Corse: l'indispensable sursaut:
Gespeichert in:
Hauptverfasser: | , |
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Format: | Buch |
Sprache: | French |
Veröffentlicht: |
Paris
1998
|
Schriftenreihe: | France / Assemblée Nationale: Rapport d'information
1077 |
Online-Zugang: | Inhaltsverzeichnis |
Beschreibung: | 628 S. graph. Darst. |
ISBN: | 2111075620 |
Internformat
MARC
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adam_text | N1077 ASSEMBLEE NATIONALE CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958 ONZIEME
LEGISLATURE ENREGISTRE A LA PRESIDENCE DE L ASSEMBLEE NATIONALE LE 3
SEPTEMBRE 1998. RAPPORT FAIT AU NOM DE LA COMMISSION D ENQUETE (1) SUR
L UTILISATION DES FONDS PUBLICS ET LA GESTION DES SERVICES PUBLICS EN
CORSE, PRESIDENT M. JEAN GLAVANY, RAPPORTEUR M.CHRISTIAN PAUL, DEPUTES.
. RAPPORT (L) LA COMPOSITION DE CETTE MISSION FIGURE AU VERSO DE LA
PRESENTE PAGE. CORSE. -3- SOMMAIRE PAGES AVANT-PROPOS 13 INTRODUCTION .
19 * UNE ILE HORS DU DROIT ? * CONNAITRE, COMPRENDRE, PROPOSER * LES
ANALYSES DE LA CRISE : DES CONSTATS GRAVES, DES COMPORTEMENTS
INACCEPTABLES * LE CHOIX D AGIR DANS LA DUREE * SEPT PRIORITES A COURT
TERME I.- LE PARADOXE CORSE : UNE ECONOMIE LARGEMENT SOUTENUE QUI RESTE
CEPENDANT FRAGJLE, DES DEPENSES PUBLIQUES ABONDANTES QUI N ONT PAS LES
EFFETS ESCOMPTES ..: 29 A.- UNE ECONOMIE DESEQUILIBREE A LA RECHERCHE
DE PROJETS PORTEURS D AVENIR. 29 1.- DES HANDICAPS NATURELS A
RELATIVISER 30 A) DES HANDICAPS NATURELS INCONTESTABLES 30 * LE POIDS
ECONOMIQUE ET PSYCHOLOGIQUE DE L INSULARITE 30 * L EXCESSIF
CLOISONNEMENT DE LA CORSE 32 * L ABSENCE DE MATIERES PREMIERES 32 * UNE
CRISE DEMOGRAPHIQUE ANCIENNE ET ACTUELLE 33 B) LE MECANISME DE LA
CONTINUITE TERRITORIALE REDUIT LES PRINCIPALES CONSEQUENCES DE
L INSULARITE -.-.;.- 34 * LA MISE EN PLACE DE LA CONTINUITE TERRITORIALE
35 * LA SITUATION ACTUELLE . . 37 * LA DOTATION DE CONTINUITE
TERRITORIALE REPRESENTE UN EFFORT FINANCIER IMPORTANT DE L ETAT 40 * LES
FLUX DE TRANSPORT ET LEURS CARACTERISTIQUES 41 C) LES HANDICAPS NATURELS
POURRAIENT SE REVELER DES ATOUTS 43 2 * LES FRAGILITES ACTUELLES D UNE
ECONOMIE A LA CROISEE DES CHEMINS 44 A) DES CONSTATS ALARMANTS QU
ATTENUENT QUELQUES NOTES D ESPOIR 44 * UN PIB PAR HABITANT INFERIEUR A
LA MOYENNE DES REGIONS EUROPEENNES COMME A LA MOYENNE NATIONALE 45 * DES
SIGNES D AMELIORATION ECONOMIQUE 46 B) LA STRUCTURE ATYPIQUE D UNE
ECONOMIE REGIONALE RELATIVEMENT MARQUEE PAR LE PROBLEME DU CHOMAGE : 48
* UNE ECONOMIE DESEQUILIBREE 48 * UN SECTEUR TERTIAIRE PREDOMINANT DANS
LA REPARTITION DE L EMPLOI 51 * DES CONDITIONS DE VIE CORRECTES, MAIS UN
(AUX DE CHOMAGE SUPERIEUR A LA MOYENNE NATIONALE 53 C) UNE AGRICULTURE
LARGEMENT ASSISTEE 5 6 * MALGRE UN POIDS ECONOMIQUE LIMITE, UNE PLACE
IMPORTANTE DANS LA SOCIETE INSULAIRE 56 * LES DIFFERENTS VISAGES DE
L AGRICULTURE CORSE 58 * VINGT ANS DE MUTATIONS PARFOIS DOULOUREUSES 59
D) UN SECTEUR DU TOURISME EN EVOLUTION CONSTANTE 61 * UN IMPACT
GLOBALEMENT TRES POSITIF SUR L ECONOMIE ET LE MARCHE DC L EMPLOI 61 *
UNE FREQUENTATION TOURISTIQUE EN HAUSSE 62 * UN SECTEUR ENCORE FRAGILISE
PAR DES HANDICAPS DE NATURE DIVERSE 64 -4- 3.- DES OBSTACLES AU
DEVELOPPEMENT A SURMONTER 67 A) UN CONTEXTE POLITIQUE ET SOCIAL AGITE 68
B) UN PASSE ENCORE TRES PRESENT 69 * UN DEVELOPPEMENT TARDIF 69 * UNE
CULTURE ECONOMIQUE A DEVELOPPER 70 * LA PERSISTANCE DE L INDIVISION 72
C) DES ENTREPRISES VULNERABLES 73 * UN MARCHE TROP ETROIT 73 * UNE
RENTABILITE INSUFFISANTE 73 * UN SECTEUR PRIVE SOUS-CAPITALISE ET
SURENDETTE 74 * LES COLLECTIVITES LOCALES : DES PARTENAIRES SOUVENT PEU
FIABLES 76 B.- LA CORSE : POINT DE CONVERGENCE DES SOLLICITUDES DE
L ETAT ET DE L UNION EUROPEENNE 76 1 * UN EFFORT FINANCIER GLOBAL A
EVALUER OBJECTIVEMENT 77 A) AU PREALABLE : QUELQUES MISES AU POINT
INDISPENSABLES 77 B) LES 8,8 MILLIARDS DE DEPENSES DIRECTES DE L ETAT 81
C) LE PLUS FORT RATIO PAR HABITANT DE LA DOTATION COMMUNAUTAIRE EN
FRANCE 87 2.- LA CONTRACTUALISATION PRIVILEGIEE DES DEPENSES NATIONALES
ET COMMUNAUTAIRES 89 A) UN CONTRAT DE PLAN DOUBLEMENT DOTE 89 B) UNE
REGION LARGEMENT COUVERTE PAR LES DIVERS PROGRAMMES COMMUNAUTAIRES 93 *
UN EFFORT DEJA CONSIDERABLE DE L UNION EUROPEENNE EN 1989-1993 ET UN
SOUTIEN ACCRU SUR LA PERIODE 1994-1999 93 * LE COUP DE POUCE » DU
GOUVERNEMENT FRANCAIS EN 1993 95 * UNE LARGE PALETTE DE PROGRAMMES
COMMUNAUTAIRES 96 * VERS UN PROGRAMME DE TRANSITION ACCOMPAGNANT-LA
SORTIE DE L OBJECTIF 1 96 3.-DE DEROGATIONS EN EXCEPTIONS : UN STATUT
DEVENU EXORBITANT DU DROIT COMMUN 97 A) LES ARRETES MIOI, LE DECRET
IMPERIAL ET LEURS AVATARS 99 B) LA LOI DU 27 DECEMBRE 1994 PORTANT
STATUT FISCAL DE LA CORSE 102 C) LA LOI DU 26 DECEMBRE 1996 RELATIVE A
LA ZONE FRANCHE DE CORSE 104 C- DES DOUTES LEGITIMES SUR L EFFICACITE
DES DEPENSES PUBLIQUES 106 1.* DES AIDES AU DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE NON
CONSOMMEES OU MAL UTILISEES 107 A) LE MAL CHRONIQUE DE LA
SOUS-CONSOMMATION DES CREDITS PUBLICS 107 * UNE MISE EN *UVRE DU CONTRAT
DE PLAN ENCORE TROP LENTE ET UN FAIBLE IMPACT SUR L ECONOMIE INSULAIRE
107 * DES PRIMES D AMENAGEMENT DU TERRITOIRE TROP RAREMENT OCTROYEES
FAUTE DE PROJETS ELIGIBLES 109 . * DES FINANCEMENTS EUROPEENS
THEORIQUEMENT IMPORTANTS MAIS RELATIVEMENT PEU SOLLICITES DANS LES FAITS
; 111 B) LA GESTION PEU CONVAINCANTE DES AIDES AU DEVELOPPEMENT PAR L A
DEC .- 117 * DES MISSIONS EN PRINCIPE TRES LARGES, DES AMBITIONS
GENEREUSES, DES CREDITS IMPORTANTS 118 * UN SYSTEME DE DECISION A
PLUSIEURS NIVEAUX 120 * LE BILAN NUANCE DES ACTIVITES RECENTES DE L ADEC
123 * LES CARENCES DU SYSTEME ADEC 129 2- LA GESTION NON OPTIMALE DE LA
CONTINUITE TERRITORIALE ; 134 A) DES SURCOUTS REELS 134 * LE TRANSPORT
MARITIME SUPPORTE LES PRINCIPAUX D ENTRE EUX 134 * 5 * * LA
MULTIPLICATION DES INFRASTRUCTURES FAIT OBSTACLE AUX ECONOMIES D ECHELLE
137 * LA SUBVENTION AU TRANSPORT DU CIMENT A ETE VERSEE EN PURE PERTE
138 * LA DESSERTE AERIENNE SUSCITE EGALEMENT QUELQUES INTERROGATIONS 141
B) LA DOTATION DE CONTINUITE TERRITORIALE A ATTEINT SES OBJECTIFS 142 *
DES LIAISONS FREQUENTES 142 * DES TARIFS AVANTAGEUX 143 C) LA CONTINUITE
TERRITORIALE NE PROFITERAIT PAS AUX CORSES : UNE CRITIQUE A NUANCER 145
3.- L ECHEC PATENT DES AIDES AU SECTEUR AGRICOLE 147 A) UN CONSTAT SANS
APPEL : L ECHEC TOTAL DES PLANS GENERAUX DE DESENDETTEMENT DE
L AGRICULTURE CORSE 147 B) LES DEFAILLANCES DE L OFFICE CHARGE DU
DEVELOPPEMENT AGRICOLE ET RURAL DE LA CORSE 157 * L ODARC NOUVELLE
FORMULE » DE 1992 158 * DES OPERATIONS D INTERVENTION ET DE
DEVELOPPEMENT DE GRANDE AMPLEUR .. .. 159 * DES COMPETENCES FORT
ETENDUES 160 * UN CONSEIL D ADMINISTRATION DOMINE PAR LES
SOCIO-PROFESSIONNELS DU MILIEU AGRICOLE 161 * LES INSUFFISANCES NOTOIRES
DU DISPOSITIF 166 II.- DES DERIVES PREOCCUPANTES : DU LAXISME A LA
FRAUDE : 171 A.- DE MULTIPLES DYSFONCTIONNEMENTS ET MANQUEMENTS A LA
LEGALITE : QUELQUES ETUDES DE CAS . 171 1 * DES OUTILS DE FINANCEMENT
DE L ECONOMIE DEFECTUEUX 172 A) LA CADEC : UNE SOCIETE DE DEVELOPPEMENT
AU BORD DE LA LIQUIDATION 1 73 * LA DETERIORATION DES COMPTES 174 *
1994: UNE ANNEE CHARNIERE 175 * AUX ORIGINES DU DESASTRE FINANCIER 176 *
LA DIFFICILE ACTIVITE DE RECOUVREMENT DES CREANCES DANS LE CONTEXTE
INSULAIRE 177 * LE CAS TROUBLANT DE L HOTEL LE MIRAMAR » 181 * VERS
UNE NOUVELLE RECAPITALISATION : LES INCERTITUDES ACTUELLES 186 B) LA
CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE : UN MECANISME DE CAVALERIE » TRES
COUTEUX POUR LES FINANCES PUBLIQUES 189 * LE PREMIER ETABLISSEMENT
BANCAIRE DE L ILE ET LE PLUS IMPORTANT DISTRIBUTEUR DE CREDITS BANCAIRES
. 190 * UN SYSTEME » DE PRETS AUX AGRICULTEURS BIEN RODE 192 * DE
GRANDES DIFFICULTES FINANCIERES QUI ONT CONDUIT A L INTERVENTION DE LA
CAISSE CENTRALE 193 * UN CLIMAT TENDU ET LA GESTION DELICATE DES RISQUES
BANCAIRES 195 * LES INTERROGATIONS DE LA COMMISSION D ENQUETE . 196 *
LE COMPORTEMENT DE LA CAISSE NATIONALE : ENTRE NEGLIGENCE, INATTENTION
ET VOLONTE DE COUVRIR LES ERREMENTS DE LA CAISSE REGIONALE 198 2.* DES
DERIVES DANS LE SECTEUR SOCIAL ET DE LA SANTE ; 199 A) L HOPITAL DE
BONIFACIO : ERREMENTS CUMULES ET RESPONSABILITES PARTAGEES 200 * UNE
SITUATION FINANCIERE DURABLEMENT ET FORTEMENT DEFICITAIRE 200 * A
L ORIGINE DES DERIVES 201 * LES ENQUETES SE SUIVENT ET NE SE RESSEMBLENT
PAS 205 * *LES QUATRE NIVEAUX DE RESPONSABILITES 208 B) LES CENTRES
HOSPITALIERS DE BASTIA ET D AJACCIO : DEUX GESTIONS INCERTAINES 209 * UN
ETAT DES LIEUX GLOBALEMENT INQUIETANT..... 210 * LA DEGRADATION
BUDGETAIRE DU CENTRE HOSPITALIER DE BASTIA 211 * LA MAUVAISE MAITRISE DE
LA SITUATION DU CENTRE HOSPITALIER D AJACCIO 213 C) LA CAISSE DE
MUTUALITE SOCIALE AGRICOLE DE CORSE : UNE ABSENCE DE RIGUEUR AVEREE 21 5
* L EVIDENT DESORDRE DANS LES REGLES D AFFILIATION 215 * LES
VERIFICATIONS EFFECTUEES PAR LA CAISSE A PARTIR DE I993 217 6- * DES
ANOMALIES INQUIETANTES DANS LES DOSSIERS INDIVIDUELS EXAMINES 217 *
L INEXORABLE DEGRADATION DES COMPTES 223 D) LA DIFFICILE REMISE A FLOT
DES DEUX OFFICES PUBLICS D HLM 225 * L OFFICE DE LA HAUTE-CORSE : UNE
SITUATION DIFFICILE QUI N EST PAS NOUVELLE 227 : * L OFFICE DE LA
CORSE-DU-SUD : DES POINTS FAIBLES ET QUELQUES SIGNES ENCOURAGEANTS 228
I- LA GESTION CHAOTIQUE DE CERTAINES COLLECTIVITES LOCALES 233 J A)
AJACCIO : UNE FUITE EN AVANT » CATASTROPHIQUE 233 | * UNE VILLE SOUS LA
VIGILANCE DE SES CREANCIERS 234 * UN BUDGET GREVE PAR UN PERSONNEL
PLETHORIQUE .?. 234 I * UNE VILLE TRES ENDETTEE 235 | * DES OPERATIONS
HASARDEUSES 235 J * UN BUDGET POUR 1998 INSINCERE . 236 B) L AFFAIRE DU
PORT DE PROPRIANO 237 * DES PROJETS INITIAUX AMBITIEUX 237 * LES
REACTIONS DE L ENTREPRISE BOUYGUES OFFSHORE 240 * LES ELEMENTS
TROUBLANTS 241 C) CONCA : UNE SITUATION FINANCIERE DEGRADEE » 243 D)
SANTA MARIA POGHJU : LES CONSEQUENCES D UNE DECISION IRREFLECHIE 244 E)
LE SIVOMDU NEBBIO : LES DERIVES D UN PROJET DEMESURE 246 F) LE SIVOM DU
NIOLO : UNE ACCUMULATION D IRREGULARITES 248 - DES VIOLATIONS REPETEES
DU DROIT DE L URBANISME 250 ,E NON-PAIEMENT DES DETTES : UNE PRATIQUE
TRES REPANDUE 255 - UN ENCHAINEMENT PERVERS 255 - LES MULTIPLES DETTES
DU MONDE AGRICOLE 256 A) DES EMPRUNTS A REPETITION 257 * LA
CONCENTRATION DU PROBLEME 257 * DES AGRICULTEURS TRES SOUVENT VICTIMES
DU SYSTEME DE CAVALERIE » 257 * LE DERNIER PLAN DE DESENDETTEMENT
GENERAL 258 B) DES MONTANTS COLOSSAUX D IMPAYES DE COTISATIONS SOCIALES
AGRICOLES 260 C) CERTAINS GROS DEBITEURS DU CREDIT AGRICOLE ONT-ILS
EGALEMENT DES DETTES IMPORTANTES A LA 262 D) DES FACTURES D EAU QUI
S ACCUMULENT 272 * UN PRIX DE VENTE DE L EAU TOUJOURS A LA BAISSE, DES
TARIFS NETTEMENT INSUFFISANTS 273 * LA SOLLICITUDE DE L ASSEMBLEE DE
CORSE 274 * LA CREANCE GENERALE 275 * UNE POLITIQUE DE RECOUVREMENT PLUS
STRICTE ET PLUS VOLONTAIRE . 280 - LES DIFFICULTES DE RECOUVREMENT DES
COTISATIONS URSSAF. 283 A) LE DECALAGE PAR RAPPORT AUX MOYENNES
NATIONALES * 283 B) UNE GESTION COMPLIQUEE PAR DIVERS FACTEURS PROPRES A
L ILE 287 C) UN CLIMAT TENDU ET DES GROUPEMENTS DE PROFESSIONNELS POUR
LE MOINS REVENDICATIFS 289 D) VERS LA NORMALISATION 294 »A FRAUDE DES
PARTICULIERS : UN PHENOMENE MULTIFORME 295 R UN COMPORTEMENT FISCAL PEU
EXEMPLAIRE 295 *A) UNE FORTE PROPENSION A LA FRAUDE 295 B) UN
RECOUVREMENT DIFFICILE 299 * UN CONSTAT INQUIETANT 299 * LES RAISONS
TRADITIONNELLEMENT EVOQUEES SONT A RETENIR AVEC PRUDENCE 300 -7- C) UNE
ACTIVITE DE CONTROLE EN VOIE DE RENFORCEMENT 305 * LA CORSE SEMBLE
BENEFICIER D UNE ATTENTION FLUCTUANTE DE LA PART DES SERVICES FISCAUX
305 * LE FAIBLE NOMBRE DES PLAINTES DEPOSEES 308 2.- DES SOUPCONS DE
FRAUDE POUR CERTAINES ALLOCATIONS SOCIALES 310 A) DES LACUNES AVEREES
DANS LA GESTION DU DISPOSITIF RMI 310 * UN DISPOSITIF TRES PRESENT DANS
LES DEUX DEPARTEMENTS 310 * DES ALLOCATIONS DISTRIBUEES LARGEMENT EN
L ABSENCE DE GESTION GLOBALE DU DISPOSITIF 312 * LES CARENCES EN MATIERE
DE PREVENTION ET DE CONTROLE DES FRAUDES 313 * UNE GESTION
PARTICULIEREMENT DEFECTUEUSE EN CORSE-DU-SUD 314 * DES CONSTATIONS PLUS
NUANCEES EN CE QUI CONCERNE LA SITUATION EN HAUTE-CORSE 316 * LA
NECESSAIRE REPRISE EN MAINS 317 B) DES LARGESSES DANS LES CONDITIONS
D ATTRIBUTION DES ALLOCATIONS AUX ADULTES HANDICAPES (AAH) 318 * UN TAUX
RECORD DE BENEFICIAIRES DE L AAH 318 * LES DYSFONCTIONNEMENTS DES
COTOREP 319 * L ATTITUDE CONTESTABLE DE CERTAINS MEDECINS 321 * LES
ACTIONS URGENTES A METTRE EN OEUVRE 322 3.- LE DETOURNEMENT POSSIBLE DES
AIDES COMMUNAUTAIRES 323 A) L AFFAIRE DES PRIMES AGRICOLES EN
HAUTE-CORSE 323 * LES ANOMALIES ET PRATIQUES ABUSIVES REVELEES PAR LE
RAPPORT JACQUOT 324 * LES SUITES DONNEES A LA MISSION 327 * QUELLES
CONCLUSIONS EN TIRER AUJOURD HUI 329 B) UN DEFICIT DE CONTROLE DANS
L UTILISATION DES FONDS STRUCTURELS 330 * LA RESPONSABILITE DES SERVICES
DE L ETAT 330 * LES LACUNES ACTUELLES DES MODALITES DE CONTROLE 331 *
DES AMELIORATIONS A CONFIRMER 332 * UN EXEMPLE PARTICULIER : LA ROUTE
D ACCES AU PORT DE PROPRIANO 332 III.-A LA RECHERCHE DES CAUSES :
L INCONSTANCE DES GOUVERNEMENTS, LES DEFAILLANCES DES POUVOIRS LOCAUX,
LA PUISSANCE DES RESEAUX D INTERET 336 A.- LES CORSES ET LA REPUBLIQUE
337 . 1.-UNE RELATION COMPLEXE AU DROIT 338 A) DES MODES D ORGANISATION
SOCIALE PARTICULIERS 339 * UN CLIENTELISME INSTALLE 339 * L EVITEMENT
DES INSTITUTIONS REPUBLICAINES 341 B) UNE VIOLENCE ENDEMIQUE 343 * UNE
CRIMINALITE ENCORE ELEVEE ET ATYPIQUE 343 * UNE VIOLENCE CIBLEE : 345 C)
DES COMPORTEMENT SPECIFIQUES .-. 348 * LES INCENDIES D ORIGINE PASTORALE
: UNE ATTEINTE MAJEURE A L ENVIRONNEMENT 348 * UN GOUT IMMODERE POUR LES
ARMES 349 * LA MECONNAISSANCE DU CODE DE LA ROUTE 350 2.-L ENGRENAGE DE
LA VIOLENCE 350 A) LA RADICALISALION DE CERTAINS MOUVEMENTS
NATIONALISTES A CONDUIT A UNE LARGE BANALISATION DELA VIOLENCE 351 B) LA
FOCALISATION SUR LA VIOLENCE NATIONALISTE A LAISSE LE CHAMP LIBRE AU
GRAND BANDITISME ET A LA DELINQUANCE FINANCIERE 352 C) L ECLATEMENT DES
MOUVEMENTS NATIONALISTES S EST ACCOMPAGNE D UNE POUSSEE DE VIOLENCE 352
3.- UN CHOIX TRES MAJORITAIRE POUR L UNITE DE LA REPUBLIQUE 353 .- LA
RESPONSABILITE ET LES INSUFFISANCES DE L ETAT 355 1.- DES TACTIQUES
SUCCESSIVES MISES EN ECHEC 356 A) TROIS VOIES ONT ETE PARALLELEMENT
EXPLOREES 356 * L APPROCHE INSTITUTIONNELLE . _ 357 * LA REINTEGRATION
DES NATIONALISTES DANS LA VIE POLITIQUE INSULAIRE 358 * L APPROCHE
ECONOMIQUE 361 B) L ETAT A REAGI PAR ECLIPSES 36 3 1 C) L ETAT A EMPLOYE
DES METHODES QUI SE SONT REVELEES DISCUTABLES 365 * DES NEGOCIATIONS EN
CATIMINI : 366 * DES SUBVENTIONS D APAISEMENT . 366 D) L ETAT S EST
LAISSE ENFERMER DANS UNE IMPASSE 367 2.- LA GESTION INADAPTEE DES
SERVICES PUBLICS , 370 A) LES ADMINISTRATIONS DE L ETAT SONT FORTEMENT
PRESENTES EN CORSE 371 B) LES ADMINISTRATION DE L ETAT TRAVAILLENT DANS
UN CONTEXTE TRES PARTICULIER 373 * UN CONTEXTE PESANT 373 * DES
PRESSIONS INCONTESTABLES 374 C) LES ADMINISTRATIONS SUR PLACE N ONT PAS
FAIT L OBJET D UNE ATTENTION SUFFISANTE 375 * LES ADMINISTRATIONS
CENTRALES SE BORNENT A APPLIQUER DES REGLES OU DES PROCEDURES TIONALES
... 376 * LES ADMINISTRATIONS CENTRALES SEMBLENT S ETRE RESIGNEES AUX
SPECIFICITES DE L ILE 381 D) DES MAILLONS FAIBLES DANS LE RESEAU DES
COMPTABLES DU TRESOR 383 3.-DES FONCTIONS REGALIENNES EN CRISE 386 A)
UNE JUSTICE FRAGILISEE 386 * LE MALAISE DE LA JUSTICE CORSE S ETAIT DEJA
EXPRIME PUBLIQUEMENT 387 * CE MALAISE PERSISTE 389 * CE MALAISE NUIT
ENCORE AUJOURD HUI A L ACTION DE L ETAT 394 B) UNE POLICE CONTESTEE 396
* UNE GESTION DU PERSONNEL PROBLEMATIQUE 396 * DES RESULTATS NOTOIREMENT
INSUFFISANTS 399 C- L ECLATEMENT ET LES AMBIGUITES DES POUVOIRS LOCAUX
401 1.- LE MAQUIS INSTITUTIONNEL » 402 A) UNE COLLECTIVITE
TERRITORIALE SUI GENERIS 402 * DE 1982 A 1992, LE LABORATOIRE »
INSTITUTIONNEL 402 * DES SPECIFICITES INSTITUTIONNELLES FORTES 405 * LE
NECESSAIRE EXAMEN DU ROLE DES OFFICES ET AGENCES 406 B) LA
BI-DEPARTEMENTALISATION 413 C) L EMIETTEMENT COMMUNAL 413 ; 2.-LE MANQUE
DE RIGUEUR DES COLLECTIVITES LOCALES 416 ! A) UNE GESTION FINANCIERE ET
COMPTABLE PROBLEMATIQUE 417 J * LES COMMUNES CORSES ONT UNE MARGE
FINANCIERE REDUITE ET UN TRAIN DE VIE ELEVE 417 I * LES FACTURES
IMPAYEES DEVIENNENT COURANTES :. 423 I * LES COMPTES DES COMMUNES
MANQUENT DE SINCERITE * 424 * B) L APPLICATION DIFFICILE DES REGLES
D URBANISME 426 C) LA PASSATION DES MARCHES PUBLICS 427 -9- 3.-LES
STRATEGIES AMBIVALENTES DES RESPONSABLES LOCAUX 430 A) DES POUVOIRS
LOCAUX QUI N ONT PAS PRIS LA MESURE DE LEURS RESPONSABILITES 430 * DES
POUVOIRS LOCAUX QUI ONT ENCORE L HABITUDE D ATTENDRE TOUT DE PARIS 430 *
DES POUVOIRS LOCAUX QUI MANQUENT DE VISION GENERALE : 431 B) DES
POUVOIRS LOCAUX QUI PRATIQUENT LA STRATEGIE DU TOUJOURS PLUS » 433 C)
LE DIFFICILE POSITIONNEMENT DES ELUS LOCAUX 436 D.- L EMERGENCE D UN
SYSTEME » 439 1.*DES RESEAUX D INTERETS ET D INFLUENCE 440 A) DES
RESEAUX ONT MIS LA MAIN SUR DES ORGANISATIONS CONSULAIRES ET
PROFESSIONNELLES 440 B) LES MILIEUX PARTICULIEREMENT INTEGRES DU
BANDITISME EN CORSE 442 C) LES GROUPES NATIONALISTES ET LA TENTATION
AFFAIRISTE 445 2.*DES LIAISONS DANGEREUSES 446 3.-DES METHODES
INACCEPTABLES 449 IV.- DES PROPOSITIONS POUR UNE STRATEGIE DURABLE ET
CREDIBLE DE L ETAT ORSE ; 454 A.- UN ETAT FERME PRET A SANCTIONNER LES
INFRACTIONS AUX LOIS REPUBLICAINES. 455 1.- MAINTENIR LE CAP DE LA
FERMETE 455 A) LES MANQUEMENTS LES PLUS GRAVES DOIVENT ETRE RAPIDEMENT
REPRIMES 456 * LE DOSSIER DE LA CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE DOIT
ETRE INSTRUIT SANS TARDER 456 * L ARME FISCALE ET FINANCIERE DOIT ETRE
UTILISEE DE MANIERE OFFENSIVE : . . 456 * LA LUTTE CONTRE LE GRAND
BANDITISME DOIT ETRE MENEE SANS FAIBLESSE 458 * TOUT ACCOMMODEMENT AVEC
LES MOUVEMENTS CLANDESTINS PRONANT LA VIOLENCE DOIT ETRE BANNI 458 B) UN
ETAT DES LIEUX COMPLET EST INDISPENSABLE ... - 459 * LA MISE EN PLACE DE
MISSIONS D INSPECTION DOIT ETRE SYSTEMATIQUE 459 * LE CHOIX DE LA
CHAMBRE REGIONALE DES COMPTES D ORIENTER SES CONTROLES SUR LES GRANDS
COMPTES DOIT ETRE CONFORTE 460 C) L APPLICATION DU DROIT DE L URBANISME
CONSTITUE UNE PRIORITE 462 * L ETAT DOIT DEFINIR UNE DOCTRINE CLAIRE EN
MATIERE DE PROTECTION DU LITTORAL 462 | * L ETAT DOIT REPENSER LA MISE A
DISPOSITION DES COLLECTIVITES LOCALES DE SES SERVICES 463 | * L ETAT
DOIT DEFINIR UNE POLITIQUE PENALE DE L URBANISME 464 ! 2.-RECOMPOSER,
CONSOLIDER ET REMOBILISER LES SERVICES DE L ETAT 464 ! A) RECOMPOSER :
L ORGANISATION ADMINISTRATIVE DE L ETAT DOIT ETRE REVUE 465 I * L UNITE
DE COMMANDEMENT DOIT ETRE RENFORCEE 465 | * LA CORSE DOIT BENEFICIER
PRIORITAIREMENT DE LA MODERNISATION DE L ETAT 466 B) CONSOLIDER : LES
SERVICES DE L ETAT DOIVENT ETRE RENFORCES PARFOIS QUANTITATIVEMENT ET
SURTOUT QUALITATIVEMENT .-. 468 * * LES MANQUES LOCALISES D EFFECTIFS
DOIVENT ETRE COMBLES 468 * LA POLITIQUE DE RECRUTEMENT DOIT ETRE
REPENSEE 470 * LA MOBILITE DES PERSONNELS DOIT ETRE ORGANISEE 47 2 C)
REMOBILISER : LES SERVICES DE L ETAT DOIVENT POUVOIR TRAVAILLER DANS LA
STABILITE :.... 472 3.-REDONNERA LA JUSTICE SERENITE ET CREDIBILITE 473
B.- UN ETAT CAPABLE D ACCOMPAGNER EFFICACEMENT L ACTION LOCALE POUR LE
(LOPPEMENT DE L ILE 475 1.* UN ETAT D URGENCE POUR LE SECTEUR AGRICOLE
476 * UN FATALISME A PROSCRIRE 476 * LES DEBATS ACTUELS AULOURDE
L AVENIR DE L AGRICULTURE 478 * LES AXES PRIORITAIRES D UNE STRATEGIE
GLOBALE 480 -10- * PREMIER AXE : ROMPRE AVEC LA LOGIQUE DE L ASSISTANCE
ET DES PLANS GENERAUX DE DESENDETTEMENT 481 * DEUXIEME AXE : SORTIR DU
FLOU EN ACTUALISANT, VERIFIANT ET RECOUPANT LES DONNEES DISPONIBLES
CONCERNANT LES AGRICULTEURS ET LEURS EXPLOITATIONS 484 * TROISIEME AXE :
RENFORCER LE ROLE DE CONSEIL, DE CO-GESTION COMME DE CONTROLE DES
SERVICES DECONCENTRES DE L ETAT 487 * QUATRIEME AXE : RENOVER LES
INSTITUTIONS DU MONDE AGRICOLE 488 2.- FORGER LES INSTRUMENTS DU
DEVELOPPEMENT 495 A) QUELQUES PRINCIPES SAINS A METTRE EN OEUVRE 496 *
MOINS DE CENTRES DE DECISION MAIS DES INTERVENANTS PLUS EFFICACES : 496
* METTRE UN TERME A LA DILUTION DES RESPONSABILITES POUR UNE VISION
GLOBALE DES INTERETS DE LA CORSE 496 * DES ELUS QUI DOIVENT SE
REMOBILISER POUR SE REAPPROPRIER LEURS PREROGATIVES LEGITIMES 497 B) DES
LOGIQUES D ACTION A RENVERSER 499 * D UNE ACTION AU COUP PAR COUP A UNE
STRATEGIE DE DEVELOPPEMENT 499 * D UNE LOGIQUE DE SAUPOUDRAGE A UNE
LOGIQUE DE CIBLAGE, D UNE LOGIQUE D ASSISTANCE A UNE LOGIQUE D APPUI 500
C) POUR UN EFFORT DE PLANIFICATION COURAGEUX 501 D) LE NECESSAIRE
SAUVETAGE CONDITIONNE DE LA CADEC 502 E) POUR L ACCOMPAGNEMENT DU
DEVELOPPEMENT : SORTIR DU PROBLEME DE L INDIVISION 505 3.- CIBLER LES
AIDES EN DIRECTION DES SECTEURS PORTEURS DE L ECONOMIE 507 A) REEXAMINER
LE STATUT FISCAL 507 * L EVALUATION SANS TABOU DU STATUT FISCAL
DEROGATOIRE EST INDISPENSABLE 508 * L APPLICATION DE LA ZONE FRANCHE
DOIT FAIRE L OBJET D UNE GRANDE RIGUEUR 510 B) LE TOURISME : UN BIEN
NECESSAIRE 512 * NI REMEDE MIRACLE POUR LE DEVELOPPEMENT, NI MENACE POUR
L IDENTITE CORSE 512 * DES ATOUTS A EXPLOITER 513 * DEFINIR UNE
VERITABLE STRATEGIE POUR UN MODELE TOURISTIQUE ADAPTE A L ILE 514 C) DES
FILIERES DE PRODUCTION AGRICOLE A RENFORCER ET A RENOVER 519 * LES BONS
RESULTATS DE LA FILIERE VITICOLE ET DES PERSPECTIVES DE
COMMERCIALISATION ASSEZ FAVORABLES 520 * DES FILIERES FRUITS ET LEGUMES
PROMETTEUSES MAIS LARGEMENT CONCURRENCEES PAR LES PAYS GROS PRODUCTEURS
521 * DES POTENTIALITES A DEVELOPPER EN MATIERE DE PRODUCTIONS ANIMALES
523 4.-LA DEPENSE PUBLIQUE AU SERVICE DU DEVELOPPEMENT : L EXEMPLE DES
NSPORTS . 525 A) LA GESTION DE LA CONTINUITE TERRITORIALE DOIT ETRE
AMELIOREE POUR PREPARER LES ECHEANCES COMMUNAUTAIRES 526 * LE
REDRESSEMENT DE LA SNCM DOIT ETRE POURSUIVI 526 * LES ECHEANCES
EUROPEENNES DOIVENT ETRE SOIGNEUSEMENT PREPAREES 527 B) UNE REFLEXION
MULTIMODALE DOIT ETRE ENCOURAGEE 530 5.- POUR UN REEXAMEN SANS TABOUS DE
LA POLITIQUE CULTURELLE ET DE NSEIGNEMENT 532 A) POUR UN SYSTEME
EDUCATIF PERFORMANT 532 * UNE GESTION ADMINISTRATIVE EN VOIE
D AMELIORATION 532 * UNE ACADEMIE RURALE », DE PETITE TAILLE, MAIS
CORRECTEMENT DOTEE EN PERSONNEL ADMINISTRATIF ET ENSEIGNANT 533 * UN
COUT ELEVE, MAIS DES RESULTATS SCOLAIRES PEU SATISFAISANTS EN MOYENNE .
534 * LA CONTINUITE INCERTAINE DU SERVICE PUBLIC DE L ENSEIGNEMENT 536 *
TROIS PNORILES 537 -11 - B) L ENSEIGNEMENT EN LANGUE CORSE : UNE
EXPERIENCE SANS EQUIVALENT EN FRANCE 544 * DEMYTHIFIER ET DYNAMISER 545
* LES MESURES DEJA PRISES : UN EFFORT CONSEQUENT DE LA PART DE
L EDUCATION NATIONALE 546 * UN PARADOXE : UNE LANGUE DE MOINS EN MOINS
PARLEE AU QUOTIDIEN ET DE PLUS EN PLUS SOUTENUE DANS LE SYSTEME EDUCATIF
550 * UNE PISTE A EXPLORER : DEVELOPPER L ENSEIGNEMENT DE LA LANGUE
CORSE EN PRIORITE DANS LES CLASSES PRIMAIRES 550 C) LES ENJEUX DE LA
POLITIQUE CULTURELLE EN CORSE 55 1 * UN DEBAT IDEOLOGIQUE A DEPOLITISER
551 * DES COMPETENCES CULTURELLES PARTAGEES ENTRE LA REGION ET L ETAT
553 C- DEMOCRATISER ET RATIONALISER LES INSTITUTIONS 557 1.- POUR UNE
DEMOCRATIE TRANSPARENTE ET RIGOUREUSE 558 A) LES RESULTATS DE LA REFONTE
DECIDEE EN 1991 SEMBLENT EFFACES 558 B) L ADMINISTRATION APPARAIT EN
EFFET DESARMEE 561 C) DES MODIFICATIONS LEGISLATIVES S AVERENT
NECESSAIRES 562 2- DES AMELIORATIONS A APPORTER A COURT TERME :
COHERENCE, COHESION ET RESPONSABILITE 564 A) DES DEBATS RECURRENTS SUR
LES INSTITUTIONS 564 * LE POINT DE VUE DE QUELQUES ELUS DE L ILE : POUR
UN TOILETTAGE », UNE PAUSE INSTITUTIONNELLE OU UNE REFONTE DU SYSTEME
7 . 564 * LES APPRECIATIONS DE PLUSIEURS MINISTRES DE L INTERIEUR 566 *
LA POSITION DE LA COMMISSION D ENQUETE : PAS DE PREALABLE INSTITUTIONNEL
568 B) LES DEFAUTS ORIGINELS ET LES DYSFONCTIONNEMENTS DU SYSTEME ACTUEL
569 * UNE COLLECTIVITE TERRITORIALE QUI N ASSUME QU IMPARFAITEMENT SES
RESPONSABILITES 569 * LA COEXISTENCE DE DEUX LEGITIMITES CONCURRENTES AU
SEIN DES CONSEILS D ADMINISTRATION DES OFFICES * ; 569 * LE RISQUE DE
DEMEMBREMENT DE LA COLLECTIVITE TERRITORIALE 570 * LES CHEVAUCHEMENTS DE
COMPETENCES LIES A LA SUR-ADMINISTRATION 571 C) LES PROPOSITIONS DE LA
COMMISSION D ENQUETE 572 * LES ELUS DOIVENT SE REAPPROPRIER LES
PROCESSUS DE PRISE DE DECISION AU SEIN DES OFFICES 572 * AU MINIMUM, LA
COLLECTIVITE TERRITORIALE DE CORSE DOIT DAVANTAGE CONTROLER SES OFFICES
572 * POUR LA REMISE A PLAT DU SYSTEME DES AGENCES ET OFFICES 574 *
CONFIER A LA COLLECTIVITE TERRITORIALE DE CORSE LES ATTRIBUTIONS DE
CERTAINS OFFICES 574 * RECENTRER LES MISSIONS DE L ADEC 575 * INCITER
L OEHC A ADOPTER UNE VERITABLE POLITIQUE DE RECOUVREMENT DE SES CREANCES
577 * RENFORCER LA PLACE DE L AGENCE DU TOURISME 578 3.- DES REFORMES A
PLUS LONG TERME : UNE ORGANISATION PLUS UNITAIRE DE LA CORSE 580 A) VERS
LA SUPPRESSION DE LA BI-DEPARTEMENTALISATION 580 B) L INTERCOMMUNALITE
DOIT ETRE FORTEMENT ENCOURAGEE 581 CONCLUSION 584 * LA CORSE SUR LA
ROUTE DIFFICILE DE L ETAT DE DROIT * UNE DOUBLE RESPONSABILITE POUR
L AVENIR * QUATRE APPELS SOLENNELS ANNEXES 589 EXPLICATIONS DE VOTE 613
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