Garde ton masque: traitement residentiel des adolescents.
Gespeichert in:
| 1. Verfasser: | |
|---|---|
| Format: | Buch |
| Sprache: | French Dutch |
| Veröffentlicht: |
Paris
Ed. Fleurus
1976
|
| Schriftenreihe: | Collection "Pédagogie psychosociale"
27 |
| Schlagworte: | |
| Online-Zugang: | Inhaltsverzeichnis |
Internformat
MARC
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| adam_text | TABLE DES MATIERES PREFACE DE L EDITION FRANCAISE 9 PREFACE DE L EDITION
ORIGINALE 13 PREFACE DES AUTEURS 17 INTRODUCTION 19 CHAPITRE 1 * LES
ADOLESCENTS DE ZANDWIJK : LEUR MILIEU FAMILIAL DANS LA SOCIETE
D AUJOURD HUI 25 A PREMIERE ORIENTATION 25 1. LES JEUNES DE ZANDWIJK :
QUI SONT-ILS ? DE QUELLES FAMILLES VIENNENT-ILS ? 25 2. SONT-ILS
DELINQUANTS? 27 3. LES ANOMALIES DU COMPORTEMENT 29 4. FACTEURS
CONDUISANT A LA STAGNATION DU DEVELOPPE MENT 31 A) FACTEURS APPARTENANT
A L APTITUDE 32 B) FACTEURS QUI DEPENDENT DE LA FATALITE 32 C) FACTEURS
APPARTENANT AU MILIEU 33 B. INFLUENCE DES FACTEURS SOCIAUX SUR LES
RELATIONS FAMI LIALES 34 1. SOLITUDE ET ISOLEMENT 35 2. HARMONIE
FAMILIALE IDYLLIQUE 37 3. MORALE DE COMPETITION ET AMBITION SOCIALE 38
A) LES PERES PRESQUE TOUJOURS ABSENTS 39 B) PERES DEFAILLANTS, MERES
DECUES 40 C) PRESSION EXERCEE SUR LES PERFORMANCES DES ENFANTS 41 4.
NOTES COMPLEMENTAIRES 42 C. LES PROCESSUS DE LA PURETE ET DE
L ADOLESCENCE 44 1. INDIVIDUATION 45 2. INTEGRATION 45 3. RECHERCHE ET
DECOUVERTE D UNE IDENTITE 46 M D. L INFLUENCE DE CERTAINS MODELES
RELATIONNELS FAMILIAUX SUR LE DEVELOPPEMENT DU PUBERE ET DE L ADOLESCENT
48 1. L INDIVIDUATION OPPOSEE A LA SYMBIOSE ET A LA COALITION 48 2.
L INTEGRATION OPPOSEE AU CHOIX D EXEMPLES CONTRA DICTOIRES 49 3.
L IDENTITE OPPOSEE A L ETIQUETAGE PRECOCE ET A LA FIXATION PREMATUREE
DES ROLES 49 A) RESTRICTION DES CHOIX LA OU LES ROLES SONT FIXES A
L AVANCE 50 B) UNE CONCEPTION DE SOI ESSENTIELLE CONTRADIC TOIRE 50 4.
REACTIONS ALTERNATIVES AUX STRUCTURES ET VALEURS SOCIALES 50 CHAPITRE 2
*- CARACTERISTIQUES DE LA PERSONNALITE DES ADOLES- CENTS DE ZANDWIJK 53
A. LA DEPRESSION 53 1. LA FAIBLE ESTIME DE SOI 54 2. CONTRASTE ENTRE
L IMAGE DE SOI ET L IMAGE IDEALE .. 57 B. GARDE TON MASQUE ; UN
MECANISME DE DEFENSE 58 1. OBSERVATION 59 2. INTERPRETATIONS 59 3.
FACTEURS QUI INFLUENCENT LES MECANISMES DE DEFENSE 60 A) FACTEURS
APPARTENANT A UNE PERIODE DE LA VIE : FINIE L ENFANCE, ON VEUT ETRE UN
HOMME .. 60 B) FACTEURS PSYCHODYNAMIQUES PARTICULIERS : LA VIRILITE
OPPOSEE A LA FEMINITE 61 C) INFLUENCE DES CULTURES DE REMPLACEMENT :
ENFANTS-FLEURS OU ANGES DE LA NUIT? , 61 D) LE ROLE DU PASSE 62 4.
CONSEQUENCES DU MECANISME DE DEFENSE 63 A) UNE FACON DE SE MAITRISER 63
B) UN HANDICAP EN AMOUR 64 C) UN LAISSER-PASSER POUR LA DELINQUANCE ....
64 C. LE BESOIN DE SUSPENSE 65 1. ON PEUT TOUT RISQUER QUAND ON N A RIEN
A PERDRA .. 65 342 2. UNE TENSION EXTERIEURE » MASQUE LA TENSION
INTERIEURE » 66 3. SUSPENSE ET SENSATION DE PUISSANCE 66 D. FONCTION DE
LA CONSCIENCE 68 1. SUR-MOI EXIGEANT OU NORMES INCOMPRISES? 69 2.
CONSCIENCE DEVIANTE DES NORMES A LA SUITE DE PRO BLEMES
D IDENTIFICATION 70 E. DEFAILLANCE DU CONTROLE DE SOI 72 1. LE MANQUE DE
CONTROLE DE SOI. TROIS CAUSES SONT GENERALEMENT ADMISES 74 A) INFLUENCES
SUBIES DANS LA PRIME JEUNESSE : ENFANTS GATES OU ABANDONNES 74 B) LEGER
TRAUMATISME DU CERVEAU 74 C) CONSTITUTION 75 2. ATTRIBUTION DES ROLES
(TYPE CASTING) 75 3. PERSPECTIVE D AVENIR TRONQUEE 76 F. REFERENCES AUX
RECHERCHES 77 CHAPITRE 3 * POLITIQUE DE LA PRISE EN CHARGE. PRINCIPES DE
DEPART 79 A. A QUI S ADRESSE LA THERAPIE ? 79 1. POURQUOI UNE SELECTION?
79 A) CE QUI EST BON POUR L UN PEUT ETRE NEFASTE POUR L AUTRE 80 B) LES
EXTREMES NE PEUVENT ETRE TROP DIVERGENTS, LA OU L ON SOUHAITE CREER UN
SENTIMENT DE COMMUNAUTE 81 2. CRITERES DE SELECTION 81 A) PROBLEMES DE
NATURE NEVROTIQUE 82 B) MOTIVATION : DANS QUEL BUT ? A QUEL PRIX ?.. 82
C) COLLABORATION AVEC LES PARENTS 84 3. PROCESSUS DE LA PRISE EN CHARGE
85 B. PREMIERE RENCONTRE AVEC LE JEUNE : DEBUT DU TRAI TEMENT 86 1.
RECONNAISSANCE DE LA MAISON 86 2. ENTRETIEN INDIVIDUEL AVEC LE JEUNE 87
A) LES COLIS » NE SONT PAS ACCEPTES 87 343 B) PARTIE PRENANTE DANS UN
CONFLIT FAMILIAL ET NON BOUC-EMISSAIRE 88 C) LEUR RESPONSABILITE DANS
LES CONFLITS 88 D) QU ONT-ILS A Y GAGNER? 89 E) QUELS SONT LEURS
PREJUDICES? 90 F) LES VRAIS OBJECTIFS DU SEJOUR A ZANDWIJK 91 G) A
PROPOS DU PRIX A PAYER 91 3. LIMITES DE LA MOTIVATION 92 C. POINTS DE
DEPART DES PARENTS, DES JEUNES ET DE L INS TITUT 92 1. LE POINT DE VUE
DES PARENTS SUR LA PRISE EN CHARGE .. 93 A) PARENTS QUI, PAR
IMPUISSANCE, CONFIENT L EDU CATION DE LEUR FILS A UNE INSTITUTION
SPECIA LISEE 93 B) PARENTS QUI, MALGRE LEUR ASSENTIMENT, NE PAR
VIENNENT PAS A SE SEPARER DE LEUR FILS 94 C) PARENTS QUI SOUHAITENT VOIR
MAINTENIR LES OBJECTIFS QU ILS ONT PREVU POUR LEUR FILS 95 D) PARENTS
QUI CONSIDERENT L INSTITUT COMME L ULTIME MOYEN AUTORITAIRE DE RAMENER
LEUR FILS DANS LE DROIT CHEMIN 96 E) PARENTS QUI RECUSENT LES PROBLEMES
ET METTENT EN CAUSE LA SOCIETE, SON ECHELLE DES VALEURS ET SES JUGEMENTS
98 2. AUTRES FACTEURS QUI INTERVIENNENT DANS LA PRISE EN CHARGE 98 A)
L INSTITUT EST UN TERRAIN NEUTRE, HORS DE TOUTE TENSION FAMILIALE 101 B)
L INSTITUT EST UN MOYEN DE SE DEBARRASSER DES PARENTS 102 C) L INSTITUT
: CENTRE D EXPERIMENTATION POUR UN NOUVEAU COMPORTEMENT 102 D)
L INSTITUT : PROLONGEMENT DE L AUTORITE 103 4. LE POINT DE VUE DE
L INSTITUT CONCERNANT LE MILIEU FAMILIAL 104 CHAPITRE 4 * OBJECTIFS DU
TRAITEMENT 107 A. LES OBJECTIFS DU TRAITEMENT 107 344 1. LA REALISATION
DE SOI 107 2. LIBERATION DU PASSE 109 3. LE COMBAT CONTRE LA CONTRAINTE
DU PASSE 110 4. CONSTRUIRE PLUTOT QUE DETRUIRE 113 A) VERS D AUTRES
RELATIONS 113 B) VERS UNE NOUVELLE CONCEPTION DU MOI 114 B. MODELES
THEORIQUES DE TRAITEMENT 115 1. LE MODELE PSYCHODYNAMIQUE OU
INTRAPSYCHIQUE .. 116 2. LE MODELE TRANSACTIONNEL 119 3. UN TROISIEME
MODELE 122 4. CE QUI ECHAPPE AUX MODELES THEORIQUES 124 5. QUELQUES
REMARQUES 126 C. FACTEURS QUI ENTRAVENT LES OBJECTIFS DU TRAITEMENT ....
127 1. OBSTACLES LIES A L AGE 127 2. ENTRAVES SPECIFIQUES 128 3.
INFLUENCES NEGATIVES DU GROUPE 128 4. INFLUENCES NEGATIVES DU MILIEU
FAMILIAL 129 5. INFLUENCES NEGATIVES DE L INSTITUT 130 D.
COLLABORATEURS. STRUCTURES DE COMMUNICATION 131 1. COMPOSITION DU
PERSONNEL 131 2. STRUCTURE ET CONCERTATION 134 3. LE TRAVAIL CONCRET 135
CHAPITRE 5 * LE GROUPE DE VIE EN TANT QUE MOYEN DE TRAI- TEMENT 139 A.
CARACTERISTIQUES DU GROUPE DE VIE 139 1. LE GROUPE DE VIE EST UN SYSTEME
PRIMAIRE 139 2. LE GROUPE DE VIE INSTITUTIONNEL EST UN GROUPE INSTABLE
140 3. LE GROUPE DE VIE EST UN GROUPE ARTIFICIEL 140 4. INFLUENCES
EXTERIEURES 141 A) INFLUENCE DE LA PHILOSOPHIE DU TRAITEMENT .. 141 B)
INFLUENCE DU PLACEMENT JUDICIAIRE 141 C) INFLUENCE DES REGLEMENTS
DEPARTEMENTAUX .. 142 D) INFLUENCE DES PARADOXES INHERENTS A L INS
TITUT 142 E) INFLUENCE DU MILIEU SOCIAL ET GEOGRAPHIQUE .. 142 5.
DYNAMIQUE DE GROUPE 143 345 A) LE CHOC DU PLACEMENT .... 143 B) PREMIERE
TACHE : COMMENT VIVRE ICI ? 143 C) LES SOUS-GROUPES 144 D) DYADES ET
TRIADES 145 E) ROLES (LE RATE, LE BOUC-EMISSAIRE, LE TYRAN) .. 145 B. LA
REPETITION DES MODELES RELATIONNELS FAMILIAUX .... 146 1. ILLUSTRATION
147 A) LE MODELE RELATIONNEL AU SEIN DU GROUPE .... 148 B) LE MODELE
RELATIONNEL DANS LA FAMILLE 149 2. FACTEURS QUI FAVORISENT LA REPETITION
150 A) LA PEUR DE LA SEPARATION 150 B) LA VIE INSTITUTIONNELLE 150 3.
IDENTIFICATION ET MODIFICATION DU MODELE RELATIONNEL REPETITIF 151 4.
INFLUENCE DE LA REPETITION SUR L INTERACTION AU SEIN DE L EQUIPE
THERAPEUTIQUE 152 C. DETERMINATION ET INDIVIDUALISATION DU CLIMAT DE VIE
. . 153 1. ILLUSTRATION 154 2. COMMENTAIRES 157 A) LE GROUPE CHANGE
CONSTAMMENT 157 B) AVEC OU SANS COHESION LES INTERACTIONS CONTI NUENT
158 C) CHAQUE GARCON EST DANS UN STADE DIFFERENT DE SON TRAITEMENT 159
D) CHAQUE GARCON EST DANS UNE SITUATION DIFFE RENTE 159 E) A ARMES
EGALES DANS L ARENE 159 3. DETERMINATION DU CLIMAT 160 A) CONFLITS ET
ANGOISSES PEUVENT ETRE DISCUTES .. 160 B) L EDUCATEUR SE PRESENTE LUI
AUSSI COMME UN ETRE VULNERABLE 161 C) L EDUCATEUR N EST PAS UN COMPAGNON
DE HASARD, MAIS UN ETRE CONCERNE 161 D) PAS DE CENSURE SUR LES
SENTIMENTS TENDRES .. 162 4. APPROCHE INDIVIDUELLE 162 A)
INTENSIFICATION DU CONFLIT CHEZ L UN D ENTRE EUX 162 346 B) MISE SUR LA
TOUCHE ET ILOT DE SECURITE CHEZ UN AUTRE 163 C) LE DROIT A LA
NON-PARTICIPATION POUR UN TROISIEME 163 D) TRAVAIL OBJECTIF POUR UN
QUATRIEME 163 D. INFLUENCE DE LA DYNAMIQUE DE GROUPE NECESSITE D UNE
INTERVENTION ACTIVE 164 1. ILLUSTRATION 164 2. LA PUISSANCE DU
SOUS-GROUPE ENTRAVE LE DEVELOP PEMENT 167 3. PIEGES POUR L EDUCATEUR
167 A) LE PARTAGE » DE LA PUISSANCE 168 B) ABSENCE DE REACTION
VIOLENTE 168 C) PASSIVITE DEGUISEE EN DEMOCRATIE 168 4. INTERVENTION
ACTIVE DE L EDUCATEUR 169 E. INFLUENCE DE L EDUCATEUR SUR LES ROLES ET
LES RELATIONS . . 170 1. ILLUSTRATION 171 2. LES RELATIONS DANS LA
TRIADE. LEUR ORIGINE DANS LE PASSE 173 3. INTERVENTION DE L EDUCATEUR
DANS LA TRIADE 174 A) L APPROCHE DU MEDIATEUR 174 B) DE LA
META-COMMUNICATION A LA COMMUNI CATION DIRECTE 175 C) LA RUPTURE DE LA
TRIADE MENE A L ISOLEMENT D UN DE SES MEMBRES 176 4. LE TRAVAIL
INDIVIDUEL AVEC L ISOLE 176 5. COMMENTAIRE 177 F. LE FILM EN TANT QUE
MOYEN DE TRAITEMENT 178 1. LA REALISATION DES FILMS. SCENARIOS
COLLECTIFS ET INDIVIDUELS 179 2. LE FILM D UN REVE 180 3. PRESENTATION
DU FILM. LE PUBLIC EN TANT QUE THE RAPEUTE 180 4. COMMENTAIRE 182 G.
DISCUSSIONS DE GROUPE 183 1. VARIETES DES OBJECTIFS 183 2. ILLUSTRATION
: VARIETE DES THEMES 184 3. COMMENTAIRE 189 347 A) CONFLITS AVEC ET
ENTRE EDUCATEURS 189 B) CHANGEMENT DE POLITIQUE 191 C) L ANGOISSE DEVANT
LE CHANGEMENT DES NORMES ET VALEURS 192 CHAPITRE 6 * FORMATION EN COURS
.... 195 A. FORMATION DIDACTIQUE ET EMOTIONNELLE 195 1. LE PASSE 195 2.
BUT ET MOTIVATIONS 196 3. ELABORATION DU CONTRAT 197 4. DETAILS
TECHNIQUES 198 B. PREMIERE PHASE : CONNAISSANCE DES INTERACTIONS AU SEIN
DU GROUPE 199 1. MATERIEL NECESSAIRE A UNE SOIREE DE GROUPE 200 A)
RAPPORTS DE LA SOIREE DE GROUPE 200 B) FICHES SIGNALANT LES
CARACTERISTIQUES DE LA SOIREE 204 C) FICHES SIGNALANT LES
CARACTERISTIQUES DES GAR CONS 206 2. COMMENTAIRE 210 C. SECONDE PHASE :
LES EXPERIENCES VECUES 211 1. DE LA CONNAISSANCE A L EXPERIENCE
PERSONNELLE .... 211 2. UN JEU DE COMMUNICATION 212 3. DISCUSSION 214 D.
LA TROISIEME PHASE : L AIDE 215 1. ILLUSTRATION : LE DEVELOPPEMENT D UNE
DEMANDE D AIDE 216 2. LE JEU DES ROLES PARTIELS 217 A) LES REGLES DU JEU
218 B) ILLUSTRATION DU JEU 218 C) COMMENTAIRE 220 E. PROBLEMES DE
L ANIMATEUR DU STAGE DE FORMATION 222 1. LE RAPPORT NON-REDIGE 222 2.
LES CONTACTS INDIVIDUELS ENTRE UN MEMBRE DE L EQUIPE ET LE SUPERVISEUR
RESPONSABLE DE LA FOR MATION 223 3. LES RETARDS 223 4. LA CHAISE VIDE
223 348 5. LE REFUS DE PARTICIPATION 224 CHAPITRE 7 * SUIVRE LES
INCIDENTS ET TRAVAILLER AVEC 225 A. AIDE 225 1. INTRODUCTION : POURQUOI
EXERCER UNE PRESSION SUR LES ETUDES OU LE TRAVAIL ? 225 2. AIDE DANS LES
ETUDES 228 A) ANALYSE DES TROUBLES QUI APPARAISSENT DANS LES ETUDES 228
B) UN PROGRAMME D ETUDES STRUCTURE 230 3. AIDE DANS LE TRAVAIL 232 4.
AUTRES ACTIVITES. CONTACTS AVEC LE MONDE EXTERIEUR .. 233 A) L ATELIER
233 B) ACTIVITES DE GROUPE 233 C) CONTACTS AVEC LE MONDE EXTERIEUR 234
5. ETENDUE ET LIMITES DE L EXPERIMENTATION 235 A) ETENDUE DE
L EXPERIMENTATION 235 B) LIMITES DE LA LIBERTE D EXPERIMENTATION :
DILEMMES DE NOTRE POLITIQUE 237 B. LES INCIDENTS 238 1. LES INCIDENTS EN
MILIEU THERAPEUTIQUE 238 2. L UTILISATION DES INCIDENTS DANS UN BUT
THERAPEU TIQUE 239 A) ORIGINE DE L INCIDENT DANS L INTERACTION DU
GROUPE 240 B) UTILISATION DE L INCIDENT * INTERACTION DU PERSONNEL
EDUCATEUR 242 C) LA DISCUSSION DE GROUPE 244 3. DELITS 244 A)
SOUPCONNER? 244 B) ANALYSE DES CAUSES 245 C) CONFRONTATION AVEC LES
VICTIMES. DEDOMMA GEMENTS 247 D) INTERRUPTION DU TRAITEMENT A LA SUITE
D UNE SANCTION JUDICIAIRE 248 E) ILLUSTRATION 249 4. LA DROGUE 250 A)
DEVELOPPEMENT DU PROBLEME 250 349 B) FAUT-IL PASSER A LA REPRESSION .
252 C) UNE SOLUTION DE RECHANGE : L INFORMATION ET LA RECHERCHE D UN
POINT DE DEPART COMMUN AU PERSONNEL EDUCATEUR ET AUX JEUNES 252 CHAPITRE
8 * LA PSYCHOTHERAPIE INDIVIDUELLE 257 A. POINTS DE VUE STRATEGIQUES
257 1. LA POSITION DU THERAPEUTE A L INSTITUT 257 2. LA SITUATION DE
L ADOLESCENT A ZANDWIJK .. 258 3. QUELS SONT LES PROTAGONISTES DE LA
RELATION ADOLES CENT THERAPEUTE? 259 4. LE ROLE DU THERAPEUTE PAR
RAPPORT A CELUI DES AUTRES COLLABORATEURS 260 A) LE SECRET 260 B) LE
POUVOIR DU THERAPEUTE 261 C) (IM)PARTIALITE 262 5. PSYCHOTHERAPIE
INDIVIDUELLE ET AUTRES METHODES DE TRAITEMENT 262 B. PHASE INITIALE DE
LA THERAPIE 264 1. PREMIERE RENCONTRE 264 2. MOTIVATION DES ENTRETIENS
265 3. TENSIONS CREEES PAR L ADMISSION A L INSTITUT 265 A) LE CAFARD »
265 B) LA CONFUSION 266 C) L ANGOISSE 266 4. METHODES VISANT A REDUIRE
LES TENSIONS 267 5. APPRENDRE A S OBSERVER? 268 C. LES POINTS DE
CORRESPONDANCE AVEC LA VIE QUOTIDIENNE . . 269 1. LES COMPORTEMENTS
AUSSI MENENT A L INCONSCIENT .. 269 2. DE L ACTUALITE AU PASSE 270 3.
DIFFUSION DU TRANSFERT 271 4. FACILITATION DU TRAVAIL DES AUTRES MEMBRES
DE L EQUIPE 272 D. APPORTS SPECIFIQUES DE LA PSYCHOTHERAPIE 274 1.
COMMENT TRAITER CES DEFENSES? 274 2. LE TRAITEMENT DE LA DEPRESSION 277
350 CHAPITRE 9 * COMMENT AIDER LES FAMILLES ? 283 A. THERAPIE FAMILIALE
ET TRAITEMENT RESIDENTIEL : UNE COMBINAISON DIFFICILE ? 283 B.
ENTRETIENS DIVERS 285 1. CONTACT SOCIAL REGULIER AVEC LES PARENTS 285 2.
ENTRETIENS SUR LA POLITIQUE A SUIVRE 285 3. ENTRETIENS ACCESSOIRES 287
4. ENTRETIENS REGULIERS AVEC LA FAMILLE 290 5. CONTACTS AVEC LES PARENTS
292 6. L INTEGRATION DES CONTACTS FAMILIAUX DANS L EN SEMBLE 294 C.
OBJECTIFS ET STRATEGIES D INTERVENTION DANS LE TRAITEMENT FAMILIAL 297
1. LIBERTE OFFERTE AUX PARENTS QUANT A LEUR REACTION SUR LA PRISE EN
CHARGE DE LEUR FILS 297 2. INFORMATION CONCERNANT LE TRAITEMENT 298 3.
PROBLEMES DE COMMUNICATION ENTRE PARENTS ET ENFANTS 299 4. EVOLUTION DU
STATUT DE BOUC-EMISSAIRE DU FILS .... 301 5. RELACHEMENT DU LIEN
PARENTS-ENFANT 303 6. CREATION D UN MODE DE VIE, DE NORMES NOUVELLES ET
DE VALEURS PROPRES 304 7. PROBLEME DU CONFLIT DE LOYAUTE
FAMILLE-INSTITUTION : FAUT-IL PRENDRE PARTI? 306 8. L ACCEPTATION D UNE
RUPTURE DURABLE ENTRE LES PARENTS ET L ENFANT 308 9. COORDINATION DES
STRATEGIES 309 D. DEPART DE ZANDWIJK 311 1. PREPARATION DU DEPART 311 2.
CONTACTS ULTERIEURS 313 CHAPITRE 10 * PROBLEMES D ORGANISATION.
DEVELOPPEMENTS RECENTS. PLANS POUR L AVENIR 315 A. PARADOXES ET DILEMMES
315 1. PARADOXES INHERENTS A L INSTITUTION 315 2. ISOLEMENT DE
L INSTITUTION 317 3. ILLUSTRATION 317 351 4. STRUCTURATION DU PROGRAMME,
MAIS COMMENT ? .. 320 5. LA BUREAUCRATIE A L INSTITUTION 323 A) LA
PUISSANCE LIMITEE DE L EDUCATEUR DE GROUPE 323 B) REUNIONS ET RAPPORTS
SECRETS ENGENDRENT LA MEFIANCE 324 B. DIFFICULTES STRUCTURELLES 325 1.
INSTRUCTION ET FORMATION CONTINUE DES EDUCATEURS DE GROUPE 326 2.
DISCONTINUITE DE L EQUIPE DES EDUCATEURS 327 C. PROJET AVENUE DES
REGENTES » 328 D. PLANS POUR UN NOUVEAU ZANDWIJK 330 1. ACCUEIL DE
NOUVEAUX TYPES DE PROBLEMES 330 2. CESSATION DE LA SEPARATION EXISTANT
ENTRE LE TRAITE MENT INTERNE ET EXTERNE 331 3. VARIETE DE MILIEUX ET
D APPROCHES THERAPEUTI QUES 332 4. QUALITE DU MODELE : UNITE, VARIETE,
CONTINUITE, FLEXIBILITE 333 CONCLUSION 335 BIOGRAPHIE DES AUTEURS 339
ACHEVE D IMPRIMER SUR LES PRESSES DE L IMPRIMERIE CINO DEL DUCA, 18, RUE
DE FOLIN, A BIARRITZ LE 20 AOUT 1976. * D EDITION : F 76 078 *
D IMPRESSION : 437 DEPOT LEGAL : 3 TRIMESTRE 1976.
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TABLE DES MATIERES PREFACE DE L'EDITION FRANCAISE 9 PREFACE DE L'EDITION
ORIGINALE 13 PREFACE DES AUTEURS 17 INTRODUCTION 19 CHAPITRE 1 * LES
ADOLESCENTS DE ZANDWIJK : LEUR MILIEU FAMILIAL DANS LA SOCIETE
D'AUJOURD'HUI 25 A PREMIERE ORIENTATION 25 1. LES JEUNES DE ZANDWIJK :
QUI SONT-ILS ? DE QUELLES FAMILLES VIENNENT-ILS ? 25 2. SONT-ILS
DELINQUANTS? 27 3. LES ANOMALIES DU COMPORTEMENT 29 4. FACTEURS
CONDUISANT A LA STAGNATION DU DEVELOPPE MENT 31 A) FACTEURS APPARTENANT
A L'APTITUDE 32 B) FACTEURS QUI DEPENDENT DE LA FATALITE 32 C) FACTEURS
APPARTENANT AU MILIEU 33 B. INFLUENCE DES FACTEURS SOCIAUX SUR LES
RELATIONS FAMI LIALES 34 1. SOLITUDE ET ISOLEMENT 35 2. HARMONIE
FAMILIALE IDYLLIQUE 37 3. MORALE DE COMPETITION ET AMBITION SOCIALE 38
A) LES PERES PRESQUE TOUJOURS ABSENTS 39 B) PERES DEFAILLANTS, MERES
DECUES 40 C) PRESSION EXERCEE SUR LES PERFORMANCES DES ENFANTS 41 4.
NOTES COMPLEMENTAIRES 42 C. LES PROCESSUS DE LA PURETE ET DE
L'ADOLESCENCE 44 1. INDIVIDUATION 45 2. INTEGRATION 45 3. RECHERCHE ET
DECOUVERTE D'UNE IDENTITE 46 M D. L'INFLUENCE DE CERTAINS MODELES
RELATIONNELS FAMILIAUX SUR LE DEVELOPPEMENT DU PUBERE ET DE L'ADOLESCENT
48 1. L'INDIVIDUATION OPPOSEE A LA SYMBIOSE ET A LA COALITION 48 2.
L'INTEGRATION OPPOSEE AU CHOIX D'EXEMPLES CONTRA DICTOIRES 49 3.
L'IDENTITE OPPOSEE A L'ETIQUETAGE PRECOCE ET A LA FIXATION PREMATUREE
DES ROLES 49 A) RESTRICTION DES CHOIX LA OU LES ROLES SONT FIXES A
L'AVANCE 50 B) UNE CONCEPTION DE SOI ESSENTIELLE CONTRADIC TOIRE 50 4.
REACTIONS ALTERNATIVES AUX STRUCTURES ET VALEURS SOCIALES 50 CHAPITRE 2
*- CARACTERISTIQUES DE LA PERSONNALITE DES ADOLES- CENTS DE ZANDWIJK 53
A. LA DEPRESSION 53 1. LA FAIBLE ESTIME DE SOI 54 2. CONTRASTE ENTRE
L'IMAGE DE SOI ET L'IMAGE IDEALE . 57 B. GARDE TON MASQUE ; UN
MECANISME DE DEFENSE 58 1. OBSERVATION 59 2. INTERPRETATIONS 59 3.
FACTEURS QUI INFLUENCENT LES MECANISMES DE DEFENSE 60 A) FACTEURS
APPARTENANT A UNE PERIODE DE LA VIE : FINIE L'ENFANCE, ON VEUT ETRE UN
HOMME . 60 B) FACTEURS PSYCHODYNAMIQUES PARTICULIERS : LA VIRILITE
OPPOSEE A LA FEMINITE 61 C) INFLUENCE DES CULTURES DE REMPLACEMENT :
ENFANTS-FLEURS OU ANGES DE LA NUIT? , 61 D) LE ROLE DU PASSE 62 4.
CONSEQUENCES DU MECANISME DE DEFENSE 63 A) UNE FACON DE SE MAITRISER 63
B) UN HANDICAP EN AMOUR 64 C) UN LAISSER-PASSER POUR LA DELINQUANCE .
64 C. LE BESOIN DE SUSPENSE 65 1. ON PEUT TOUT RISQUER QUAND ON N'A RIEN
A PERDRA . 65 342 2. UNE TENSION EXTERIEURE » MASQUE LA TENSION
INTERIEURE » 66 3. SUSPENSE ET SENSATION DE PUISSANCE 66 D. FONCTION DE
LA CONSCIENCE 68 1. SUR-MOI EXIGEANT OU NORMES INCOMPRISES? 69 2.
CONSCIENCE DEVIANTE DES NORMES A LA SUITE DE PRO BLEMES
D'IDENTIFICATION 70 E. DEFAILLANCE DU CONTROLE DE SOI 72 1. LE MANQUE DE
CONTROLE DE SOI. TROIS CAUSES SONT GENERALEMENT ADMISES 74 A) INFLUENCES
SUBIES DANS LA PRIME JEUNESSE : ENFANTS GATES OU ABANDONNES 74 B) LEGER
TRAUMATISME DU CERVEAU 74 C) CONSTITUTION 75 2. ATTRIBUTION DES ROLES
(TYPE CASTING) 75 3. PERSPECTIVE D'AVENIR TRONQUEE 76 F. REFERENCES AUX
RECHERCHES 77 CHAPITRE 3 * POLITIQUE DE LA PRISE EN CHARGE. PRINCIPES DE
DEPART 79 A. A QUI S'ADRESSE LA THERAPIE ? 79 1. POURQUOI UNE SELECTION?
79 A) CE QUI EST BON POUR L'UN PEUT ETRE NEFASTE POUR L'AUTRE 80 B) LES
EXTREMES NE PEUVENT ETRE TROP DIVERGENTS, LA OU L'ON SOUHAITE CREER UN
SENTIMENT DE COMMUNAUTE 81 2. CRITERES DE SELECTION 81 A) PROBLEMES DE
NATURE NEVROTIQUE 82 B) MOTIVATION : DANS QUEL BUT ? A QUEL PRIX ?. 82
C) COLLABORATION AVEC LES PARENTS 84 3. PROCESSUS DE LA PRISE EN CHARGE
85 B. PREMIERE RENCONTRE AVEC LE JEUNE : DEBUT DU TRAI TEMENT 86 1.
RECONNAISSANCE DE LA MAISON 86 2. ENTRETIEN INDIVIDUEL AVEC LE JEUNE 87
A) LES COLIS » NE SONT PAS ACCEPTES 87 343 B) PARTIE PRENANTE DANS UN
CONFLIT FAMILIAL ET NON BOUC-EMISSAIRE 88 C) LEUR RESPONSABILITE DANS
LES CONFLITS 88 D) QU'ONT-ILS A Y GAGNER? 89 E) QUELS SONT LEURS
PREJUDICES? 90 F) LES VRAIS OBJECTIFS DU SEJOUR A ZANDWIJK 91 G) A
PROPOS DU PRIX A PAYER 91 3. LIMITES DE LA MOTIVATION 92 C. POINTS DE
DEPART DES PARENTS, DES JEUNES ET DE L'INS TITUT 92 1. LE POINT DE VUE
DES PARENTS SUR LA PRISE EN CHARGE . 93 A) PARENTS QUI, PAR
IMPUISSANCE, CONFIENT L'EDU CATION DE LEUR FILS A UNE INSTITUTION
SPECIA LISEE 93 B) PARENTS QUI, MALGRE LEUR ASSENTIMENT, NE PAR
VIENNENT PAS A SE SEPARER DE LEUR FILS 94 C) PARENTS QUI SOUHAITENT VOIR
MAINTENIR LES OBJECTIFS QU'ILS ONT PREVU POUR LEUR FILS 95 D) PARENTS
QUI CONSIDERENT L'INSTITUT COMME L'ULTIME MOYEN AUTORITAIRE DE RAMENER
LEUR FILS DANS LE DROIT CHEMIN 96 E) PARENTS QUI RECUSENT LES PROBLEMES
ET METTENT EN CAUSE LA SOCIETE, SON ECHELLE DES VALEURS ET SES JUGEMENTS
98 2. AUTRES FACTEURS QUI INTERVIENNENT DANS LA PRISE EN CHARGE 98 A)
L'INSTITUT EST UN TERRAIN NEUTRE, HORS DE TOUTE TENSION FAMILIALE 101 B)
L'INSTITUT EST UN MOYEN DE SE DEBARRASSER DES PARENTS 102 C) L'INSTITUT
: CENTRE D'EXPERIMENTATION POUR UN NOUVEAU COMPORTEMENT 102 D)
L'INSTITUT : PROLONGEMENT DE L'AUTORITE 103 4. LE POINT DE VUE DE
L'INSTITUT CONCERNANT LE MILIEU FAMILIAL 104 CHAPITRE 4 * OBJECTIFS DU
TRAITEMENT 107 A. LES OBJECTIFS DU TRAITEMENT 107 344 1. LA REALISATION
DE SOI 107 2. LIBERATION DU PASSE 109 3. LE COMBAT CONTRE LA CONTRAINTE
DU PASSE 110 4. CONSTRUIRE PLUTOT QUE DETRUIRE 113 A) VERS D'AUTRES
RELATIONS 113 B) VERS UNE NOUVELLE CONCEPTION DU MOI 114 B. MODELES
THEORIQUES DE TRAITEMENT 115 1. LE MODELE PSYCHODYNAMIQUE OU
INTRAPSYCHIQUE . 116 2. LE MODELE TRANSACTIONNEL 119 3. UN TROISIEME
MODELE 122 4. CE QUI ECHAPPE AUX MODELES THEORIQUES 124 5. QUELQUES
REMARQUES 126 C. FACTEURS QUI ENTRAVENT LES OBJECTIFS DU TRAITEMENT .
127 1. OBSTACLES LIES A L'AGE 127 2. ENTRAVES SPECIFIQUES 128 3.
INFLUENCES NEGATIVES DU GROUPE 128 4. INFLUENCES NEGATIVES DU MILIEU
FAMILIAL 129 5. INFLUENCES NEGATIVES DE L'INSTITUT 130 D.
COLLABORATEURS. STRUCTURES DE COMMUNICATION 131 1. COMPOSITION DU
PERSONNEL 131 2. STRUCTURE ET CONCERTATION 134 3. LE TRAVAIL CONCRET 135
CHAPITRE 5 * LE GROUPE DE VIE EN TANT QUE MOYEN DE TRAI- TEMENT 139 A.
CARACTERISTIQUES DU GROUPE DE VIE 139 1. LE GROUPE DE VIE EST UN SYSTEME
PRIMAIRE 139 2. LE GROUPE DE VIE INSTITUTIONNEL EST UN GROUPE INSTABLE
140 3. LE GROUPE DE VIE EST UN GROUPE ARTIFICIEL 140 4. INFLUENCES
EXTERIEURES 141 A) INFLUENCE DE LA PHILOSOPHIE DU TRAITEMENT . 141 B)
INFLUENCE DU PLACEMENT JUDICIAIRE 141 C) INFLUENCE DES REGLEMENTS
DEPARTEMENTAUX . 142 D) INFLUENCE DES PARADOXES INHERENTS A L'INS
TITUT 142 E) INFLUENCE DU MILIEU SOCIAL ET GEOGRAPHIQUE . 142 5.
DYNAMIQUE DE GROUPE 143 345 A) LE CHOC DU PLACEMENT . 143 B) PREMIERE
TACHE : COMMENT VIVRE ICI ? 143 C) LES SOUS-GROUPES 144 D) DYADES ET
TRIADES 145 E) ROLES (LE RATE, LE BOUC-EMISSAIRE, LE TYRAN) . 145 B. LA
REPETITION DES MODELES RELATIONNELS FAMILIAUX . 146 1. ILLUSTRATION
147 A) LE MODELE RELATIONNEL AU SEIN DU GROUPE . 148 B) LE MODELE
RELATIONNEL DANS LA FAMILLE 149 2. FACTEURS QUI FAVORISENT LA REPETITION
150 A) LA PEUR DE LA SEPARATION 150 B) LA VIE INSTITUTIONNELLE 150 3.
IDENTIFICATION ET MODIFICATION DU MODELE RELATIONNEL REPETITIF 151 4.
INFLUENCE DE LA REPETITION SUR L'INTERACTION AU SEIN DE L'EQUIPE
THERAPEUTIQUE 152 C. DETERMINATION ET INDIVIDUALISATION DU CLIMAT DE VIE
. . 153 1. ILLUSTRATION 154 2. COMMENTAIRES 157 A) LE GROUPE CHANGE
CONSTAMMENT 157 B) AVEC OU SANS COHESION LES INTERACTIONS CONTI NUENT
158 C) CHAQUE GARCON EST DANS UN STADE DIFFERENT DE SON TRAITEMENT 159
D) CHAQUE GARCON EST DANS UNE SITUATION DIFFE RENTE 159 E) A ARMES
EGALES DANS L'ARENE 159 3. DETERMINATION DU CLIMAT 160 A) CONFLITS ET
ANGOISSES PEUVENT ETRE DISCUTES . 160 B) L'EDUCATEUR SE PRESENTE LUI
AUSSI COMME UN ETRE VULNERABLE 161 C) L'EDUCATEUR N'EST PAS UN COMPAGNON
DE HASARD, MAIS UN ETRE CONCERNE 161 D) PAS DE CENSURE SUR LES
SENTIMENTS TENDRES . 162 4. APPROCHE INDIVIDUELLE 162 A)
INTENSIFICATION DU CONFLIT CHEZ L'UN D'ENTRE EUX 162 346 B) MISE SUR LA
TOUCHE ET ILOT DE SECURITE CHEZ UN AUTRE 163 C) LE DROIT A LA
NON-PARTICIPATION POUR UN TROISIEME 163 D) TRAVAIL OBJECTIF POUR UN
QUATRIEME 163 D. INFLUENCE DE LA DYNAMIQUE DE GROUPE NECESSITE D'UNE
INTERVENTION ACTIVE 164 1. ILLUSTRATION 164 2. LA PUISSANCE DU
SOUS-GROUPE ENTRAVE LE DEVELOP PEMENT 167 3. PIEGES POUR L'EDUCATEUR
167 A) LE PARTAGE » DE LA PUISSANCE 168 B) ABSENCE DE REACTION
VIOLENTE 168 C) PASSIVITE DEGUISEE EN DEMOCRATIE 168 4. INTERVENTION
ACTIVE DE L'EDUCATEUR 169 E. INFLUENCE DE L'EDUCATEUR SUR LES ROLES ET
LES RELATIONS . . 170 1. ILLUSTRATION 171 2. LES RELATIONS DANS LA
TRIADE. LEUR ORIGINE DANS LE PASSE 173 3. INTERVENTION DE L'EDUCATEUR
DANS LA TRIADE 174 A) L'APPROCHE DU MEDIATEUR 174 B) DE LA
META-COMMUNICATION A LA COMMUNI CATION DIRECTE 175 C) LA RUPTURE DE LA
TRIADE MENE A L'ISOLEMENT D'UN DE SES MEMBRES 176 4. LE TRAVAIL
INDIVIDUEL AVEC L'ISOLE 176 5. COMMENTAIRE 177 F. LE FILM EN TANT QUE
MOYEN DE TRAITEMENT 178 1. LA REALISATION DES FILMS. SCENARIOS
COLLECTIFS ET INDIVIDUELS 179 2. LE FILM D'UN REVE 180 3. PRESENTATION
DU FILM. LE PUBLIC EN TANT QUE THE RAPEUTE 180 4. COMMENTAIRE 182 G.
DISCUSSIONS DE GROUPE 183 1. VARIETES DES OBJECTIFS 183 2. ILLUSTRATION
: VARIETE DES THEMES 184 3. COMMENTAIRE 189 347 A) CONFLITS AVEC ET
ENTRE EDUCATEURS 189 B) CHANGEMENT DE POLITIQUE 191 C) L'ANGOISSE DEVANT
LE CHANGEMENT DES NORMES ET VALEURS 192 CHAPITRE 6 * FORMATION EN COURS
. 195 A. FORMATION DIDACTIQUE ET EMOTIONNELLE 195 1. LE PASSE 195 2.
BUT ET MOTIVATIONS 196 3. ELABORATION DU CONTRAT 197 4. DETAILS
TECHNIQUES 198 B. PREMIERE PHASE : CONNAISSANCE DES INTERACTIONS AU SEIN
DU GROUPE 199 1. MATERIEL NECESSAIRE A UNE SOIREE DE GROUPE 200 A)
RAPPORTS DE LA SOIREE DE GROUPE 200 B) FICHES SIGNALANT LES
CARACTERISTIQUES DE LA SOIREE 204 C) FICHES SIGNALANT LES
CARACTERISTIQUES DES GAR CONS 206 2. COMMENTAIRE 210 C. SECONDE PHASE :
LES EXPERIENCES VECUES 211 1. DE LA CONNAISSANCE A L'EXPERIENCE
PERSONNELLE . 211 2. UN JEU DE COMMUNICATION 212 3. DISCUSSION 214 D.
LA TROISIEME PHASE : L'AIDE 215 1. ILLUSTRATION : LE DEVELOPPEMENT D'UNE
DEMANDE D'AIDE 216 2. LE JEU DES ROLES PARTIELS 217 A) LES REGLES DU JEU
218 B) ILLUSTRATION DU JEU 218 C) COMMENTAIRE 220 E. PROBLEMES DE
L'ANIMATEUR DU STAGE DE FORMATION 222 1. LE RAPPORT NON-REDIGE 222 2.
LES CONTACTS INDIVIDUELS ENTRE UN MEMBRE DE L'EQUIPE ET LE SUPERVISEUR
RESPONSABLE DE LA FOR MATION 223 3. LES RETARDS 223 4. LA CHAISE VIDE
223 348 5. LE REFUS DE PARTICIPATION 224 CHAPITRE 7 * SUIVRE LES
INCIDENTS ET TRAVAILLER AVEC 225 A. AIDE 225 1. INTRODUCTION : POURQUOI
EXERCER UNE PRESSION SUR LES ETUDES OU LE TRAVAIL ? 225 2. AIDE DANS LES
ETUDES 228 A) ANALYSE DES TROUBLES QUI APPARAISSENT DANS LES ETUDES 228
B) UN PROGRAMME D'ETUDES STRUCTURE 230 3. AIDE DANS LE TRAVAIL 232 4.
AUTRES ACTIVITES. CONTACTS AVEC LE MONDE EXTERIEUR . 233 A) L'ATELIER
233 B) ACTIVITES DE GROUPE 233 C) CONTACTS AVEC LE MONDE EXTERIEUR 234
5. ETENDUE ET LIMITES DE L'EXPERIMENTATION 235 A) ETENDUE DE
L'EXPERIMENTATION 235 B) LIMITES DE LA LIBERTE D'EXPERIMENTATION :
DILEMMES DE NOTRE POLITIQUE 237 B. LES INCIDENTS 238 1. LES INCIDENTS EN
MILIEU THERAPEUTIQUE 238 2. L'UTILISATION DES INCIDENTS DANS UN BUT
THERAPEU TIQUE 239 A) ORIGINE DE L'INCIDENT DANS L'INTERACTION DU
GROUPE 240 B) UTILISATION DE L'INCIDENT * INTERACTION DU PERSONNEL
EDUCATEUR 242 C) LA DISCUSSION DE GROUPE 244 3. DELITS 244 A)
SOUPCONNER? 244 B) ANALYSE DES CAUSES 245 C) CONFRONTATION AVEC LES
VICTIMES. DEDOMMA GEMENTS 247 D) INTERRUPTION DU TRAITEMENT A LA SUITE
D'UNE SANCTION JUDICIAIRE 248 E) ILLUSTRATION 249 4. LA DROGUE 250 A)
DEVELOPPEMENT DU PROBLEME 250 349 B) FAUT-IL PASSER A LA REPRESSION .
252 C) UNE SOLUTION DE RECHANGE : L'INFORMATION ET LA RECHERCHE D'UN
POINT DE DEPART COMMUN AU PERSONNEL EDUCATEUR ET AUX JEUNES 252 CHAPITRE
8 * LA PSYCHOTHERAPIE INDIVIDUELLE 257 A. POINTS DE VUE STRATEGIQUES
257 1. LA POSITION DU THERAPEUTE A L'INSTITUT 257 2. LA SITUATION DE
L'ADOLESCENT A ZANDWIJK . 258 3. QUELS SONT LES PROTAGONISTES DE LA
RELATION ADOLES CENT THERAPEUTE? 259 4. LE ROLE DU THERAPEUTE PAR
RAPPORT A CELUI DES AUTRES COLLABORATEURS 260 A) LE SECRET 260 B) LE
POUVOIR DU THERAPEUTE 261 C) (IM)PARTIALITE 262 5. PSYCHOTHERAPIE
INDIVIDUELLE ET AUTRES METHODES DE TRAITEMENT 262 B. PHASE INITIALE DE
LA THERAPIE 264 1. PREMIERE RENCONTRE 264 2. MOTIVATION DES ENTRETIENS
265 3. TENSIONS CREEES PAR L'ADMISSION A L'INSTITUT 265 A) LE CAFARD »
265 B) LA CONFUSION 266 C) L'ANGOISSE 266 4. METHODES VISANT A REDUIRE
LES TENSIONS 267 5. APPRENDRE A S'OBSERVER? 268 C. LES POINTS DE
CORRESPONDANCE AVEC LA VIE QUOTIDIENNE . . 269 1. LES COMPORTEMENTS
AUSSI MENENT A L'INCONSCIENT . 269 2. DE L'ACTUALITE AU PASSE 270 3.
DIFFUSION DU TRANSFERT 271 4. FACILITATION DU TRAVAIL DES AUTRES MEMBRES
DE L'EQUIPE 272 D. APPORTS SPECIFIQUES DE LA PSYCHOTHERAPIE 274 1.
COMMENT TRAITER CES DEFENSES? 274 2. LE TRAITEMENT DE LA DEPRESSION 277
350 CHAPITRE 9 * COMMENT AIDER LES FAMILLES ? 283 A. THERAPIE FAMILIALE
ET TRAITEMENT RESIDENTIEL : UNE COMBINAISON DIFFICILE ? 283 B.
ENTRETIENS DIVERS 285 1. CONTACT SOCIAL REGULIER AVEC LES PARENTS 285 2.
ENTRETIENS SUR LA POLITIQUE A SUIVRE 285 3. ENTRETIENS ACCESSOIRES 287
4. ENTRETIENS REGULIERS AVEC LA FAMILLE 290 5. CONTACTS AVEC LES PARENTS
292 6. L'INTEGRATION DES CONTACTS FAMILIAUX DANS L'EN SEMBLE 294 C.
OBJECTIFS ET STRATEGIES D'INTERVENTION DANS LE TRAITEMENT FAMILIAL 297
1. LIBERTE OFFERTE AUX PARENTS QUANT A LEUR REACTION SUR LA PRISE EN
CHARGE DE LEUR FILS 297 2. INFORMATION CONCERNANT LE TRAITEMENT 298 3.
PROBLEMES DE COMMUNICATION ENTRE PARENTS ET ENFANTS 299 4. EVOLUTION DU
STATUT DE BOUC-EMISSAIRE DU FILS . 301 5. RELACHEMENT DU LIEN
PARENTS-ENFANT 303 6. CREATION D'UN MODE DE VIE, DE NORMES NOUVELLES ET
DE VALEURS PROPRES 304 7. PROBLEME DU CONFLIT DE LOYAUTE
FAMILLE-INSTITUTION : FAUT-IL PRENDRE PARTI? 306 8. L'ACCEPTATION D'UNE
RUPTURE DURABLE ENTRE LES PARENTS ET L'ENFANT 308 9. COORDINATION DES
STRATEGIES 309 D. DEPART DE ZANDWIJK 311 1. PREPARATION DU DEPART 311 2.
CONTACTS ULTERIEURS 313 CHAPITRE 10 * PROBLEMES D'ORGANISATION.
DEVELOPPEMENTS RECENTS. PLANS POUR L'AVENIR 315 A. PARADOXES ET DILEMMES
315 1. PARADOXES INHERENTS A L'INSTITUTION 315 2. ISOLEMENT DE
L'INSTITUTION 317 3. ILLUSTRATION 317 351 4. STRUCTURATION DU PROGRAMME,
MAIS COMMENT ? . 320 5. LA BUREAUCRATIE A L'INSTITUTION 323 A) LA
PUISSANCE LIMITEE DE L'EDUCATEUR DE GROUPE 323 B) REUNIONS ET RAPPORTS
SECRETS ENGENDRENT LA MEFIANCE 324 B. DIFFICULTES STRUCTURELLES 325 1.
INSTRUCTION ET FORMATION CONTINUE DES EDUCATEURS DE GROUPE 326 2.
DISCONTINUITE DE L'EQUIPE DES EDUCATEURS 327 C. PROJET AVENUE DES
REGENTES » 328 D. PLANS POUR UN NOUVEAU ZANDWIJK 330 1. ACCUEIL DE
NOUVEAUX TYPES DE PROBLEMES 330 2. CESSATION DE LA SEPARATION EXISTANT
ENTRE LE TRAITE MENT INTERNE ET EXTERNE 331 3. VARIETE DE MILIEUX ET
D'APPROCHES THERAPEUTI QUES 332 4. QUALITE DU MODELE : UNITE, VARIETE,
CONTINUITE, FLEXIBILITE 333 CONCLUSION 335 BIOGRAPHIE DES AUTEURS 339
ACHEVE D'IMPRIMER SUR LES PRESSES DE L'IMPRIMERIE CINO DEL DUCA, 18, RUE
DE FOLIN, A BIARRITZ LE 20 AOUT 1976. * D'EDITION : F 76 078 *
D'IMPRESSION : 437 DEPOT LEGAL : 3 TRIMESTRE 1976. |
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