CONCLUSIONS GENERATES
PONDERATION DES INTERETS EN PRESENCE ET PLURALITE DES OBJETS DU LITIGE,
1097 REFIEXIVITE DES INTERETS MIS EN BALANCE ET REPRESENTATION, 1099 LES
EFFECTIVITES ET LA TACHE D IMAGINATION INSTITUTIONNELLE, 1101 STRUCTURE
DU PROCES ET PLURALITE DES OBJETS DU LITIGE, 1106
DE FAPPLICATION A LA JUSTIFICATION, 1116
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