Traité théorique et pratique de droit civil: Supplément T. 5.
Gespeichert in:
1. Verfasser: | |
---|---|
Format: | Buch |
Sprache: | French |
Veröffentlicht: |
Bad Feilnbach
Schmidt Periodicals
2001
|
Online-Zugang: | Inhaltsverzeichnis |
Beschreibung: | Nachdr. [der Ausg.] Paris, Recueil Sirey, 1930 |
Beschreibung: | 893 S. |
Internformat
MARC
LEADER | 00000nam a2200000 cc4500 | ||
---|---|---|---|
001 | BV013953512 | ||
003 | DE-604 | ||
007 | t | ||
008 | 011002r2001uuuugw |||| 00||| fre d | ||
016 | 7 | |a 962376884 |2 DE-101 | |
035 | |a (OCoLC)166105844 | ||
035 | |a (DE-599)BVBBV013953512 | ||
040 | |a DE-604 |b ger |e rakddb | ||
041 | 0 | |a fre | |
044 | |a gw |c DE | ||
049 | |a DE-12 |a DE-19 | ||
084 | |a 8,2 |2 ssgn | ||
100 | 1 | |a Bonnecase, Julien |e Verfasser |4 aut | |
245 | 1 | 0 | |a Traité théorique et pratique de droit civil |b Supplément |n T. 5. |c par Julien Bonnecase. G. Baudry-Lacantinerie |
264 | 1 | |a Bad Feilnbach |b Schmidt Periodicals |c 2001 | |
300 | |a 893 S. | ||
336 | |b txt |2 rdacontent | ||
337 | |b n |2 rdamedia | ||
338 | |b nc |2 rdacarrier | ||
500 | |a Nachdr. [der Ausg.] Paris, Recueil Sirey, 1930 | ||
700 | 1 | |a Baudry-Lacantinerie, Gabriel |e Sonstige |4 oth | |
773 | 0 | 8 | |w (DE-604)BV013953508 |g 5 |
856 | 4 | 2 | |m DNB Datenaustausch |q application/pdf |u http://bvbr.bib-bvb.de:8991/F?func=service&doc_library=BVB01&local_base=BVB01&doc_number=009549068&sequence=000001&line_number=0001&func_code=DB_RECORDS&service_type=MEDIA |3 Inhaltsverzeichnis |
943 | 1 | |a oai:aleph.bib-bvb.de:BVB01-009549068 |
Datensatz im Suchindex
_version_ | 1808136984412028928 |
---|---|
adam_text |
.
TABLE
DES
MATIERES
DISTINCTION,
CLASSIFICATION
ET
NATURE
SPECIFIQUE
DES
DIVERSES
CATE
GORIES
DE
DROITS.
LES
DISCUSSIONS
SOULEVEES
EN
LEGISLATION,
DOC
'
TRINE
ET
JURISPRUDENCE
PAR
CES
ORDRES
D'IDEES.
PAGE
1.
LA
DISTINCTION
CLASSIQUE
DU
DROIT
REEL
ET
DU
DROIT
DE
CREANCE;
LES
CON
TROVERSES
ACTUELLES
AU
SUJET
DE
SON
BIEN-FONDE.
-
2.
LES
DIVERSES
CA
TEGORIES
DE
DROITS
REELS
ET
DE
DROITS
DE
CREANCE
CORRESPONDENT-ELLES
RESPECTIVEMENT
A
UNE
NOTION
UNIQUE?
3.
LES-CATEGORIES
DE
DROITS
IN
TERMEDIAIRES
ENTRE
LE
DROIT
REEL
ET
L
'
OBLIGATION
OU
DROIT
DE
CREANCE,
RESPECTIVEMENT
CONSIDEREES
DANS
LEUR
ESSENCE
PURE.
-
4.
LA
NOTION
DE
PRIVILEGE
ET
SA
NATURE
SPECIFIQUE
PRISES
DANS
LEUR
OPPOSITION
TANT
AVEC
LE
DROIT
REEL
QU
'
AVEC
LE
DROIT
DE
CREANCE.
-
3.
LES
DISCUSSIONS
SUSCI
TEES
PAR
LA
NATURE
SPECIFIQUE
DES
DROITS
INTELLECTUELS
;
CES
DROITS
RESSORTISSENT-ILS
SOIT
A
LA
NOTION
DE
DROIT
REEL,
SOIT
A
LU
NOTION
DE
DROIT
DE
CREANCE,
OU
REPRESENTENT-ILS,
AU
CONTRAIRE,
UNE
CATEGORIE
AU
TONOME?
LE
PROBLEME
DE
LA
PROPRIETE
SCIENTIFIQUE
.
-
6.
LA
NATURE
SPECIFIQUE
DES
DROITS
DE
FAMILLE
PAR
OPPOSITION
AUX
DROITS
PATRIMONIAUX.
-
7.
CONCLUSION
GENERALE
ET
SOLUTION
D
'
ENSEMBLE
.
1
OBSERVATIONS
PRELIMINAIRES.
LA
PORTEE
DES
PROBLEMES
EXAMINES
DANS
CETTE
PREFACE
ET
LEUR
CARACTERE
D
'
ORDRE
GENERAL;
CES
PRO
BLEMES
DOMINENT
LE
DROIT
CIVIL
TOUT
ENTIER;
LES
DIVERGENCES
DE
VUES
SOULEVEES
PAR
EUX
EN
LEGISLATION,
EN
DOCTRINE
ET
EN
JURIS
PRUDENCE
ONT
EU'POUR
CONSEQUENCE
DE
REMETTRE
EN
QUESTION
DES
SOLUTIONS
D
'
ORDRE
FONDAMENTAL
QUI
PASSAIENT
POUR,
DEFINITIVEMENT
ET
INTEGRALEMENT,
ACQUISES
EN
DROIT
CIVIL.
DE
LA,
LA
NECESSITE
D
'
UN,
EXAMEN
D
'
ENSEMBLE,
A
TITRE
SEPARE,
DE
CES
DIVERS
PROBLEMES.
ORDRE
DES
DEVELOPPEMENTS
.
1
S
ECTION
I.
-
R
APPEL
DE
LA
DISTINCTION
DU
DROIT
REEL
ET
DU
DROIT
DE
CREANCE
OU
OBUGATION,
D
'
APRES
LA
DOCTRINE
CLASSIQUE.
EXPOSE
DESCRIP
TIF
ET
CRITIQUE
DES
DISCUSSIONS
SOULEVEES,
A
L
'
HEURE
ACTUELLE,
PAR
CETTE
DISTINCTION.
L
E
CONFLIT
DES
THESES
UNITAIRES
ET
DE
LA
THESE
DUALISTE,
COMME
AUSSI
DES
THESES
UNITAIRES
ENTRE
ELLES.
CONCLUSION;
LE
BIEN-FONDE
DE
LA
THESE
DUALISTE,
QUI
ETABLIT
L
'
EXISTENCE
D
'
UNE
DIFFE
RENCE
DE
PRINCIPE
SPECIFIQUE
ET
IRREDUCTIBLE
ENTRE
LE
DROIT
REEL
BT
LE
DROIT
DE
CREANCE
OU
OBLIGATION
.
9
§
I.
-
LA
DISTINCTION
DU
DROIT
REEL
ET
DU
DROIT
DE
CREANCE,
D
'
APRES
LA
DOCTRINE
CLASSIQUE.
LA
FORME
RESPECTIVEMENT
DONNEE
A
CETTE
DOCTRINE,
PAR
BAUDRY-LACANTINERIE,
D'UNE
PART,
ET
PAR
DEMOLOMBE,
D'AUTRE
PART
.
JQ
I.
-
LA
DISTINCTION
CLASSIQUE
DU
DROIT
REEL
ET
DU
DROIT
DE
CREANCE,
D
'
APRES
BAUDRY-LACANTINERIE
(.PRECIS
DE
DROIT
CIVIL,
14
ED.,
PAR
GUYOT,
T.
I)
.
1
S
UPPL
.
TN.
OR
CIV
.
-
V.
55
866
IABI.E
DES
.MATIERES
PAGES
II.
-
OBSERVATIONS
CRITIQUES
SUR
LA
THEORIE
DE
BAUDRY-LACAN-
TINERIE,
QUI
POSE,
EN
PRINCIPE,
L
'
EXISTENCE
D
'
UNE
OPPOSITION
IRREDUCTIBLE
ET
INTEGRALE
ENTRE
LE
DROIT
REEL
ET
LE
DROIT
DE
CREANCE
.
16
III.
-
LA
DISTINCTION
DU
DROIT
REEL
ET
DU
DROIT
DE
CREANCE
D
'
APRES
DEMOLOMBE
(COURS
DE
CODE
NAPOLEON,
T.
IX.
DE
LA
DISTINCTION
DES
BIENS,
P.
464
ET
S.)
.
18
§
II.
-
LA
CONCEPTION
UNITAIRE
DE
LA
THEORIE
DU
DROIT
REEL
ET
DU
DROIT
DE
CREANCE.
SES
DEUX
FORMES
:
1
L'OBLIGATION
OU
DROIT
DE
CREANCE
RAMENE
AU
DROIT
REEL;
2
LE
DROIT
REEL
TRANSFORME
EN
OBLI
GATION
PASSIVEMENT
UNIVERSELLE
.
22
1.
-
LES
DEUX
VARIANTES
DE
LA
CONCEPTION,
UNITAIRE
DE
LA
THEO
RIE
DU
DROIT
REEL
ET
DE
L
'
OBLIGATION
.
22
II.
-
PREMIERE
VARIANTE
DE
LA
THESE
UNITAIRE
:
L'OBLIGATION
IDENTIFIEE
AVEC
LE
DROIT
REEL
.
23
III.
-
DEUXIEME
VARIANTE
DE
LA
THESE
UNITAIRE
:
LE
DROIT
REEL
RAMENE
A
LA
NOTION
D
'
OBLIGATION,
SOUS
LA
(ORME
D
'
UNE
OBLI
GATION
PASSIVEMENT
UNIVERSELLE
.
30
§
III.
-
LE
BIEN-FONDE
DE
LA
THESE
DUALISTE
QUI
ETABLIT
L
'
EXISTENCE
D
'
UNE
DIFFERENCE
DE
PRINCIPE
SPECIFIQUE
ET
IRREDUCTIBLE
ENTRE
LE
DROIT
REEL
ET
LE
DROIT
DE
CREANCE
OU
OBLIGATION
.
49
I.
-
L'OBJECTION
DECISIVE
A
LAQUELLE
SE
HEURTE
LA
THESE
UNI
TAIRE,
PLUS
SPECIALEMENT
DANS
SA
DEUXIEME
VARIANTE
YY
LE
DROIT
REEL
RAMENE
A
UNE
OBLIGATION
PASSIVEMENT
UNIVERSELLE.
DROIT
REEL
ET
OBLIGATION
ONT
DES
OBJETS
SPECIFIQUEMENT
DIFFERENTS
ET
IRREDUCTIBLES
L
'
UN
A
L
'
AUTRE.
LE
DROIT
REEL
TRADUIT
JURIDIQUE
MENT
L
'
APPROPRIATION
DES
RICHESSES,
ET
LE
DROIT
DE
CREANCE
OU
OBLIGATION
L
'
UTILISATION
SOCIALE
DES
SERVICES
.
.
'
IO
II.
-
LES
DONNEES
ECONOMIQUES
SUR
L
'
APPROPRIATION
DES
RICHES
SES
ET
L
'
UTILISATION
DES
SERVICES
JUSTIFIENT
LA
DOCTRINE
JURIDI
QUE
TRADITIONNELLE
DE
LA
DISTINCTION
DU
DROIT
REEL
ET
DE
L
'
OBLIGATION.
CONSIDERES
DANS
LEUR
ESSENCE
PURE,
LE
DROIT
REEL
ET
LE
DROIT
DE
CREANCE
SONT
EXCLUSIFS
L
'
UN
DE
L
'
AUTRE,
PARCE
QU
'
AYANT
POUR
OBJET
:
LE
PREMIER
UNE
CHOSE
MATERIELLE
ET
LE
SECOND
UN
ACTE
OU
UNE
ABSTENTION
.
66
III.
-
CONCLUSION
.
82
S
ECTION
II.
-
L
ES
DIVERSES
CATEGORIES
DE
DROITS
REELS
ET
DE
DROIT
DE
CREANCE
.
C
ES
CATEGORIES
CORRESPONDENT
-
ELLES
RESPECTIVEMENT
A
UNE
NOTION
UNIQUE
?
.
84
I.
-
OBSERVATION
PRELIMINAIRE.
ENONCE
DES
QUESTIONS
DERIVANT
NECESSAIREMENT
DE
LA
THEORIE
CLASSIQUE
SUR
LE
DROIT
REEL
ET
LE
DROIT
DE
CREANCE,
MAIS
LAISSEES
EN
SUSPENS
PAR
CETTE
THEO
RIE
.
84
§
I.
-
LES
DIVERSES
CATEGORIES
DE
DROITS
REELS
ET
LEURS
TRAITS
DIS
TINCTIFS.
LE
PROBLEME
:
IDENTITE
DE
NATURE
DE
CES
DIVERS
DROITS
ET
DIFFERENCIATION
SOUS
LE
RAPPORT
DES
CARACTERES
SECONDAIRES
OU,
AU
CONTRAIRE,
DIFFERENCE
DE
NATURE
ET
SIMILITUDE
APPARENTE
.
85
TABLE
DES
MATIERES
867
PAGES
I.
-
ENONCE
DE
LA
CLASSIFICATION
DOCTRINALE
DES
DROITS
REELS
EN
DROITS
REELS
MATERIELS,
DROITS
REELS
INTELLECTUELS,
DROITS
REELS
JURIDIQUES
ET
DROITS
REELS
GENERAUX
(RENVOI
DE
LA
DISCUS
SION)
.
86
II.
-
LES
DROITS
REELS
MATERIELS
ET
LA
DOCTRINE
.
87
III.
-
LES
DROITS
REELS
INTELLECTUELS
.
97
IV.
-
UNE
EXPLICATION
DE
L
'
EXISTENCE
DE
DROITS
REELS
INTELLEC
TUELS
PAR
L
'
EXTENSION
DE
LA
NOTION
DE
CHOSE
.
106
V.
-
LES
DROITS
REELS
JURIDIQUES
ET
LA
DOCTRINE
.
118
VI.
-
LES
DROITS
REELS
GENERAUX
ET
LA
DOCTRINE
.
123
VII.
-
OBSERVATIONS
CRITIQUES
PARTIELLES
SUR
LA
PRETENDUE
DIS
TINCTION
DES
DROITS
REELS
MATERIELS,
DES
DROITS
REELS
INTEL
LECTUELS,
DES
DROITS
REELS
JURIDIQUES
ET
DES
DROITS
REELS
GENE
RAUX
OU
SUR
UNIVERSALITE.
REJET
DES
NOTIONS
DE
DROIT
REEL
JURIDIQUE
ET
DE
DROITS
REELS
GENERAUX
;
OPINION
CON
FORME
DES
AUTEURS
DU
TRAITE.
RESERVE
DE
LA
QUESTION
EN
CE
QUI
CONCERNE
LA
NOTION
DE
DROIT
REEL
INTELLECTUEL
.
130
VIII.
-
IMPOSSIBILITE
DE
CONCEVOIR
AU
SEIN
D
'
UN
DROIT
REEL
QUEL
CONQUE,
SERAIT-CE
LE
DROIT
DE
PROPRIETE,
LA
CONCOMITANCE
OU
LA
DISTINCTION
D
'
UN
DROIT
REEL
MATERIEL
ET
D
'
UN
DROIT
REEL
JURI
DIQUE.
REJET,
EN
CONSEQUENCE,
DE
L
'
EXISTENCE
DE
LA
NOTION
DE
DROIT
REEL
JURIDIQUE
SOUS
SON
PREMIER
ASPECT;
OPINION
CON
FORME
DES
AUTEURS
DU
TRAITE
.
130
IX.
-
REJET
DE
LA
NOTION
DU
DROIT
REEL
JURIDIQUE
SOUS
SON
SE
COND
ASPECT,
C
'
EST-A-DIRE
EN
TANT
QUE
DROIT
PORTANT
SUR
UN
DROIT
PRIS
EN
LUI-MEME.
IMPOSSIBILITE
SCIENTIFIQUE
ET
PRATIQUE
A
LA
FOIS
DE
CONCEVOIR
UN
DROIT
REEL
AYANT
POUR
OBJET
UN
DROIT
DE
CREANCE
OU
MEME
UN
AUTRE
DROIT
REEL
TOUJOURS
PRIS
EN
LUI-MEME
.
133
X.
-
REJET
DE
LA
NOTION
DES
DROITS
REELS
GENERAUX.
LA
QUES
TION
DE
LA
NATURE
SPECIFIQUE
DES
DROITS
PORTANT
SUR
DES
UNI
VERSALITES
JURIDIQUES
SPECIALES,
C
'
EST-A-DIRE
AUTRES
QUE
LE
PA
TRIMOINE
.
T
.
154
XI.
-
LA
DISTINCTION
DES
DROITS
REELS
PRINCIPAUX
ET
DES
DROITS
REELS
ACCESSOIRES
OU
DES
DROITS
REELS
DU
PREMIER
DEGRE
ET
DES
DROITS
REELS
DU
SECOND
DEGRE.
ENUMERATION
DE
CES
DIVERS
DROITS
D
'
APRES
LA
DOCTRINE
CLASSIQUE
.
166
XII.
-
LA
SOUS-DISTINCTION
DES
DROITS
REELS
PRINCIPAUX
OU
DU
PREMIER
DEGRE
EN
DROIT
DE
PROPRIETE
ET
EN
DROITS
REELS
DE
MEMBRES
DE
LA
PROPRIETE.
UNITE
RIGOUREUSE
DE
LA
NATURE
SPE
CIFIQUE
DE
CES
DEUX
CATEGORIES
DE
DROITS
.
184
XIII.
-
LA
SOUS-DISTINCTION
DES
DROITS
REELS
ACCESSOIRES
OU
DU
SECOND
DEGRE
EN
GAGE,
ANTICHRESE,
PRIVILEGE,
HYPOTHE
QUE.
LES
DIFFERENCES
QUI
SEPARENT
CES
DIVERS
DROITS
ENTRE
EUX,
D
'
UNE
PART,
ET
D
'
AVEC
LES
DROITS
REELS
DU
PREMIER
DEGRE,
D
'
AUTRE
PART.
LE
DROIT
DE
SUITE
ET
LE
DROIT
DE
PREFERENCE
NE
JOUENT
DANS
LA
RIGUEUR
DU
TERME
QU
'
AVEC
LES
DROITS
REELS
DU
SECOND
DEGRE
OU,
PLUS
EXACTEMENT,
AVEC
CERTAINS
D
'
EN
TRE
EUX
.
206
868
TABLE
DES
MATIERES
PAGES
G
II.
-
LES
DIVERSES
CATEGORIES
D
'
OBLIGATIONS
OU
DROITS
DE
CREANCE.
LE
PROBLEME
POSE
PAR
LEUR
NATURE
SPECIFIQUE
EST
PARALLELE
A
CELUI
SOULEVE
PAR
LA
NATURE
DES
DIVERS
DROITS
REELS
:
LES
DIVERSES
CATE
GORIES
D'OBLIGATIONS
OU
DROITS
DE
CREANCE
SONT-ELLES
D'UNE
ES
SENCE
IDENTIQUE
?
DISTINCTION
:
1
DES
OBLIGATIONS
CIVILES
ET
DES
OBLIGATIONS
NATURELLES;
2
DES
OBLIGATIONS
PERSONNELLES
ET
DES
OBLI
GATIONS
REELLES
OU
PROPTER
REM
.
217
I.
-
DIVISION
.
217
II.
-
LA
DISTINCTION
DES
OBLIGATIONS
CIVILES
ET
DES
OBLIGATIONS
NATURELLES.
LA
DIFFERENCE
SPECIFIQUE
EXISTANT
ENTRE
CES
DEUX
CATEGORIES
D
'
OBLIGATIONS
.
217
III.
-
EXPOSE
DE
LA
DOCTRINE
CLASSIQUE
DES
OBLIGATIONS
NA
TURELLES
D'APRES
AUBRY
ET
RAU
(T.
IV,
P.
3-12)
.
218
IV.
-
OBSERVATIONS
SUR
LA
THEORIE
DE
L
'
OBLIGATION
NATURELLE
PAR
AUBRY
ET
RAU
.
223
V.
-
L
'
EXPOSE
DE
LA
THEORIE
DES
OBLIGATIONS
NATURELLES
PAR
PLANIOL
.
228
VI.
-
OBSERVATIONS
SUR
LA
THEORIE
DE
L
'
OBLIGATION
NATURELLE
D
'
APRES
PLANIOL
.
232
VII.
-
LA
CONCEPTION
DE
L
'
OBLIGATION
NATURELLE
PAR
M.
SA
VATIER.
LE
RENVERSEMENT
INTEGRAL
DE
LA
NOTION
CLASSIQUE
D
'
OBLIGATION
NATURELLE
.
233
VIII.
-
RENVOI
DE
LA
DISCUSSION
DE
LA
CONCEPTION
DE
L
'
OBLI
GATION
NATURELLE
DE
SAVATIER
.'.
.
244
IX.
-
LA
THEORIE
DE
L
'
OBLIGATION
NATURELLE
D
'
APRES
RIPERT
DANS
SON
LIVRE
:
LA
REGLE
MORALE
DANS
LES
OBLIGATIONS
CIVILES
.
243
X.
-
SOLUTION
PROPOSEE
SUR
LA
NATURE
JURIDIQUE
DE
L
'
OBLIGATION
NATURELLE
ET
SON
DOMAINE
D
'
APPLICATION.
EXAMEN
CRITIQUE
DES
THEORIES
D
'
AUBRY
ET
RAU,
PLANIOL,
RIPERT,
SAVATIER
ET
DES
AUTRES
DOCTRINES
PLUS
OU
MOINS
CONNEXES.
PLAN
DE
LA
DISCUSSION
.
268
XL
-
POINT
DE
DEPART
DE
LA
RECHERCHE
DE
LA
SOLUTION
DU
PRO
BLEME
POSE
PAR
LA
NATURE
JURIDIQUE
ET
LE
DOMAINE
D
'
APPLICA
TION
DE
L
'
OBLIGATION
NATURELLE
:
LA
DISTINCTION
DU
DROIT
ET
DE
LA
MORALE.
NEGATION
DE
CETTE
DISTINCTION,
&
L
'
HEURE
AC
TUELLE,
SOUS
L
'
INFLUENCE
DU
ROMANTISME
JURIDIQUE.
CONSEQUEN
CES
DE
CETTE
NEGATION
EN
MATIERE
D
'
OBLIGATIONS
NATURELLES
.
269
XII.
-
EXAMEN
CRITIQUE,
SUR
LA
BASE
D
'
UNE
DIFFERENCE
DE
NA
TURE
SPECIFIQUE
ENTRE
LE
DROIT
ET
LA
MORALE,
DU
CONFLIT
DES
OPINIONS
DOCTRINALES
EXISTANT,
A
L
'
HEURE
ACTUELLE,
EN
MATIERE
D
'
OBLIGATIONS
NATURELLES
.
287
XIII.
-
SOLUTION
PROPOSEE
SUR
LA
NOTION
D
'
OBLIGATION
NATURELLE
D
'
APRES
LE
DROIT
POSITIF
ACTUEL.
LA
NOTION
D
'
OBLIGATION
NA
TURELLE
EST
UNE
NOTION
EXCLUSIVEMENT
TECHNIQUE
TRADUISANT
UNE
OBLIGATION
CIVILE
IMPARFAITE
OU
CONDITIONNELLE,
OU
PLU
TOT
UNE
OBLIGATION
CIVILE
VIRTUELLE,
A
DOUBLE
DEGRE.
L
'
OBLIGA
TION
NATURELLE
DOIT
ETRE
ESSENTIELLEMENT
DINTINGUEE,
D
'
UNE
PART,
DU
DEVOIR
MORAL,
ET,
D
'
AUTRE
PART,
DE
L
'
OBLIGATION
CI
VILE
IMPOSEE,
A
DEFAUT
DE
TEXTES,
PAR
LES
DONNEES
DES
SOUR
CES
REELLES
DU
DROIT.
CONFORMITE
DE
CETTE
SOLUTION
AVEC
LA
JURISPRUDENCE
ACTUELLE
.
306
TABLE
DES
MATIERES
869
PAGES
XIV.
-
REMARQUE
.
314
XV.
-
OBLIGATIONS
PERSONNELLES
ET
OBLIGATIONS
REELLES
OU
PROFI
TER
REM
.
ENONCE
DU
PROBLEME
POSE
PAR
CETTE
DISTINCTION.
314
XVI.
-
QUESTION
PREJUDICIELLE
SUR
LA
NOTION
D
'
OBLIGATION
REELLE.
CETTE
OBLIGATION
DOIT-ELLE
ETRE
CONSIDEREE
INELUCTABLEMENT
COMME
SPECIFIQUEMENT
DISTINCTE
DE
LA
NOTION
DE
SERVITUDE,
SURTOUT
QUAND
ELLE
ASTREINT
LE
DEBITEUR
A
ACCORDER
DES
AC
TES
POSITIFS?
.
328
XVII.
-
LA
THEORIE
DE
L
'
OBLIGATION
REELLE
D
'
APRES
M.
MICHON
(DES
OBLIGATIONS
PRQPTER
REM
DANS
LE
CODE
CIVIL,
1891).
351
XVIII.
-
SOLUTION
PROPOSEE
SUR
LA
NOTION
D
'
OBLIGATION
REELLE
OU
PROPTER
REM
.
LA
FORMULE
:
IL
EXISTE
DANS
NOTRE
DROIT
POSITIF
ACTUEL,
SOUS
LE
NOM
D
'
OBLIGATIONS
REELLES
OU
PROP
TER
REM
,
DES
OBLIGATIONS
ENTIEREMENT
DISTINCTES
:
D
'
UNE
PART,
DES
OBLIGATIONS
PERSONNELLES
OU
OBLIGATIONS
PROPREMENT
DITES,
D
'
AUTRE
PART,
DES
DROITS
REELS.
CES
OBLIGATIONS
CONSIS
TENT
ESSENTIELLEMENT
DANS
LA
NECESSITE
POUR
LE
DEBITEUR
D
'
AC
COMPLIR
UN
ACTE
POSITIF,
EXCLUSIVEMENT
A
RAISON
ET
DANS
LA
MESURE
D
'
UNE
CHOSE
QU
'
IL
DETIENT,
LESDITES
OBLIGATIONS
SE
TRANSMETTANT,
EN
CONSEQUENCE,
IPSO
JURE
AUX
DETENTEURS
SUCCESSIFS
DE
LA
CHOSE,
SANS
QU
'
EN
AUCUN
CAS
ELLES
SE
TRANS
FORMENT
SOIT
EN
DROITS
REELS,
SOIT
EN
OBLIGATIONS
PERSONNEL
LES.
LA
SERIE
DES
PROPOSITIONS
DEVELOPPANT
CETTE
FORMULE
ET
TRADUISANT
L
'
AUTONOMIE
DE
LA
NOTION
D
'
OBLIGATION
REELLE
OU
PROPTER
REM
.
393
XIX.
-
PREMIERE
PROPOSITION
:
UNITE
DE
LA
NOTION
D
'
OBLIGATION
REELLE
OU
PROPTER
REM
.
REJET
DE
LA
DIVISION
DES
OBLIGA
TIONS
REELLES
EN
DEUX
CATEGORIES,
LES
UNES
ETANT
L
'
ACCESSOIRE
DES
DROITS
REELS
.
PRINCIPAUX
ET
LES
AUTRES
L
'
ACCESSOIRE
DES
DROITS
REELS
DU
SECOND
DEGRE
OU
DE
GARANTIE.
LA
NOTION
D
'
OBLI
GATION
REELLE
EST
INDISSOLUBLEMENT
UNIE
A
LA
NOTION
DE
DROIT
REEL
PRINCIPAL
.
393
XX.
-
DEUXIEME
PROPOSITION
:
L
'
OBLIGATION
REELLE
OU
PROP
TER
REM
SE
DISTINGUE
ESSENTIELLEMENT
DE
L
'
OBLIGATION
PER
SONNELLE
OU
DE
DROIT
COMMUN
DANS
TOUTES
SES
VARIETES.
EVO
CATION
A
CE
PROPOS
DE
LA
DIFFERENCE
QUI
SEPARE
L'OBLIGATION
PROPTER
REM
ET
L
'
OBLIGATION
SRIPTA
IN
REM
.
L
'
INSTITU
TION
DE
L
'
ABANDON
OU
DEGUERPISSEMENT
CARACTERISTIQUE
DE
L
'
OBLIGATION
REELLE;
TANDIS
QUE
L
'
OBLIGATION
PERSONNELLE
REPOSE
DIRECTEMENT
SUR
LA
PERSONNE
DU
DEBITEUR
ET
EST
EXECUTOIRE
SUR
TOUS
LES
BIENS
DE
SON
PATRIMOINE,
L
'
OBLIGATION
PROPTER
REM
A
SON
SIEGE
DANS
UNE
CHOSE,
A
LAQUELLE
ELLE
SE
RAMENE
TANT
DANS
SON
EXISTENCE
QUE
DANS
SON
EXECUTION,
SI
LE
DEBITEUR,
DEVANT
L
'
ACTION
DU
CREANCIER,
MET
EN
MOUVEMENT
L
'
INSTITU
TION
DE
L
'
ABANDON
.
403
XXL
-
TROISIEME
PROPOSITION
SUR
LA
NOTION
D
'
OBLIGATION
REELLE
ON
PROPTER
REM
.
LA
DIFFERENCE
SPECIFIQUE
DE
NATURE
EXIS
TANT
ENTRE
LA
NOTION
DE
SERVITUDE
ET
LA
NOTION
D
'
OBLIGATION
PROPTER
REM
.
SOLUTION
CONFORME
DE
LA
JURISPRUDENCE.
IN
TERPRETATION
RATIONNELLE
D
'
ARRETS
CELEBRES
INVOQUES
EN
SENS
CONTRAIRE,
TELS
QUE
LES
ARRETS
MINES
DE
GRAISSESSAC
ET
MAZE
RES
.
420
870
TABLE
:
DES
MATIERES
PAGES
S
ECTION
III.
-
L
A
NOTION
DE
PRIVILEGE
ET
SA
NATURE
SPECIFIQUE
PRISES
DANS
LEUR
OPPOSITION
TANT
AVEC
LE
DROIT
REEL
Q
UE
'
A
VEC
LE
DROIT
DE
CREANCE
.
437
I.
-
AVERTISSEMENT
.
437
II.
-
L'OBSCURITE
DE
LA
NOTION
DE
PRIVILEGE
DANS
L
'
ETAT
ACTUEL
DU
DROIT
POSITIF
FRANCAIS
.
441
III.
-
LA
NOTION
DE
PRIVILEGE
EN
DROIT
ROMAIN
:
RANG
DE
PRE
TERENCE
ATTACHE
TANTOT
A
UN
DROIT
DE
CREANCE,
TANTOT
A
UN
DROIT
REEL
DE
GARANTIE
(D
'
APRES
L
'
OUVRAGE
DE
M.
POPLAWSKI
:
LA
NOTION
DE
PRIVILEGE')
.
4S0
IV.
-
LA
NOTION
DE
PRIVILEGE
DANS
L
'
ANCIEN
DROIT
FRANCAIS
:
DROIT
REEL
DOTE
D
'
UN
RANG
DE
PREFERENCE
PAR
RAPPORT
AUX
HYPOTHESES
MEMES
ANTERIEURES,
CONSTITUEES
DU
CHEF
DU
MEME
DEBITEUR
(POPLAWSKI,
OP
IT.,
P.
231-231))
.
133
V.
-
LA
NOTION
DE
PRIVILEGE
DANS
LE
DROIT
INTERMEDIAIRE;
SURVIVANCE
DE
L
'
ANCIEN
DROIT
.
458
VI.
-
LA
NOTION
DE
PRIVILEGE
ET
LES
TEXTES
DU
CODE
CIVIL
.
462
VII.
-
LE
CONFLIT
DES
OPINIONS
AU
SUJET
DE
LA
NOTION
DE
PRI
VILEGE
.
463
VIII.
-
PREMIERE
CONCEPTION
(AUBRY
ET
RAU).
LA
NOTION
DE
PRIVILEGE
ENGLOBERAIT
:
1
DES
CAUSES
DE
PREFERENCE
PUREMENT
PERSONNELLES
(PRIVILEGES
GENERAUX
DE
L
'
ARTICLE
2101
EN
TANT
QUE
S
'
EXERCANT
SUR
LES
MEUBLES
ET
CERTAINS
DES
PRIVILEGES
MOBILIERS
SPECIAUX);
2
DES
CAUSES
DE
PREFERENCE
PRESENTANT
UN
CARACTERE
DE
REALITE
COMPLET
(PRIVILEGES
GENERAUX
DE
L
'
AR
TICLE
2101
EN
TANT
QU
'
ILS
S
'
EXERCENT
SUR
DES
IMMEUBLES,
PRI
VILEGES
IMMOBILIERS
SPECIAUX);
3
DES
CAUSES
DO
PREFERENCE
PRESENTANT
UN
CERTAIN
CARACTERE
DE
REALITE
(PRIVILEGES
MOBI
LIERS
SPECIAUX
SE
RATTACHANT
A
UN
NANTISSEMENT
EXPRES
OU
TACITE)
.
463
IX.
-
DEUXIEME
CONCEPTION
(PLANIOL).
LE
NOTION,
DE
PRIVILEGE
COMPRENDRAIT
:
1
LES
PRIVILEGES
GENERAUX,
QUI
AURAIENT
CON
SERVE
LA
NATURE
DU
PRIVILEGE
ANTIQUE
(DROIT
DE
PREFERENCE
SUR
LES
MEUBLES
ET
LES
IMMEUBLES);
2
LES
PRIVILEGES
IMMO
BILIERS
SPECIAUX
OU
VERITABLES
HYPOTHEQUES
PRIVILEGIEES;
3
LES
PRIVILEGES
MOBILIERS
SPECIAUX,
DROITS
D
'
ORIGINE
VARIEE,
DEPOUR
VUS
DE
LA
QUALITE
DE
DROIT
REEL
ET
SE
RAMENANT
A
UN
SIMPLE
DROIT
DE
PRIORITE
ENTRE
CREANCIERS.
LE
GAGE
SERAIT
UN
DROIT
REEL,
DONT
LE
DROIT
DE
PREFERENCE
N
'
EST
PAS
DE
LA
NATURE
DES
PRIVILEGES
.
463
X.
-
TROISIEME
CONCEPTION
(PLANIOL,
RIPERT
ET
BOCQUE,
TRAITE
THEORIQUE
ET
PRATIQUE
DE
DROIT
CIVIL
FRANCAIS,
T.
XII).
LA
NOTION
DE
PRIVILEGE
TELLE
QUE
L
'
A
CONSACREE
LE
CODE
CIVIL
S
'
ENCASTRERAIT
DANS
UNE
CLASSIFICATION
AINSI
CONCUE
:
1
SU
RETES
LEGALES
SUBORDONNEES
A
LA
MISE
EN
POSSESSION
DU
CREAN
CIER
(CAS
DE
GAGE
LEGAL),
APPELEES
TRADITIONNELLEMENT
PRIVI
LEGES
FONDES
SUR
UN
NANTISSEMENT
TACITE;
2
SURETES
LEGALES
SANS
DESSAISISSEMENT
DU
DEBITEUR
(PRIVILEGES
AUTRES
QUE
CEUX
RENTRANT
DANS
LA
CATEGORIE
PRECEDENTE,
HYPOTHEQUES
PRIVI
LEGIEES,
HYPOTHEQUES
LEGALES
ORDINAIRES);
3
SURETES
CONVEN
TABLE
DES
MATIERES
871
PAGES
TIONNI'LLES
AVEC
DESSAISISSEMENT
(CONTRAT
DE
NANTISSEMENT);
I
SURETES
CONVENTIONNELLES
SANS
DESSAISISSEMENT
(HYPOTHE
QUES
CONVENTIONNELLES)
.
470
XI.
-
QUATRIEME
CONCEPTION
(A.
COLIN
ET
CAPITANT).
LA
NO
TION
DE
PRIVILEGE
COMPRENDRAIT
:
1
DES
DROITS
REELS
(LES
PRI
VILEGES
IMMOBILIERS
SPECIAUX
ET
LES
PRIVILEGES
MOBILIERS
SPE
CIEUX
REPOSANT
SUR
L'IDEE
DE
GAGE);
2
DE
SIMPLES
DROITS
DE
PREFERENCE
(LES
PRIVILEGES
GENERAUX
ET
LES
PRIVILEGES
MOBI
LIERS
SPECIAUX
SAUF
LE
GAGE)
.
474
XII.
-
CINQUIEME
CONCEPTION
(POPLAWSKI).
THESE
UNITAIRE.
LA
NOTION
DE
PRIVILEGE
EST
UNE.
TOUS
LES
PRIVILEGES,
MOBILIERS
ET
IMMOBILIERS,
GENERAUX
ET
SPECIAUX,
SERAIENT
DES
DROITS
REELS.
477
XIII.
-
SOLUTION
PROPOSEE
SUR
LA
NOTION
DE
PRIVILEGE.
LA
FOR
MULE
;
LA
NOTION
DE
PRIVILEGE
NE
CORRESPOND
NI
INTEGRALEMENT,
NI
ALTERNATIVEMENT,
PAS
PLUS
A
LA
NOTION
DE
DROIT
REEL
QU
'
A
LA
NOTION
DE
DROIT
DE
CREANCE,
OU
A
LA
NOTION
DE
TOUT
AUTRE
DROIT
DE
NATURE
EVENTUELLEMENT
EQUIVALENTE;
LE
PRIVILEGE
N'EST
PAS
UN
DROIT,
MAIS
BIEN
LA
QUALITE
D
'
UN
DROIT
(ART.
2095
C.
CIV.),
OU
ENCORE
LA
PROPRIETE
D
'
UN
DROIT
AU
SENS
SCIENTIFIQUE
ET
PHILOSOPHIQUE
DU
TERME;
CETTE
PRO
PRIETE
SE
TRADUIT
UNIFORMEMENT
PAR
UN
RANG
SPECIFIQUE,
DE
PREFERENCE
SE
GREFFANT
SOIT
DIRECTEMENT
SUR
UN
DROIT
DE
CREANCE,
SOIT
DIRECTEMENT
SUR
UN
DROIT
REEL
DE
GARANTIE
ET
INDIRECTEMENT
SUR
LA
CREANCE
QUI
SERT
DE
SUPPORT
A
CE
DROIT.
LA
SERIE
DES
PROPOSITIONS
RENFERMEES
DANS
CETTE
FORMULE
.
478
XIV.
-
PREMIERE
PROPOSITION.
LES
TEXTES
DU
CODE
CIVIL
POR
TANT
REGLEMENTATION
DE
LA
NOTION
DE
PRIVILEGE
ET
DE
SES
VA
RIANTES,
COMME
AUSSI
L
'
ORDRE
DANS
LEQUEL
CES
TEXTES
SONT
DISPOSES
ET
COMBINES,
DEMONTRANT
LA
CONSECRATION
PAR
NOTRE
DROIT
POSITIF
D
'
UNE
NOTION
DE
PRIVILEGE
REPONDANT
A
UNE
SEULE
ET
MEME
NATURE
SPECIFIQUE.
D
'
APRES
L
'
ESPRIT
ET
LA
LETTRE
DU
CODE
CIVIL,
LA
THESE
UNITAIRE
PREVAUT
INCONTESTABLEMENT
SUR
LES
THESES
PLURALISTES
.
479
XV.
-
DEUXIEME
PROPOSITION.
LA
NOTION
DE
PRIVILEGE
NE
COR
RESPOND
PAS
A
LA
NOTION
DE
DROIT
REEL
.
48S
XVI.
-
TROISIEME
PROPOSITION.
LE
PRIVILEGE
N
'
EST
PAS
UN
DROIT
MAIS
BIEN
UNE
QUALITE,
OU
MIEUX
ENCORE
UNE
PROPRIETE
INHERENTE
SOIT
A
UN
DROIT
DE
CREANCE,
SOIT
A
UN
DROIT
REEL
DE
GARANTIE.
CETTE
PROPRIETE
SE
TRADUIT
INVARIABLEMENT
PAR
UN
RANG
SPECIFIQUE
DE
PREFERENCE.
SI,
PRATIQUEMENT,
CE
RANG
DE
PREFERENCE
EST
ATTACHE
A
UN
DROIT
REEL
OU
A
UN
DROIT
DE
CREANCE,
EN
REALITE
C
'
EST
TOUJOURS
UNE
CREANCE
QUI
EST
AINSI
AVANTAGEE,
SOIT
D
'
UNE
MANIERE
DIRECTE
(PRIVILEGES
GENERAUX
ET
CERTAINS
PRIVILEGES
MOBILIERS
SPECIAUX),
SOIT
INDIRECTEMENT
PAR
L'INTERMEDIAIRE
DU
DROIT
REEL
DE
GARANTIE
PRIVILEGIE,
DONT
EST
POURVUE
LADITE
CREANCE
(PRIVILEGES
IMMOBILIERS
SPECIAUX
ET
PRIVILEGES
MOBILIERS
SPECIAUX
REPOSANT
SUR
L
'
IDEE
DE
GAGE).
AVEC
LA
SOLUTION
AINSI
PROPOSEE
SUR
LA
SUBSTANCE
DE
LA
NOTION
DE
PRIVILEGE,
LE
DROIT
REEL
DE
GAGE
APPARAIT,
EN
CON
FORMITE
DES
DISPOSITIONS
DU
CODE
CIVIL,
COMME
DOTE
D
'
UN
PRI
872
TABLE
DES
MALI
ERES
PACCS
VILEGC
AU
MEME
TITRE
QUE
LES
AUTRES
PRIVILEGES
MOBILIERS
SPECIAUX,
CONTRAIREMENT
A
L
'
OPINION
COMMUNEMENT
EN
COURS
A
L
'
HEURE
ACTUELLE
DANS
LA
DOCTRINE
FRANCAISE
.
499
XVII.
-
QUATRIEME
PROPOSITION.
CARACTERE
INOPERANT
DES
SYS
TEMES
PLURALISTES
SUR
LA
NOTION
DE
PRIVILEGE
CONSIDERES
EN
EUX-MEMES,
SOIT
PARCE
QU
'
ILS
SONT
EN
CONTRADICTION
DIRECTE
AVEC
LES
TEXTES
DU
CODE
CIVIL
ET
LES
NOTIONS
TECHNIQUES
QU
'
ILS
CONSACRENT,
SOIT
PARCE
QU
'
ILS
ABOUTISSENT,
EN
DEFINI
TIVE,
SOUS
LE
COUVERT
DE
FORMULES
VARIEES
ET
OPPOSEES,
AU
CONTENU
DE
LA
FORMULE
UNITAIRE
PROPOSEE
PAR
NOUS;
LE
PRI
VILEGE
PROPRIETE
D
'
UN
DROIT
DE
CREANCE
OU
D
'
UN
DROIT
REEL
DE
GARANTIE
.
S04
XVIII.
-
LA
PORTEE
PRATIQUE
DE
LA
SOLUTION
PROPOSEE
PAR
NOUS
:
LE
PRIVILEGE
PROPRIETE
D
'
UN
DROIT
DE
CREANCE
OU
D
'
UN
DROIT
REEL
DE
GARANTIE
.
509
S
ECTION
IV.
-
L
ES
CATEGORIES
DE
DROITS
INTERMEDIAIRES
,
ENTRE
LE
DROIT
REEL
ET
L
'
ODLICATION
OU
DROTT
DE
CREANCE
RESPECTIVEMENT
CONSIDERES
DANS
LEUR
ESSENCE
PURE.
L
E
S
CREANCES
CHIROGRAPHAIRES
A
GACE
SPECIA
LISE
.
.'.
T I0
I.
-
OBSERVATION
PRELIMINAIRE
ET
ESSENTIELLE
.
810
§
I.
-
DU
DROIT
DU
COHERITIER
SUR
LE
PRIX
D
'
ADJUDICATION
D
'
UN
IM
MEUBLE
HEREDITAIRE
QUI
LUI
EST
ATTRIBUE
.
811
I.
-
LE
CONFLIT
DOCTRINAL
SUR
L
'
INTERPRETATION
DE
L
'
ARTICLE
883
DU
CODE
CIVIL
DANS
SON
APPLICATION
AUX
CONSEQUENCES
DE
L
'
ATTRI
BUTION
DU
PRIX
D
'
UNE
ADJUDICATION
DE
L
'
IMMEIIBLE
INDIVIS,
QUAND
CETTE
ADJUDICATION
A
EU
LIEU
AU
PROFIT
D
'
UN
TIERS.
LA
LUTTE
ENTRE,
D
'
UNE
PART,
LA
CONCEPTION
EXEGETIQUE
PURE,
FIDELE
IL
LA
LETTRE
DE
L
'
ARTICLE
883,
ET
PARTANT
DEFAVORABLE
A
L
'
HERI
TIER
ATTRIBUTAIRE,
ET,
D
'
AUTRE
PART,
UNE
CONCEPTION
EXEGE
TIQUE
MOINS
STRICTE,
S
'
INSPIRANT
DE
L
'
ESPRIT
DE
LA
IBI
PLU
TOT
QUE
DE
SA
LETTRE,
SE
PRONONCANT,
EN
CONSEQUENCE,
POUR
L
'
HERITIER
ATTRIBUTAIRE
.
513
II.
-
LE
CONFLIT
JURISPRUDENTIEL.
SES
TROIS
PHASES
:
1
PHASE
ANTERIEURE
A
1887;
2
SECONDE
PHASE
:
1887
A
1907
;
3
PHASE
DE
1907
A
L
'
HEURE
ACTUELLE
.
818
III.
-
PREMIERE
PHASE
DE
LA
JURISPRUDENCE
:
1801
A
1887.
LES
ARRETS
SOMMIER
(CASS,
CIV.,
18
JUIN
1834,
S.,
34.
1.
733)
ET
D
'
AVESNES
(CASS,
REQ.,
22
FEVR.
1881,
D.,
81.
1.
409)
.
819
IV.
-
DEUXIEME
PHASE
DE
LA
JURISPRUDENCE,
1887-1907.
L'AR
RET
TOUZET
(CASS,
CIV.,
14
DEC.
1887,
S.,
89.
1.
193;
D.,
88.
1.
388)
.
824
V.
-
TROISIEME
PHASE
DE
LA
JURISPRUDENCE
:
1907
A
L
'
HEURE
ACTUELLE.
L
'
ARRET
CHOLLET-DUMOULIN
(CASS.
CH.
REUNIES,
S
DEC.
1907,
S.,
1908.
1.
8;
D.,
1908.
1.
113)
DE
LA
THEORIE
DE
L
'
EFFET
DECLARATIF
DU
PARTAGE
A
LA
THEORIE
DES
PRELEVEMENTS,
QUI
CONSACRE
NETTEMENT,
SOUS
LE
COUVERT
DE
L
'
INSTITUTION
DU
RAP
PORT
A
SUCCESSION,
AU
PROFIT
DU
COHERITIER
ATTRIBUTAIRE
DU
PRIX
D
'
ADJUDICATION,
UN
DROIT
DE
PREFERENCE
DIRECT
SUR
'ES
BIENS
INDIVIS
A
L
'
ENCONTRE
DES
CREANCIERS
DES
AUTRES
COHERITIERS.
837
TABLE
DES
MATIERES
873
PAGES
VI.
-
OBSERVATIONS
ESSENTIELLEMENT
PROVISOIRES
SUR
LA
PORTEE
DE
L'ARRET
CHOLLET-DUMOULIN
QUANT
A
LA
NATURE
SPECIFIQUE
DU
DROIT
DE
L
'
HERITIER
ATTRIBUTAIRE
SUR
LE
PRIX
D
'
ADJUDICA
TION
.
848
§
II.
-
DE
LA
NATURE
SPECIFIQUE
DU
DROIT
DE
LA
FEMME
DOTALE
SUR
LES
BIENS
PARAPHEMAUX
REPRESENTANT
DES
-VALEURS
DOTALES,
OU
PLUS
EXACTEMENT
LA
DOT
INCLUSE
.
849
I.
-
L
'
ARRET
ARLUC
(CASS.,
31
JANV.
1842,
S.,
42.
1.
110)
.
880
II.
-
L
'
ARRET
CRAMAUSSEL
(CASS.,
1
ER
DEC.
1857,
S.
88.
1.
287).
889
III.
-
CONCLUSION
SUR
LA
NATURE
SPECIFIQUE
DU
DROIT
DE
LA
FEMME
DOTALE
SUR
LA
DOT
INCLUSE
.
368
§
III.
-
LE
DROIT
DE
RETENTION;
SA
NATURE
SPECIFIQUE.
LES
DISCUSSIONS
SOULEVEES
PAR
CE
PROBLEME
PENDANT
LE
XIX
'
SIECLE;
LES
INCERTITUDES'
SUBSISTENT
ENCORE
DANS
CET
ORDRE
D
'
IDEES
TANT
EN
JURISPRUDENCE
QU
'
EN
DOCTRINE.
LA
PORTEE
GENERALE
D
'
UNE
SOLUTION
FERME
EN
LA
MATIERE
.
871
I.
-
OBSERVATIONS
PRELIMINAIRES
SUR
LE
TROUBLE
DONT
EST
ENTOU
REE,
MEME
A
L
'
HEURE
ACTUELLE,
LA
NOTION
DU
DROIT
DE
RETENTION;
LES
CAUSES,
QUI
ONT
ENGENDRE
ET
MAINTENU
CE
TROUBLE.
DIVI
SION
DE
LA
MATIERE
.
871
IL
-
LA
NOTION
DU
DROIT
DE
RETENTION,
D
'
APRES
LES
AUTEURS
DU
TRAITE
(BAUDRY-LACANTINERIE
ET
DE
LOYNES,
T.
XXV,
N
M
.
220
ET
S.)
.
878
III.
-
PREMIER
ORDRE
D
'
IDEES.
LE
DOMAINE
D
'
APPLICATION
ET
LES
EFFETS
DU
DROIT
DE
RETENTION.
JURISPRUDENCE,
DOCTRINE,
TEXTES
DU
CODE
CIVIL.
ORDRE
DES
DEVELOPPEMENTS
.
876
IV.
-
LA
JURISPRUDENCE
ET
LE
DROIT
DE
RETENTION.
PREMIERE
PHASE
:
INCERTITUDES,
HESITATIONS
ET
CONTRADICTIONS.
LES
ARRETS
SAINTE-COLOMBE
(CASS.,
8
DEC.
1868,
S.,
69.
1.
272;
DYY
69.
1.
76)
ET
CABROL
(PAU,
28
MARS
1892,
S.,
93.
2.
224;
CHAMBERY,
8
FEVR.
1875,
S.,
76.
2.
323;
CHAMBERY,
10
JUIN
1896,
S.,
97
.
2.
183)
.
876
V.
-
DEUXIEME
PHASE
DE
LA
JURISPRUDENCE.
L
'
ARRET
GIRARD
(CASS.,
26
AVRIL
1900,
S.,
1901.
1.
193).
L
'
ARRET
ALFRED
MOTTE
ET
C
TO
(DOUAI,
28
NOV.
1921,
S.,
22.
2.
25).
DISTINCTION
A
FAIRE
ENTRE
LES
FORMULES
COMPLEXES
DES
ARRETS
ET
LES
SOLUTIONS
PLUS
SIMPLES
'CONSACREES
PAR
EUX
EN
REALITE
.
880
VI.
-
POUR
QUE
LE
DROIT
DE
RETENTION
EXISTE
EN
FAVEUR
DU
CREANCIER
QUI
DETIENT
LA
CHOSE
APPARTENANT
A
SON
DEBITEUR,
IL
SUFFIT
QUE
LA
DETENTION
SE
RATTACHE
A
UNE
CONVENTION
OU
A
UN
QUASI-CONTRAT
QUI
AIT
DONNE
NAISSANCE
A
LA
CREANCE
,
FORMULE
DE
L
'
ARRET
GIRARD
(CASS.,
26
AVRIL
1900,
S.,
1901.
1.
193)
.
880
VII.
-
PORTEE
REELLE
DE
L
'
ARRET
GIRARD
:
E
DROIT
DE
RETEN
TION
RECONNU
PAR
LE
FAIT
SEUL
DE
L
'
EXISTENCE
D
'
UNE
CREANCE
DU
RETENTEUR
CONTRE
LE
PROPRIETAIRE
DE
LA
CHOSE
(RENVOI)
.
882
VIII.
-
L
'
ARRET
ALFRED
MOTTE
ET
C
1
*
(DOUAI,
25
NOV.
1921,
S.,
22.
2.
25)
.
382
874
TABLE
DES
MATIERES
PAGES
IX.
-
LA
PORTEE
REELLE
DE
L
'
ARRET
ALFRED
MOTTE
ET
C
I#
.
LE
CUMUL
DU
DROIT'DE
RETENTION
ET
DE
L
'
EXCEPTION
NON
ADIMPLETI
CON
TRACTAS
(RENVOI)
.
589
X.
-
LE
DOMAINE
D
'
APPLICATION
ET
LES
EFFETS
DU
DROIT
DE
RE
TRACTUS
(RENVOI)
.
389
XL
-
PREMIERE
CONCEPTION
DOCTRINALE.
SYSTEME
EN
VERTU
DU
QUEL
LE
DROIT
DE
RETENTION
EXISTE,
MEME
EN
DEHORS
DES
TEXTES
FORMELS
:
1
DANS
LE
CAS
D
'
ACTION
PERSONNELLE
RESULTANT
D
'
UNE
CONVENTION
SYNALLAGMATIQUE,
AU
PROFIT
DE.
CELUI
QUI
EST
TENU
DE
LIVRER,
SI
L
'
AUTRE
PARTIE
N
'
EXECUTE
PAS
SON
ENGA
GEMENT;
2
DANS
LE
CAS
D
'
ACTION
REELLE,
AU
PROFIT
DE
CELUI
QUI,
DETENTEUR
DE
LA
CHOSE
RECLAMEE,
A
LAIT
SUR
CELTE
CHOSE
DES
IMPENSES
QUI
DOIVENT
LUI
ETRE
REMBOURSEES
(M.
FERRON,
NOTE
AU
SIREY,
1901.
1.
193)
.
589
XII.
-
DEUXIEME
CONCEPTION
DOCTRINALE
:
DISTINCTION
ABSOLUE
DU
DROIT
DE
RETENTION
ET
DE
L'EXCEPTION
NON
AIHNIPLETI
CON
'
TRAC
TUS
.
LE
DROIT
DE
RETENTION
SERAIT
LA
RESULTANTE
D
'
UNE
CONNEXITE
OBJECTIVE
OU
MATERIELLE,
TANDIS
QUE
L
'
EXCEPTION
NON
YY
LUHNIPH
'
TI
RONTRACTUS
TROUVERAIT
SON
ORIGINE
DANS
UNE
CON
NEXITE
JURIDIQUE
ON
INTELLECTUELLE.
LES
CONSEQUENCES
PRATI
QUES
DE
CETTE
DISTINCTION
(M.
CASSIN,
NOTE
AU
SIREY,
1922.
2.
23)
.
'
.
598
XIII.
-
CLASSIFICATION
DES
CONCEPTIONS
DETENDUES
PAR
LES
GRANDS
COMMENTATEURS
DU
CODE
NAPOLEON
:
1
SYSTEME
RESTRICTIF
ET
"RIGOUREUSEMENT
EXEGETIQUE;
2
SYSTEME
RECONNAISSANT
L
'
EXIS
TENCE
DU
DROIT
DE
RETENTION,
EN
DEHORS
DE
TOUT
TEXTE,
SOUS
LA
DOUBLE
CONDITION
QU
'
IL
Y
AIT
CONNEXITE
ENTRE
LA
CREANCE
ET
LA
CHOSE
ET
QUE
LES
PARTIES
SOIENT
UNIES
PAR
UN
LIEN
CON
TRACTUEL
OU
QUASI
CONTRACTUEL;
3
SYSTEME
LAISSANT
AU
POUVOIR
DISCRETIONNAIRE
DU
JUGE
LE
SOIN
D
'
ACCORDER
O
DE
REFUSER
LE
DROIT
DE
RETENTION,
EN
L
'
ABSENCE
D
'
UN
LIEN
CONTRACTUEL
ENTRE
LES
PARTIES;
4
LE
DROIT
DE
RETENTION
EXISTERAIT
PAR
LE
FAIT
SEUL
DE
LA
CONNEXITE
ENTRE
LA
CREANCE
ET
LA
POSSESSION
DE
LA
CHOSE
QU
'
IL
Y
AIT
OU
NON
ENTRE
LES
PARTIES
UN
LIEN
SOIT
CONTRACTUEL,
SOIT
QUASI
CONTRACTUEL
.
609
XIV.
-
LES
GRANDS
COMMENTATEURS
DU
CODE
CIVIL.
-
I.
SYS
TEME
RESTRICTIF
ET
RIGOUREUSEMENT
EXEGETIQUE;
SON
EXPOSE
D
'
APRES
LAURENT.
LE
DROIT
DE
RETENTION
N
'
EXISTERAIT
QUE
PAR
LES
TEXTES
ET
DANS
LA
MESURE
DES
TEXTES
.
610
XV.
-
LOS
GRANDS
COMMENTATEURS
DU
CODE
CIVIL
(SUITE).
-
II.
SYSTEME
ADMETTANT
LE
DROIT
DE
RETENTION,
EN
DEHORS
DES
TEXTES,
SOUS
LA
DOUBLE
CONDITION
:
1
QUE
LA
CREANCE
DU
RE
TENTEUR
SOIT
CONNEXE
A
LA
CHOSE;
2
QUE
LA
DETENTION
SE
RATTACHE
A
UNE
CONVENTION
OU,
TOUT
AU
MOINS,
A
UN
QUASI-CON
YY
TRAT,
ET
QUE
LA
DETTE,
CONNEXE
A
LA
CHOSE
DETENUE,
AIT
PRIS
NAISSANCE
A
L
'
OCCASION
DE
CETTE
CONVENTION
OU
DE
CE
QUASI
COUTRAT
(AUBRY
ET
RAU)
.
-
.
612
XVI.
-
LES
GRANDS
COMMENTATEURS
DU
CODE
CIVIL
(SUITE).
-
III.
YY
SYSTEME
ABANDONNANT
AU
POUVOIR
DISCRETIONNAIRE
DU
JUGE
LE
SOIN
D
'
ACCORDER
OU
DE
REFUSER
LE
DROIT
DE
RETENTION,
EN
L
'
AB
SENCE
D
'
UN
BIEN
CONTRACTUEL
ENTRE
LES
PARTIES
(DCMOLOMBE).
614
TABLE
DES
MATIEUES
873
PAGES
XVII.
-
LES
CONCEPTIONS
DES
GRANDS
COMMENTATEURS
DU
CODE
CIVIL
(SUITE).
-
IV.
SYSTEME
ADMETTANT
LE
DROIT
DE
RETENTION
A
LA
SEULE
CONDITION
QU
'
IL
Y
AIT
CONNEXITE
ENTRE
LA
CREANCE
ET
LA
POSSESSION
DE
LA
CHOSE,
ET
CELA
QU
'
IL
Y
AIT
OU
NON
EN
TRE
LES
PARTIES
UN
LIEN
DERIVANT
D
'
UN
CONTRAT
OU
D
'
UN
QUASI
CONTRAT
(GUILLOUARD)
.
623
XVIII
-
REMARQUE
.
628
XIX.
-
LA
POSITION
PRISE
SUR
LE
DOMAINE
D
'
APPLICATION
ET
LES
EFFETS
DU
DROIT
DE
RETENTION
PAR
LES
COMMENTATEURS
DU
CODE
CIVIL
A
L'HEURE
ACTUELLE
(PHINIOL
ET
RIPERT,
A.
COLIN
ET
CAPI
TANT
.
629
XX.
-
SOLUTION
PROPOSEE
SUR
LA
QUESTION
DU
DOMAINE
D
'
AP
PLICATION
ET
DES
EFFETS
DU
DROIT
DE
RETENTION.
LA
FORMULE
:
LE
DROIT
DE
RETENTION
EXISTE
CHAQUE
FOIS
QUE
LE
CREANCIER
A
LA
MAITRISE
D
'
UNE
CHOSE
APPARTENANT
A
SON
DEBITEUR,
SOUS
RE
SERVE
D
'
UN
TEXTE
CONTRAIRE
ET
AUSSI
DE
L
'
HYPOTHESE
OU
LE
CREAN
CIER
SE
YY
SERAIT
EMPARE
DE
LA
CHOSE
PAR
DES
PROCEDES
ILLI
CITES
.
644
XXI.
-
METHODE
SUIVIE
POUR
L
'
ELABORATION
DE
LA
SOLUTION
PROPOSEE
SUR
LE
DOMAINE
D
'
APPLICATION
ET
LES
EFFETS
DU
DROIT
DE
RETENTION
:
1
ANALYSE
DU
POINT
DE
VUE
SCIENTIFIQUE
DES
TEXTES
DU
CODE
CIVIL
RELATIFS
AU
DROIT
DE
RETENTION;
2
PRISE
EN
CONSIDERATION
DES
DONNEES
DO
LA
JURISPRUDENCE
.
643
XXXII.
-
REJET,
SUR
LE
FONDEMENT
DE
L
'
ETAT
ACTUEL
DE
LA
SCIENCE
DU
DROIT
CIVIL
ET
DE
LA
JURISPRUDENCE,
DU
SYSTEME
RIGOUREU
SEMENT
EXEGETIQUE
DEFENDU
PRINCIPALEMENT
PAR
LAURENT
ET
TENDANT
U
LIMITER
LE
DOMAINE
D
'
APPLICATION
DU
DROIT
DE
RETEN
TION
AUX
CAS
PREVUS
DE
FACON
EXPRESSE
PAR
LE
CODE
CIVIL
.
6-13
XXIII.
-
REJET,
SUR
LE
FONDEMENT
DES
TEXTES
DU
CODE
CIVIL
DU
SYSTEME
D
'
AUBRY
ET
RAU
EXIGEANT,
POUR
LA
RECONNAIS
SANCE
DU
DROIT
DE
RETENTION,
EN
OUTRE
DU
DEBITUM
CUM
RE
JUNCTUM
,
C
'
EST-A-DIRE
DE
LA
CONNEXITE
OBJECTIVE
OU
MATE
RIELLE,
UN
LIEN
CONTRACTUEL
OU
QUASI
CONTRACTUEL
ENTRE
LES
PARTIES
.
646
XXIV.
-
REJET,
SUR
LE
FONDEMENT
DES
REGLES
ACTUELLES
DE
L
'
IN
TERPRETATION
JURIDIQUE,
DU
SYSTEME
DE
DEMOLOMBE
ABANDON
NANT
AU
POUVOIR
DISCRETIONNAIRE
DU
JUGE
LE
SOIN
D
'
ADMETT
"
E
OU
DE
REJETER
LE
DROIT
DE
RETENTION
EN
L
'
ABSENCE
D'UN
LIEN
CON
TRACTUEL
ENTRE
LES
PARTIES
.
647
XXV.
-
LA
CONTRIBUTION
POSITIVE
APPORTEE
PAR
LES
THEORIES
DE
GUILLOUARD,
FERRON,
PLANIOL
ET
RIPERT,
CASSIN,
A
L
'
ELABO
RATION
D
'
UNE
DOCTRINE
SUR
LE
DOMAINE
D
'
APPLICATION
ET
LES
EFFETS
DU
DROIT
DE
RETENTION
.
-648
XXVI.
-
LA
CONTRIBUTION
ESSENTIELLE
APPORTEE
A
LA
THEORIE
DU
DOMAINE
D
'
APPLICATION
ET
DES
EFFETS
DU
DROIT
DE
RETEN
TION
PAR
A.
COLIN
ET
CAPITANT
(RENVOI)
.
;
.
630
XXVII.
-
LA
CONTRIBUTION
DE
LA
JURISPRUDENCE
A
L
'
ELABORATION
D
'
UNE
THEORIE
DU
DOMAINE
D
'
APPLICATION
ET
DES
EFFETS
DU
DROIT
DE
RETENTION
CONFORME
A
NOTRE
SOLUTION
.
651
XXVIII.
-
LA
SERIE
DES
PROPOSITIONS
ETABLISSANT
LE
BIEN-FONDE
876
TABLE
DES
MATIERES
PAGE?
DE
LA
SOLUTION
PROPOSEE
SUR
LE
DOMAINE
D
'
APPLICATION
ET
LES
EFFETS
DU
DROIT
DE
RETENTION.
EXAMEN
CRITIQUE,
SOUS
CETTE
FORME,
DO
LA
PORTEE
PLUS
RESTRICTIVE
DES
THEORIES
DE
GUIL
LOUARD,
FERRON,
CASSIN,
PLANIOL
ET
RIPERT
XXIX.
R
-
PREMIERE
PROPOSITION.
LE
DROIT
DE
RETENTION
EST
INDE
PENDANT,
D'APRES
LES
TEXTES
DU
CODE
CIVIL,
DE
LA
NOTION
DU
DEBITUM
CUM
RE
JUNCTUM
,
C
'
EST-A-DIRE
DE
LA
CONNEXITE
MATERIELLE
OU
OBJECTIVE
XXX.
-
DEUXIEME
PROPOSITION.
LA
SOLUTION
PROPOSEE
EST
CON
FORME
A
LA
TRADITION
HISTORIQUE
PLUS
SPECIALEMENT
CONSIDEREE
EN
DROIT
ROMAIN,
DANS
LEQUEL
LE
DROIT
DO
RETENTION
S
'
ABSOR
BAIT
DANS
L
'
EXCEPTION
DE
DOL;
LE
DEBITUM
CUM
RE
JUNCTUM
N'ETAIT
PAS,
PAR
SUITE,
EXIGE
681
632
686
XXXI.
-
TROISIEME
PROPOSITION.
LE
DOMAINE
D
'
APPLICATION
DU
DROIT
DE
RETENTION
DOIT
ETRE
DETERMINE
EN
PRENANT
EN
CONSI
DERATION
LES
RAPPORTS
DE
PATRIMOINE
A
PATRIMOINE,
A
L
'
IMAGE
DE
CE
QUI
A
LIEU
POUR
LE
DOMAINE
D'APPLICATION
DE
LA
NO
TION
D
'
ENRICHISSEMENT
SANS
CAUSE
ET
NON
POINT
LES
RAPPORTS
D
'
UNE
CHOSE
ENVISAGEE
ISOLEMENT
ET
D
'
UNE
CREANCE
EGALEMENT
ENVISAGEE
ISOLEMENT.
CETTE
MANIERE
DE
VOIR,
QUI
SE
JUSTIFIE
D
'
ELLE-MEME,
CONDUIT
INELUCTABLEMENT
A
ADMETTRE
LE
DROIT
DE
RETENTION
PAR
LE
FAIT
SEUL
QUE
LE
TITULAIRE
D
'
UNE
CREANCE
A
SOUS
SA
MAITRISE
UNE
CHOSE
APPARTENANT
A
SON
DEBITEUR,
SOUS
RESERVE
D'UN
TEXTE
CONTRAIRE
OU
D
'
UN
FAIT
ILLICITE
DONT
SE
SE
RAIT
RENDU
COUPABLE
LE
RETENTEUR
POUR
S
'
EMPARER
DE
LA
CHOSE.
CONFORMITE
DE
CETTE
SOLUTION
AVEC
LES
TEXTES
DU
CODE
CIVIL
ET.
LES
DONNEES
DE
LA
NOTION
DE
DROIT,
TELLE
QU
'
ELLE
A
TROUVE
SON
EXPRESSION
DANS
LA
JURISPRUDENCE
SUR
LA
NOTION
D
'
ENRI
CHISSEMENT
SANS
CAUSE
.
R
.
657
XXXII.
-
QUATRIEME
PROPOSITION.
LE
DROIT
DE
RETENTION
EST
OP
POSABLE
AUX
TIERS
.
663
XXXIII.
-
DEUXIEME
ORDRE
D
'
IDEES.
LA
NATURE
SPECIFIQUE
DU
DROIT
DE
RETENTION.
LE
CONFLIT
DE
CONCEPTIONS
DOCTRINA'ES
:
1
LE
DROIT
DE
RETENTION
EST
UN
DROIT
RIGOUREUSEMENT
PERSONNEL
S
'
OPPOSANT
AUSSI
BIEN
AU
PRIVILEGE
QU
'
AU
DROIT
REEL;
2
LE
DROIT
DE
RETENTION
EST
UN
DROIT
PERSONNEL,
MAIS
REVETANT
UNE
PHYSIONOMIE
PARTICULIERE
DU
FAIT
DE
SON
OPPOSABILITE
AUX
TIERS;
3
LE
DROIT
DE
RETENTION
EST
UN
DROIT
REEL
.
664
XXXIV.
-
PREMIERE
CONCEPTION
SUR
LA
NATURE
SPECIFIQUE
DU
DROIT
DE
RETENTION.
CE
DROIT
SERAIT
UN
DROIT
PERSONNEL
S
'
OPPOSANT
AUSSI
BIEN
AU
PRIVILEGE
QU
'
AU
DROIT
REEL
(LAURENT
ET
TRO
PLONG)
.
864
XXXV.
-
DEUXIEME
CONCEPTION.
LE
DROIT
DO
RETENTION
SERAIT
UN
DROIT
PERSONNEL,
MAIS
A
PHYSIONOMIE
SPECIALE
DU
FAIT
QU
'
IL
EST
OPPOSABLE
AUX
TIERS
(AUBRY
ET
RAU)
.
669
XXXVI.
-
TROISIEME
CONCEPTION.
LE
DROIT
DE
RETENTION
SERAIT
UN
DROIT
REEL
(GUILLOUERD)
.
YY
.
670
XXXVII.
-
SOLUTION
PROPOSEE
SUR
LA
NATURE
SPECIFIQUE
DU
DROIT
DE
RETENTION.
SIMPLE
MENTION
(RENVOI).
LE
DROIT
DE
RETEN
TION
N
'
EST
PAS
UN
DROIT
REEL;
IL
TRADUIT
UN
CAS
PARTICULIER
DE
CREANCE
CHIROGRAPHAIRE
&
GAGE
SPECIALISE
.
679
TABLE
DES
MATIERES
877
PAGES
§
IV.
-
ESQUISSE
D'UNE
THEORIE
GENERALE
DE
CREANCES
CHIROGRAPHAIRES
A
GAGE
SPECIALISE.
CONSTATATIONS
ET
OBSERVATIONS
CRITIQUES.
REFUTA
TION
DES
OBJECTIONS
SOULEVEES
CONTRE
LA
NOTION
'DE
CREANCE
CHIRO
GRAPHAIRE
A
GAGE
SPECIALISE
.
.
880
I.
-
RAPPEL
DE
LA
THEORIE
DU
CREANCIER
CHIROGRAPHAIRE
AYANT
CAUSE
A
TITRE
PARTICULIER,
PAR
OPPOSITION
A
LA
THEORIE
DU
CREAN
CIER
CHIROGRAPHAIRE
AYANT
CAUSE
UNIVERSEL
.
680
II.
-
L
'
ARRET
TOULZAC
(CASS.,
1
MARS
1860,
S.,
60.
1.
203)
.
684
III.
-
LA
HIERARCHIE
POSSIBLE
DES
CREANCES
CHIROGRAPHAIRES
AU
REGARD
DE
L
'
ETENDUE
ET
DE
L
'
INDIVIDUALISATION
DU
GAGE
QUI
LES
GARANTIT
:
1
CREANCES
CHIROGRAPHAIRES
AYANT
POUR
GAGE
LE
PA
TRIMOINE
DU
DEBITEUR
DANS
SON
SENS
GENERAL
ET
SANS
AUCUNE
AFFECTATION
PARTICULIERE
DE
TEL
OU
TEL
DES
ELEMENTS
CONCRETS
DE
CE
PATRIMOINE;
2
CREANCES
CHIROGRAPHAIRES
AYANT
POUR
GAGE
UNE
QUOTE-PART
VARIABLE
DU
PATRIMOINE
DE
LEUR
DEBITEUR,
DONT
LA
PRISE
DE
POSSESSION
EST
ASSUREE
PAR
UN
DROIT
DE
PRELEVE
MENT
VIS-A-VIS
DES
COHERITIERS
ET
DES
CREANCIERS
MEME
HY
POTHECAIRES;
3
CREANCES
CHIROGRAPHAIRES
AYANT
POUR
GAGE
UN
BIEN
DETERMINE
SITUE
DANS
LE
PATRIMOINE
DE
LEUR
DEBITEUR
OU
DANS
LE
PATRIMOINE
D
'
U.N
TIERS
ET
SE
TRADUISANT
SOIT
PAR
UN
DROIT
DE
RETENTION,
SOIT
PAR
UN
DROIT
DE
PRELEVEMENT
SUR
LA
VALEUR
EN.
ARGENT
DE
CE
BIEN.
LA
PREMIERE
CATEGORIE
DE
CREANCES
CHIROGRAPHAIRES
REPOND
A
LA
NOTION
TECHNIQUE
DE
CREANCES
CHIROGRAPHAIRES
A
GAGE
GENERAL
OU
INDETERMINE,
TANDIS
QUE
LA
SECONDE
ET
LA
TROISIEME
CORRESPONDENT
A
LA
NO
TION
TECHNIQUE
DE
CREANCE
CHIROGRAPHAIRE
A
GAGE
DETERMINE
OU
INDIVIDUALISE
.
700
IV.
-
CREANCES
CHIROGRAPHAIRES
A
GAGE
DETERMINE,
C
'
EST-A-DIRE
AYANT,
POUR
GARANTIE
UNE
QUOTE-PART
DE
PATRIMOINE
DONT
LA
PRISE
DE
POSSESSION
S
'
EFFECTUE
SOUS
LA
FORME
D
'
UN
PRELEVEMENT
(COPARTAGEANTS
CREANCIERS
D
'
UN
RAPPORT
DES
DETTES,
DONATAI
.
RES
SUCCESSIFS
DE
SOMMES
PAYABLES
AU
DECES
DU
DONATEUR)
.
703
V.
-
CREANCES
CHIROGRAPHAIRES
A
GAGE
INDIVIDUALISE,
C'EST-A-DIRE
AYANT
POUR
GARANTIE
UN
BIEN
DETERMINE
DU
PATRIMOINE
DU
DE
BITEUR
OU
D
'
UN
TIERS,
QUI
ASSURE
LE
PAIEMENT
DE
LA
CREANCE
SOIT
SOUS
LA
YYFORME
D
'
UN
DROIT
DE
RETENTION,
SOIT
SOUS
LA
FORME
D
'
UN
PRELEVEMENT
(CREANCIER
MUNI
D
'
UN
DROIT
DE
RETENTION,
FEMME
DOTALE
EXERCANT
UN
PRELEVEMENT
AU
TITRE
DE
DOT
INCLUSE
SUR
LA
VALEUR
D
'
UN
BIEN
PARAPHERNAL)
.
746
S
ECTION
V.
-
L
ES
DISCUSSIONS
SUSCITEES
PAR
LA
NATURE
SPECIFIQUE
DES
DROITS
INTELLECTUELS
;
CES
DROITS
RESSORTENT
-
ILS
SON
A
LA
NOTION
DE
DROIT
REEL,
SOIT
A
LA
NOTION
DE
DROIT
DE
CREANCE,
OU
REPRESENTENT
ILS,
AU
CONTRAIRE,
UNE
CATEGORIE
AUTONOME
?
L
E
PROBLEME
DE
LA
U
PRO
PRIETE
SCIENTIFIQUE
.
_.
.
762
I.
OBSERVATION
PRELIMINAIRE
.
762
§
I.
-
LA
NOTION
DE
PROPRIETE
SCIENTIFIQUE
CONSIDEREE
PRINCIPALEMENT
A
TRAVERS
LES
PROJETS
DE
REGLEMENTATION
LEGISLATRICE
OU
INTERNATIO
NALE
QUELLE
A
SUSCITES
.
763
878
TABLE
DES
MATIERES
PAGES
I.
-
LA
NOTION
DE
PROPRIETE
SCIENTIFIQUE
ET
SA
PORTEE
AU
REGARD
DE
LA
CLASSIFICATION,
DES
DROITS.
ETAT
ACTUEL
DU
PROBLEME
LEGIS
LATIF
QU
'
ELLE
SOULEVE
.
7C3
II.
-
PROPOSITION
DE
LOI
DU
PROFESSEUR
JOSEPH
BARTHELEMY
(
1922,
CHAMBRE
DES
DEPUTES,
SEANCE
DU
I
AVRIL
1922,
ANNEXE
423.3).
*03
III.
-
PROJET
DO
LOI
DE
LA
CONFEDERATION
DES
TRAVAILLEURS
INTEL
LECTUELS
(1923)
.
705
IV.
-
LE
PROJET
DO
CONVENTION
INTERNATIONALE
SUR
LA
PROPRIETE
SCIENTIFIQUE
DU
SENATEUR
RUFFINI
(1923)
.
767
V.
-
LE
CONTRE-PROJET
NEGATIF
DU
PROFESSEUR
ROUBIER
OU
LA
CRI
TIQUE
DES
PROJETS
DE
REGLEMENTATION
ET
DE
RECONNAISSANCE
DE
LA
PROPRIETE
SCIENTIFIQUE
.
770
VI.
-
SIMPLES
OBSERVATIONS
SUR
LE
CONFLIT
SOULEVE
PAR
LA
NOTION
DE
PROPRIETE
SCIENTIFIQUE
ET
LES
DIFFICULTES
DE
LA
MISE
EN
YYUVRE
DES
CONSEQUENCES
DERIVANT
DE
CETTE
NOTION
.
783
VII.
-
PREMIERE
PROPOSITION
:
LA
DISTINCTION
DES
CREATIONS
DE
FORME
ET
DES
CREATIONS
DE
FOND
DANS
NOTRE
DROIT
POSITIF
ACTUEL:
CETTE
DISTINCTION
DOMINE
LE
PROBLEME
DE
LA
PROPRIETE
SCIENTI
FIQUE.
QUI
VISE
A
LA
PROTECTION
D
'
UNE
CREATION
DE
FOND
PAR
OP
POSITION
A
LINE
CREATION
DE
FORME
.
784
VIII.
-
LA
REGLEMENTATION
PRESENTE
DE
LA
PROPRIETE
DITE
INTEL
LECTUELLE
CONSIDEREE
DANS
SES
CREATIONS
DE
FORME
YY
YYUVRES
LITTERAIRES,
MUSICALES,
SCENIQUES:
ARTS
APPLIQUES
.
784
LX.
-
LA
REGLEMENTATION
ACTUELLE
DE
LA
PROPRIETE
DITE
INTELLEC
TUELLE
CONSIDEREE
DANS
SES
CREATIONS
DE
FOND
.
803
X.
-
DEUXIEME
PROPOSITION
:
LA
DISTINCTION
NU
POINT
DE
VUE
OBJECTIF
DE
LA
DECOUVERTE,
DE
L
'
YYUVRE
OU
DE
L
'
IDEE
SCIENTIFIQUE,
D
'
UNE
PART.,
ET
DE
SES
APPLICATIONS
UTILITAIRES
SYNTHETISEES
DANS
LA
NOTION
D
'
INVENTION,
D
'
AUTRE
PART;
LA
DISTINCTION
AU
POINT
DE
VUE
SUBJECTIF
DES
SAVANTS
PURS,
DES
INVENTEURS
INDUSTRIELS
D
'
APPLICATIONS
SCIENTIFIQUES
ET
DES
INGENIEURS
PRATICIENS
.
809
XI.
-
TROISIEME
PROPOSITION
:
LE
CONFLIT
DOCTRINAL
SOULEVE
PAR
-
LA
DETERMINATION
DE
LA
NOTION
DE
DECOUVERTE
SCIENTIFIQUE
ET,
PAR
SUITE,
PAR
LE
FONDEMENT
ET
LA
NATURE
SPECIFIQUE
DU
DROIT
DIT
PROPRIETE
SCIENTIFIQUE.
CARACTERE
INOPERANT
DES
SYSTEMES
TENDANT
A
ETABLIR
LA
PROPRIETE
SCIENTIFIQUE
SUR
LA
SEULE
BASE
DE
LA
DECOUVERTE
SCIENTIFIQUE,
C
'
EST-A-DIRE
DE
L
'
IDEE
SCIENTIFI
QUE
PRISE
EN
ELLE-MEME
ET
DU
POINT
DE
VUE
ABSTRAIT
.
812
XII.
-
PREMIERE
CONCEPTION
DU
FONDEMENT
ET
DE
LA
NATURE
DE
LA
PROPRIETE
SCIENTIFIQUE.
CELLE-CI
TROUVERAIT
SA
JUSTIFICATION
ET
SON
EXPLICATION
DANS
LA
COMBINAISON
DES
NOTIONS
D
'
OCCU
PATION,
DE
SPECIFICATION
ET
DE
DOMAINE
PUBLIC
PAYANT
.
813
XIII.
-
DEUXIEME
CONCEPTION
DE
LA
PROPRIETE
SCIENTIFIQUE.
LA
CONTRIBUTION
DES
SAVANTS
AU
PROGRES
DE
L
'
INDUSTRIE
SERAIT
RE
CONNUE
AU
MOYEN
D
'
UNE
TAXE
PAYEE
PAR
TOUTE
L
'
INDUSTRIE
ET
VERSEE
A
L
'
OFFICE
NATIONAL
DES
RECHERCHES
ET
INVENTIONS
.
822
XIV.
-
TROISIEME
CONCEPTION.
LA
PROPRIETE
SE
JUSTIFIERAIT
PAR
LA
NOTION
D
'
ENRICHISSEMENT
SANS
CAUSE
ELARGIE
.
823
XV.
-
QUATRIEME
CONCEPTION
DE
LA
NATURE
SPECIFIQUE
DE
LA
PRO
PRIETE
SCIENTIFIQUE.
CELLE-CI
SERAIT
A
LA
FOIS
UN
DROIT
MORAL
OU
TABLE
DES
MATIERES
879
PAG
HONORIFIQUE
PARCE
QUE
FAISANT
CORPS
AVEC
LA
PERSONNALITE
DU
SAVANT
ET
UN
DROIT
REEL
DE
PROPRIETE
PARCE
QUE
REPRESENTANT
UNE
VALEUR
PECUNIAIRE
.
829
XVI.
-
SOLUTION
PROPOSEE
QUANT
A
LU
NOTION
DE
PROPRIETE
SCIEN
TIFIQUE.
LA
SEULE
DECOUVERTE
SCIENTIFIQUE,
C
'
EST-A-DIRE
L
'
IDEE
SCIENTIFIQUE
PURE,
N
'
EST
PAS
SUSCEPTIBLE,
PRISE
EN
ELLE-MEME,
DE
SERVIR
SEULE
D'ELEMENT
A
UNE
NOTION
ET
A
UNE
ORGANISATION
DE
LU
PROPRIETE
SCIENTIFIQUE.
IL
FAUT,
EN
OUTRE,
QUE
LA
DECOU
VERTE
SCIENTIFIQUE
REVETE
A
SON
APPARITION
UN
CERTAIN
CARACTERE
DE
MATERIALITE
.
83
"
§
II.
LE
DERNIER
ETAT
DE
LA
DOCTRINE
ET
DE
LA
JURISPRUDENCE
SUR
LA
NOTION
DE
PROPRIETE
INCORPORELLE
ET
SES
VARIETES.
LE
DROIT
D
'
AUTEUR
EST
LE
TYPE
DE
LA
PROPRIETE
INCORPORELLE;
DETERMINATION
DE
SA
NA
TURE
SPECIFIQUE.
SOLUTION
PROPOSEE
SUR
LA
NOTION
DE
PROPRIETE
INCOR
PORELLE
ET,
D'UNE
MANIERE
GENERALE,
SUR
LES
DROITS
DITS
INTELLECTUELS
OU
INCORPORELS
.
838
I.
-
LE
PERNIER
ETAT
DE
LA
DOCTRINE
ET
DE
LA
JURISPRUDENCE
SUR
LA
NOTION
DE
PROPRIETE
INCORPORELLE
ET
SES
VARIETES
L
'
EXPOSE
DU
DOYEN
JOSSERAND
DANS
SON
COURS
DE
DROIT
CIVIL
POSITIF
FRAN
CAIS
(T.
I,
N
S
1513
ET
S.)
.
839
IL
-
LA
CONTROVERSE
TRADITIONNELLE
SUR
LA
NATURE
SPECIFIQUE
DU
DROIT
D
'
AUTEUR
(RENVOI)
.
848
III.
-
SOLUTION
PROPOSEE
SUR
LA
NATURE
SPECIFIQUE
DU
DROIT
D
'
AU
TEUR
ET,
D
'
UNE
MANIERE,
GENERALE,
DES
DROITS
INTELLECTUELS.
CEUX
CI
REPONDENT
A
LA
NOTION
DE
PROPRIETE
PARCE
QU
'
ILS
TROUVENT
LEUR
EXPRESSION
EN
TOUTE
OCCURRENCE
DANS
UN
ELEMENT
MATE
RIEL,
D
'
OU
SE
DEGAGENT
UN
CERTAIN
NOMBRE
DE
PREROGATIVES.
CETTE
PROPRIETE
EST
QUALIFIEE
DE
PROPRIETE
INCORPORELLE
DANS
LE
BUT
DE
CLASSIFICATION
ET
DE
DIFFERENCIATION
D
'
AVEC
LA
PROPRIETE
ORDINAIRE
.
832
S
ECTION
VI.
-
S
IMPLE
APERCU
SUR
LA
NATURE
SPECIFIQUE
DES
DROITS
DE
FAMILLE
.
855
I.
-
LE
DROIT
DE
FAMILLE
AU
SENS
LARGE
DU
TERME
.
356
II.
-
LE
DROIT
DE
FAMILLE
AU
SENS
ETROIT
DU
TERME
.
859
III.
-
LES
DROITS
DE
FAMILLE
A
CARACTERE
PERSONNE}.
LEUR
CLAS
SIFICATION
:
DROITS
DE
PUISSANCE,
OBLIGATIONS
DE
PROTECTION,
D
'
OBEISSANCE
ET
DE
RESPECT
.
860
CONCLUSION
.
862 |
any_adam_object | 1 |
author | Bonnecase, Julien |
author_facet | Bonnecase, Julien |
author_role | aut |
author_sort | Bonnecase, Julien |
author_variant | j b jb |
building | Verbundindex |
bvnumber | BV013953512 |
ctrlnum | (OCoLC)166105844 (DE-599)BVBBV013953512 |
format | Book |
fullrecord | <?xml version="1.0" encoding="UTF-8"?><collection xmlns="http://www.loc.gov/MARC21/slim"><record><leader>00000nam a2200000 cc4500</leader><controlfield tag="001">BV013953512</controlfield><controlfield tag="003">DE-604</controlfield><controlfield tag="007">t</controlfield><controlfield tag="008">011002r2001uuuugw |||| 00||| fre d</controlfield><datafield tag="016" ind1="7" ind2=" "><subfield code="a">962376884</subfield><subfield code="2">DE-101</subfield></datafield><datafield tag="035" ind1=" " ind2=" "><subfield code="a">(OCoLC)166105844</subfield></datafield><datafield tag="035" ind1=" " ind2=" "><subfield code="a">(DE-599)BVBBV013953512</subfield></datafield><datafield tag="040" ind1=" " ind2=" "><subfield code="a">DE-604</subfield><subfield code="b">ger</subfield><subfield code="e">rakddb</subfield></datafield><datafield tag="041" ind1="0" ind2=" "><subfield code="a">fre</subfield></datafield><datafield tag="044" ind1=" " ind2=" "><subfield code="a">gw</subfield><subfield code="c">DE</subfield></datafield><datafield tag="049" ind1=" " ind2=" "><subfield code="a">DE-12</subfield><subfield code="a">DE-19</subfield></datafield><datafield tag="084" ind1=" " ind2=" "><subfield code="a">8,2</subfield><subfield code="2">ssgn</subfield></datafield><datafield tag="100" ind1="1" ind2=" "><subfield code="a">Bonnecase, Julien</subfield><subfield code="e">Verfasser</subfield><subfield code="4">aut</subfield></datafield><datafield tag="245" ind1="1" ind2="0"><subfield code="a">Traité théorique et pratique de droit civil</subfield><subfield code="b">Supplément</subfield><subfield code="n">T. 5.</subfield><subfield code="c">par Julien Bonnecase. G. Baudry-Lacantinerie</subfield></datafield><datafield tag="264" ind1=" " ind2="1"><subfield code="a">Bad Feilnbach</subfield><subfield code="b">Schmidt Periodicals</subfield><subfield code="c">2001</subfield></datafield><datafield tag="300" ind1=" " ind2=" "><subfield code="a">893 S.</subfield></datafield><datafield tag="336" ind1=" " ind2=" "><subfield code="b">txt</subfield><subfield code="2">rdacontent</subfield></datafield><datafield tag="337" ind1=" " ind2=" "><subfield code="b">n</subfield><subfield code="2">rdamedia</subfield></datafield><datafield tag="338" ind1=" " ind2=" "><subfield code="b">nc</subfield><subfield code="2">rdacarrier</subfield></datafield><datafield tag="500" ind1=" " ind2=" "><subfield code="a">Nachdr. [der Ausg.] Paris, Recueil Sirey, 1930</subfield></datafield><datafield tag="700" ind1="1" ind2=" "><subfield code="a">Baudry-Lacantinerie, Gabriel</subfield><subfield code="e">Sonstige</subfield><subfield code="4">oth</subfield></datafield><datafield tag="773" ind1="0" ind2="8"><subfield code="w">(DE-604)BV013953508</subfield><subfield code="g">5</subfield></datafield><datafield tag="856" ind1="4" ind2="2"><subfield code="m">DNB Datenaustausch</subfield><subfield code="q">application/pdf</subfield><subfield code="u">http://bvbr.bib-bvb.de:8991/F?func=service&doc_library=BVB01&local_base=BVB01&doc_number=009549068&sequence=000001&line_number=0001&func_code=DB_RECORDS&service_type=MEDIA</subfield><subfield code="3">Inhaltsverzeichnis</subfield></datafield><datafield tag="943" ind1="1" ind2=" "><subfield code="a">oai:aleph.bib-bvb.de:BVB01-009549068</subfield></datafield></record></collection> |
id | DE-604.BV013953512 |
illustrated | Not Illustrated |
indexdate | 2024-08-23T00:43:22Z |
institution | BVB |
language | French |
oai_aleph_id | oai:aleph.bib-bvb.de:BVB01-009549068 |
oclc_num | 166105844 |
open_access_boolean | |
owner | DE-12 DE-19 DE-BY-UBM |
owner_facet | DE-12 DE-19 DE-BY-UBM |
physical | 893 S. |
publishDate | 2001 |
publishDateSearch | 2001 |
publishDateSort | 2001 |
publisher | Schmidt Periodicals |
record_format | marc |
spelling | Bonnecase, Julien Verfasser aut Traité théorique et pratique de droit civil Supplément T. 5. par Julien Bonnecase. G. Baudry-Lacantinerie Bad Feilnbach Schmidt Periodicals 2001 893 S. txt rdacontent n rdamedia nc rdacarrier Nachdr. [der Ausg.] Paris, Recueil Sirey, 1930 Baudry-Lacantinerie, Gabriel Sonstige oth (DE-604)BV013953508 5 DNB Datenaustausch application/pdf http://bvbr.bib-bvb.de:8991/F?func=service&doc_library=BVB01&local_base=BVB01&doc_number=009549068&sequence=000001&line_number=0001&func_code=DB_RECORDS&service_type=MEDIA Inhaltsverzeichnis |
spellingShingle | Bonnecase, Julien Traité théorique et pratique de droit civil Supplément |
title | Traité théorique et pratique de droit civil Supplément |
title_auth | Traité théorique et pratique de droit civil Supplément |
title_exact_search | Traité théorique et pratique de droit civil Supplément |
title_full | Traité théorique et pratique de droit civil Supplément T. 5. par Julien Bonnecase. G. Baudry-Lacantinerie |
title_fullStr | Traité théorique et pratique de droit civil Supplément T. 5. par Julien Bonnecase. G. Baudry-Lacantinerie |
title_full_unstemmed | Traité théorique et pratique de droit civil Supplément T. 5. par Julien Bonnecase. G. Baudry-Lacantinerie |
title_short | Traité théorique et pratique de droit civil |
title_sort | traite theorique et pratique de droit civil supplement |
title_sub | Supplément |
url | http://bvbr.bib-bvb.de:8991/F?func=service&doc_library=BVB01&local_base=BVB01&doc_number=009549068&sequence=000001&line_number=0001&func_code=DB_RECORDS&service_type=MEDIA |
volume_link | (DE-604)BV013953508 |
work_keys_str_mv | AT bonnecasejulien traitetheoriqueetpratiquededroitcivilsupplementt5 AT baudrylacantineriegabriel traitetheoriqueetpratiquededroitcivilsupplementt5 |