Sébastien Mercier: sa vie, son oeuvre, son temps
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1. Verfasser: | |
---|---|
Format: | Buch |
Sprache: | French |
Veröffentlicht: |
Hildesheim
Olms
1982
|
Ausgabe: | Nachdr. d. Ausg. Paris 1903 |
Schlagworte: | |
Online-Zugang: | Inhaltsverzeichnis |
Beschreibung: | IX, 810 S. Ill. |
ISBN: | 3487072629 |
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Page«.
Avant-propos................... v
CHAPITRE I
Origines et premières années de Mercier. — In-
fluences subies. — Premiers signes de vocation
et premières œuvres. — Mercier et Rousseau.
I. Naissance de Sébastien Mercier. — Ses parents. — La maison
du quai de l École. — Tendresse de Sébastien pour son frère
Charles-André. — Les années d enfance. — M. Cupis, maître à
danser. — La pension Toquet. — Le collège. — Mercier, grand
dévoreur de livres. — Au parterre de la Comédie-Française. —
Le café Procope. — Discassions passionnées. — Hérétique en
lilteralure................... 2
II. Visite à Crébillon le tragique. — Mercier et l abbé Prévost. —
Le parc de Chantilly. — Amour de la nature. — Début dans
les lettres. — La fureur dés héroïdes. — Professeur à Bor-
deaux. — Nouveaux vers. — Le Bonheur des gens de lettres.
— L esprit de sa vocation s y-révèle. — Haute idée qu il con-
çoit de l état d écrivain............... 12
III. Influence profonde de J.-J. Rousseau.— Transports d émo-
tion où la lecture de la Nouvelle-Héloïse jette Mercier. — II
écrit une lettre finale qui en complète le dénouement à son
gré. — Mercier se met à la littérature anglaise. — La Boucle
de cheveux enlevée. — Mercier quitte l enseignement. — Vain
projet de voyage en Russie. — Tout aux lettres : tendances
contraires entre lesquelles son esprit se partage. — Le discours
sur la Lecture.................. 22
IV. L Histoire d Izerben, poète arabe. — Talent satirique de Mer-
cier. — Parallèle significatif de Voltaire et de Rousseau. —
L ivresse de la sensibilité. — La théorie de l attendrissement.
Passion de travailler au bonheur de l espèce humaine. ... 30
V. Les éloges académiques. — Mercier se met sur les rangs. —
Le discours sur les Malheurs de la Guerre. — La bonté origi-
nelle de la créature humaine............. 40
VI. L Homme sauvage. — Les Songes philosophiques. — Naïf essai
de métaphysique optimiste. — Traits heureux d imagination
poétique. — Le Ruisseau philosophique......... **
798 TABLE ANALYTIQUE DES- MATIÈRES
Pages.
VII. Les Contes moraux. — Vice de cet ouvrage. — Opuscules
divers. — La Lettre de Dulis à son ami. — Tout le dessein de
son œuvre future s esquisse déjà dans les premiers écrits de
Mercier. — Le caractère de l homme. — Ame simple, robuste
et croyante. — II aime la vie et en jouit franchement. — Amour
du travail, génie capricieux............. 59
VIII. Silhouettes de contemporains. — Les deux Rameau. —
L abbé Maury. — Amitié étroite entre Mercier et Crébillon
fils. — Diderot ; le chimiste Rouelle. — Profond souvenir que
Mercier a gardé de leur parole. — La chimie le remplit d en-
thousiasme. — Mercier et Thomas. — Mercier et Letourneur.
— Mercier et J.-J. Rousseau............ 68
CHAPITRE II
2440
1. Régénérer le monde conformément à la raison : ambition com-
mune à Mercier et à nombre de ses contemporains. — Ce qui
distingue la sienne. — Lyrisme qui lui est propre. — Indé-
pendance d esprit à l égard, non seulement des opinions du
commun, mais de celles aussi des philosophes. — Le senti-
ment chrétien a laissé en lui des traces profondes. — Préfé-
rence de plus en plus marquée pour la civilisation sur la vie
primitive. — Justesse de prévision singulière . „ . . . . 84
H. Publication de l An iHO, sévèrement défendu aussitôt. —Les
éditions augmentées de 1786 et de l an VII. —Propos d un vieil
Anglais. — Premier éveil d un vieillard de sept cents ans. —
Paris transformé, embelli, sain et sûr ......... 90
III. Une population toute respectueuse. — Réforme du costume.
— La vie domestique chez nos vertueux descendants. — Admi-
rable pratique de l hospitalité. — Mœurs frugales. — Gravité
des entretiens. — Contenance modeste des femmes. — Tant de
vertu coûte à la société future bien des grâces.....• 96
IV. Les mariages. — L éducation des enfants. — La communion
des deux infinis. — La métamorphose morale qu elle opère. —
Bizarrerie de ces conceptions — Éducation et instruction pa-
reillement uniformes et inflexibles. — EuseignemeDt tout voué
au moral et à l utile. — Les études qu on fera au collège des
Quatre-Nations. — La poésie à la portion congrue. — Le pré-
jugé de Vutile..................100
V. Ce que sont des hommes ainsi formés. — Consciences
fortes : fût-ce au prix de quelques faiblesses, ou leur voudrait
TABLE ANALYTIQUE DES MATIÈRES 799
Pages.
moins d ostentation. — Les médecins et la santé publique. —
Les lois et les tribunaux. — L agriculture en honneur, la vie
aux champs. — Bréviaires de morale privée. — L administra-
tion de la morale publique. — Office des censeurs.— Comment
on réprime les opinions coupables. — Auguste ministère des
gens de lettres. — Les hautes destinées de l Académie française. 107
VI. La religion elle culte. — Plus de pouvoir temporel du Pape,
plus de richesses ecclésiastiques. — Prêtres tolérants et ma-
riés. — Les couvents abolis. —Le préjugé contre la vie mo-
nastique. — Mercier semble faire comme une description anti-
ticipée de la Théophilanthropie. — Les destinées d outre-tombe
telles que Mercier les conçoit. — La migration interstellaire.
— Visions grandioses. — La mort et les funérailles. — Le
châtiment des athées. — Caractère particulier du déisme de
Mercier....................113
VII. La politique et le gouvernement. —Principes de justice
et d égalité. — Préférence donnée à la forme monarchique. —
Très prononcé contre la démocratie. — Les Français de 2Í40
vivront donc sous le régime d une monarchie limitée. — Plus
d arbitraire ni de privilèges. — Pouvoir représentatif. — Ad-
ministration paternelle. — Une audience royale. — L éducation
du prince héritier. — La perception des impôts. — Du com-
merce et du luxe : variation significative de Mercier sur ce
double sujet...................121
VIII. La législation sociale et la discipline privée. — Confusion
systématique de l une et de l autre. — L art moral. — Départ
rigoureux entre les bons et les mauvais livres. — Le fusillé
par persuasion..................129
IX. Les grandes conquêtes de la science. — Secrets retrouvés. —
La direction des ballons. — Pressentiment du télégraphe et du
phonographe. — La loi d évolution. — Rêveries scientifiques.
— La préexistence des germes. ...........133
X. Les destinées futures des États. — La paix universelle. —Pru-
dente réticence : les armées subsistent, moins nombreuses et
plus fortes. — Le Pape médiateur suprême. — La France et
l Angleterre alliées. — L affranchissement des noirs. —Le par-
tage de l Orient. — Confédérations allemande et italienne. —
Le Japon et la Chine ouverts à la civilisation. — Le sort de
l Afrique. — Monument expiatoire des blessures infligées à
l humanité...................137
Xi. Modération remarquable qui tempère chez Mercier l esprit
d utopie. —Personne ne s est moins soucié de faire table ra3e.
— Esprit de liberté, plus remarquable encore, qui le distingue
entre tous les constructeurs de sociétés idéales. — L idée de
progrès. — Ses transformations au cours du siècle suivant. —
800 TABLE ANALYTIQUE DES MATIÈRES
Pages.
Progrès et perfectibilité ne sont pas deux termes nécessaire-
ment synonymes. — Confusion que le xviu» siècle en a faite. 142
CHAPITRE til
Mercier dramaturge. — Sa poétique.
I. Le théâtre conçu par Mercier comme « l école des vertus et
des devoirs du citoyen ». — Son plan de réforme n a pour
objet que de l approprier à cet usage. — La philosophie du
xvni« siècle et le théâtre : celui-ci appelé fatalement à deve-
nir l organe de celle-là. — Évolution du goût public : le sé-
rieux gagne la comédie. — Les anciennes règles ébranlées :
adversaires et défenseurs prennent position.......151
II. Modération des premiers novateurs. — Avec Diderot, l héré-
sie se déclare et s enhardit. — Toute l imitation de la destinée
humaine ne tient pas dans le tragique et le comique. — Entre
les deux, le genre sérieux réclame sa place, la principale, car
il se donne pour le plus utile. — Réformes qui s ensuivent. —
Circonspection de Diderot : il s insurge contre le privilège des
anciens genres, il ne les proscrit pas. — Succès de ces idées.
— Préface £ Eugénie. — Apparition des premiers drameB. —
Le théâtre tend à devenir un lieu de prédication.....161
III. Enthousiasme de Mercier pour une rénovation qui flatte ses
idées les plus chères. 7- Mais il la veut plus hardie et plus
complète. — Du Théâtre ou nouvel Essai sur l art dramatique.
— Le Nouvel Examen de la Tragédie française. — Le théâtre
a-t-il en effet pour vocation de moraliser les hommes? —
— D autres l ont contesté. — Mercier le pose en axiome. —
Pourquoi cette vocation n a pas été remplie. — Le mal vient
de ce qu on s est mis à l école des Anciens. — Tout le système
dramatique qu on leur doit est à remplacer ....... 110
IV. La tragédie. — Nationale chez les Grecs, partant instructive
et utile. — Parasite chez nous, oiseuse, en outre surchargée
d artifices que les Anciens n ont point connus. — Uniformité,
monotonie, invraisemblance. — Unités de lieu et de temps :
contrainte absurde. — Autre tour de force obligatoire : écrire
en vers. — Mercier a se3 raisons de ne pas s y plier volon-
tiers. — Après la forme, le fond, dans la tragédie, appelle de
pires censures. — Altération de la vérité historique. — Esprit
d adulation envers les grands. — Réserves flatteuses en faveur
de Corneille; mais on l entend et le goûte peu. — A la vérité,
sous le couvert de l antique, il glisse des maximes hardies qui
TABLE ANALYTIQUE DES MATIÈRES SOI
Pages.
prêtent au jeu des allusions malignes. — Pauvreté d un tel
enseignement civique. — L amour et sa rhétorique. — Néces-
sité de secouer cette discipline malfaisante et de peindre sur
le vif. — Points justes et côtés faibles de cette critique. . . 177
V. La comédie. — Fausseté des personnages comiques : la nature
ne fait que des caractères mixtes. — Influence de Molière. —
Protestation juste en faveur de la vérité ; condamnation exces-
sive portée contre tout l ancien art comique. — La pire vanité
de cet art aux yeux de Mercier : il vise à faire rire. — Dangers
de l entreprise : faire rire du vice, qui mérite pis ; faire rire
de la vertu, ce qui est un sacrilège. — Molière doit bien des
comptes à la pure morale. — Puérilité du rire qui descend aux
simples ridicules. — Indigence croissante de l art comique au
xvine siècle. — II propage, d ailleurs, le ridicule plutôt qu il ne
le corrige.— En conclusion, la comédie est à proscrire comme
la tragédie..............¦ . . . . 191
VI. Le drame. — Exclut les démarcations arbitraires, s attache
à reproduire la nature humaine au complet, sans la ramener
ni au biais tragique, ni au biais comique. — Exact afin d être
utile. — Les êtres humains dans la vérité de leur caractère, de
leur condition, de leur nationalité. — La stricte vraisemblance
dans l exposé des événements : pas de romanesque. — Aucune
restriction dans le choix des sujets. — Le drame aussi vaste
que la morale : l éloge de toutes les vertus, la dénonciation
de tous les abus sont de son ressort. — Pareillement, tout ce
qui peut instruire le public, et ainsi les matières d adminis-
tration et Ie3 leçons de politique...........200
VII. Dès lors, le drame n est pas aussi facile que ses détracteurs
le prétendent. — Fortes études préparatoires qu il requiert.
— L objet final en sera de se mettre bien en état de parler
au peuple. — Le peuple est un bon juge. — Risible arrogance
des gens de lettres de profession : idées fausses et déplorables
conventions qu on leur doit. — L auteur dramatique s en gar-
dera. — Foi et zèle qui doivent l animer........206
VIII. Obstacle aux innovations : l autorité des devanciers illus-
tres. — Comment Mercier en use envers ceux-ci. — Attaques
véhémentes contre Racine et Boileau. —Antipathie denature
et nécessité de situation. - La passion d affranchir l art doit
faire passer à Mercier bien des excès de langage. — La tuéorie
du réformateur mise à l épreuve dans ses propres drames :
douloureuse déception...............213
SI
802 TABLE ANALYTIQUE BES MATIÈRES
CHAPITRE IV
Mercier dramaturge {suite). — Son Tlaéâtrô.
Pages.
I. Les œuvres dramatiques de Mercier.— Élimination préalable :
les pièces qu il n a pa3 composées selon l esprit de son système.
— Les drames proprement dits. — Caractères qu il s efforce d y
imprimer : démonstration d une vérité morale ; exactitude à
décrire pour cet objet les personnages et les circonstances de
la vie réelle...................222
II. Coup d essai de Mercier : Jenneval. — L action. — Les carac-
tères. — Le style.................232
III. La Brouette du Vinaigrier. — Le Faux Ami. — Lucerval. —
Léontine. — L Habitant de la Guadeloupe.— Le Campagnard ou
le Riche désabusé. — Comment la pratique ruine la théorie. —
Souci exclusif d édifier. — Indifférence à la vérité des carac-
tères, au choix des sujets et à l emploi des moyens. — Dans
quelle indigence d invention ce théâtre finit par tomber. . . 240
IV. Rencontre heureuse : le Juge. — La réforme est servie cette
fois par l exemple. — Germes d avenir.........258
V. Autre procédé de prédication dramatique. — Lavis des grands
hommes représentée sur la scène. — La Maison de Socrate :
artifices puérils, non dénués toutefois de quelque agrément.
— Montesquieu à Marseille, Molière : néant de l intérêt et de
l illusion....................263
VI. Ce théâtre si anémique périt, par ailleurs, de bouffissure et de
pléthore. — Abus du romanesque : le dénouement du Juge,
le Déserteur. — Comment le même défaut gâte un ouvrage, à
d autres égards, assez remarquable. — L Indigent. . ... 268
VII. Premières armes de l amour romantique : Zoé, Natalie . . 278
VIII. L enseignement civique au théâtre. — Olinde et Sophronie.
—N a aucun titre à passer pour une innovation : ce n est qu une
mauvaise tragédie en prose. — Childéric : l intention est à la
fois généreuse et opportune,mais la fable,nulle et l exécution,
lourde....................*. 285
IX. Jean Hennuyer.— Exposition émouvante.—Faiblesse du der-
nier acte. — Malgré la beauté des premières scènes, ce sujet
est-il proprement dramatique? — Toutefois la naissance du
drame historique se signale ici par d assez belles promesses.
— La Destruction de la Ligue. — Portrait de Philippe II.—La
mort de Louis XI. — Traïestissement systématique des per-
sonnages. — La leçon que l auteur propose est loin d y ga-
gner.....................298
TABLE ANALYTIQUE DES MATIÈRES 803
Pages.
X. Combien le sentiment de l art est étranger à Mercier. — Son
mépris des arts purement imitatifs. — Etranges libertés que,
malgré son admiration, il prend avec Shakespeare.— tes Tom-
beaux de Vérone. — Le Vieillard et ses trois filles. — Imitation
plus fidèle de Timon d Athènes. . . . •.......-322
XI. Conclusion. — Pourquoi les drames, malgré les intuitions
heureuses dont ils témoignent, ont contrevenu à la réforme
qui les engendra. — Celle-ci n en saurait porter la peine. —
Mercier était dans la voie de l avenir, toute l évolution con-
sécutive de notre théâtre en fait foi. — Injustement méconnu,
il a été injustement oublié.............330
CHAPITRE V
Mercier- et la fresse. — Mercier et la. Comédie-
Française. — Querelles de plume et procès. —
Doctrines littéraires de Mercier.
I. Mercier et la presse. — Indulgence qu on lui témoigne d abord.
— Le Nouvel Essai sur l art dramatique : vives attaques contre
les journalistes. — Revirement de ceux-ci. — Répliques mo-
dérées : le Journal Encyclopédique, le Journal de Neuchâtcl.
— Répliques violentes : La Harpe, Fréron. — Réplique dédai-
gneuse : Palissot.................344
II. Mercier et la Comédie-Française. — Les comédiens et les
mœurs du temps. — Privilèges de la Comédie : abus que Mer-
cier dénonce. — Le Nouvel Essai juge les comédiens aussi
sévèrement que les journalistes...........358
III. La Comédie-Française rompt avec Mercier. — Requête de
Mercier au Parlement. — Le règlement de 1757. — Abus d in-
terprétation : exactions au préjudice des auteurs; la chute
dans les règles. — La réception des pièces : procédure en usage.
— Mercier demande la réforme de tout ce régime. — Inégalité
de situation, à l avantage des acteurs, au détriment des au-
teurs. — On lui retire ses entrées, on le repousse à main ar-
mée. — Mercier et le lieutenant de police. — Arrêt du Conseil
portant suppression du mémoire de Mercier. — Requête de
Mercier contre les gentilshommes de la Chambre___Assigna-
tion des Comédiens au Châtelet. — Le Conseil intervient en-
core contre Mercier................366
IV. Beaumarchais. — Les États généraux de l art dramatique. —
Règlement de 1781 : succès illusoire, encourageant toutefois.
— La Comédie tient bon dans sa rancune contre Mercier. —
Démarche amiable de celui-ci. — Hautaine fin de non-recevoir. 379
806 TABLE ANALYTIQUE DES MATIÈRES
Pages.
VIII. La vie de société : renseignements inestimables que le Ta-
bleau nous fournit. — Malgré le légitime renom qu elle a laissé,
elle a ses imperfections, les unes plus récentes, les autres plus
anciennes. — Banalité croissante dans les relations. — Esprits
et propos médiocres. — Portraits peu flattés : fats du temps.
— Quelques types de Parisiennes élégantes. — Le langage en
vogue : excessif dans les termes, timide quant aux idées. —
L ironie, âme de nos discours. — Pas d opinions courageuses. —
Trop d esprit, trop de facilité : on justifie tout et le vice même.
— Perplexités de Mercier.............. 545
IX. Certes cette société a ses plaies. — Les femmes et le ma-
riage : noblesse et gens de finance; le mauvais exemple gagne
la bourgeoisie. — L adultère. — Les séparations. — Vie con-
jugale de pure façade. — Le célibat en faveur......556
X. Justes éloges qu il faut, en revanche, accorder à cette société.
— La civilité a cessé d être le partage d une élite. — Elle est
presque une vertu. — Adoucissement qu elle apporte aux
mœurs. — lieux de choix où elle brille dans sa fleur. — Elle
tout est de bon une vertu. — Perfection de l hospitalité. — Pra-
tique incomparable de l amitié. — L amour à l état tempéré :
que s il y fallait voir un Irait propre à ce siècle, ce serait donc
plutôt le cas de l en louer. — Sur la fameuse immoralité tant
reprochée au xvm« siècle. — Sur les classes plus modestes de
la société....................561
XI. Richesse et misère. — La puissance de l argent. — La fureuf
de jouir : agiotage, usure, placements à fonds perdus. — Les
petits et les pauvres : dureté de leur sort, difficulté de vivre.
— Pour réprimer les cruels excès de l inégalité, Mercier ré-
clame une tribune publique aux harangues, des censeurs des
mœurs, des lois somptuaires, même une limitation légale de la
propriété. — Les remèdes empiriques ne lui font pas peur non
plus; il prend la défense du jeu, de la loterie. — Rôle provi-
dentiel des prodigues...............574
XII. La bienfaisance et ses merveilles. — La Société Philanthro-
pique. — La charité chez les femmes. — L art de quêter. —
Fondations généreuses. — La sollicitude de l administration
n est pas non plus en défaut. — Moyens de défense contre l in-
cendie. — Secours aux blessés. — Progrès de la salubrité, de
l hygiène publiques. — Un précurseur de Mercier : Raoul Spi-
famë. — Heureux signes d acheminement vers l an 2440. . . 584
XIII. Idées et institutions religieuses. — Esprit de déférence et
de sympathie qui anime Mercier. — Satires bénignes. — Alors
même qu il réclame, le philosophe garde un ton mesuré. —
Progrès manifestes de la tolérance. — Elle touche de bien près
à l insouciance. — C est plus que Mercier ne demande. — In-
dices plus rassurants qui attestent la persistance da sentiment
TABLE ANALYTIQUE DES MATIÈRES 807
Pages.
religieux. — Le respect d ailleurs, ne fait pas tort, chez Mer-
cier, à l indépendance des appréciations.........592
XIV. Vues politiques de Mercier. — La personne royale trop inac-
cessible. — Privilèges de la noblesse. — Abus de la fiscalité.
— Imperfections du système judiciaire. — Rigoureuse régle-
mentation du commerce. — Rigueur barbare des lois pénales.
— La police : raffinements de l espionnage. — La surveillance
des nouvelles. — Le secret des lettres. — Pouvoirs exorbitants
du lieutenant de police. — Régime de terreur qui pèse sur les
prostituées et les mendiants. — Une visite au donjon de Vin-
cennes.....................603
XV. Contre-partie. — Les mauvais principes ne produisent pas
la totalité de leurs effets. — On a beau jeu, d ailleurs, à re-
prendre les excès de l autorité : sa tâche est-elle donc si facile?
— Il y a des moyens sommaires qui ne laissent pas d être
bienfaisants : ainsi, en mainte occasion, des lettres de cachet
elles-mêmes. — Bon vouloir manifeste de ceux qui gouvernent.
— Améliorations notables et multipliées. — L auteur achève
son livre sur des paroles de foi et d espoir.......613
XVI. Jugement sur le Tableau. — Confiance excessive, nul soup-
çon des catastrophes imminentes. — Cet aveuglement est un
trait commun à toute la génération que Mercier a voulu peindre.
— Heureux concours de qualités qui lui a permis de composer
cet ouvrage. — D autre part, la confusion, la précipitation et
les défaillances de style qu elle entraine étaient presque insé-
parables d un labeur si exigeant. — Prédécesseurs de Mercier.
— Us n ont, les uns ou les autres, accompli que des parcelles
diverses de la tâche remplie par lui en totalité. — Accueil que
le Tableau obtint de l étranger. — Un illustrateur du Tableau :
Dunker. — Le Tableau plagié. — Articles du Courrier de l Eu-
rope et du Journal de Neuchdtel. — Silence des journaux de
Paris. — Mauvais vouloir des critiques parisiens. — II ne
saurait nous dissimuler l importance réelle que l opinion pu-
blique reconnut à l œuvre de Mercier. — Toute une littérature
en procède. — Caractère unique du Tableau, tant au regard
des imitateurs qu à celui des prédécesseurs.......620
XVII. Projet d un Tableau de la France, d un Tableau de Ver-
sailles. — Surtout, en regard de la société française, Mercier
est possédé du désir d en peindre une autre qui lui serve de
modèle, la société anglaise, objet de toutes ses admirations.
— 11 aspire ardemment à l alliance dea deux nations. — Cette
opinion, peu populaire, a d ailleurs sea partisans. — Commu-
nications croissantes entre les deux peuples. — Le Courrier
de VEurope. — Les Annales de Lînguet. — Echange de modes
et d usages. — Le chevalier Rutlidge..........642
XVIII. Mercier a exécuté son dessein : un parallèle de Paris et
808 TABLE ANALYTIQUE DES MATIÈRES
Pages.
de Londres inédit subsiste parmi ses papiers. — Date da
voyage. — Dessein de l ouvrage ; limites où l auteur entend le
contenir. — Lacunes regrettables...........647
XIX. La traversée : rencontre plaisante. — Opiniâtres mésintelli-
gences des deux peuples. — Raisons politiques et religieuses
de leurs mutuelles préventions. — L aspect de Londres comparé
à celui du Paris. — Témoignages moins favorables d autres ob-
servateurs : le peuple à Londres a davantage l apparence de la
pauvreté ; plus d initiative et de goût chez le travailleur fran-
çais que chez l anglais. — Humeur insoumise du peuple de
Londres : Mercier en tire l indice d une volonté plus consciente
d elle-même. — L office religieux à Paris et à Londres.— L em-
ploi du dimanche. — L appareil de la royauté. — Le pouvoir
ministériel. — Les formes judiciaires.........651
XX. L autorité paternelle — La liberté de tester. — L éducation
des enfants. — Le choix des professions. — La liberté d opi-
nion. — L esprit de décision, d entreprise, l habitude de déli-
bérer en commun, les clubs. — Philanthropie raisonnée et agis-
sante : hôpitaux, maisons de fous, prisons. — Commodité, sa-
lubrité des logis. — Moyens de transport. — Comment on fait
emplette à Londres. — Les théâtres. — Les plaisirs populai-
res. — Le Vauxhall. — Guinguettes anglaises. — La nourri-
ture .....................660
XXI. Jugement sur le Parallèle. — Partialité systématique de
Mercier. — Rançon de certaines supériorités attribuées au
peuple de Londres— La vie commune plus douce à Paris qu à
Londres : témoignage de Rutlidge. — Ce que les mœurs an-
glaises retiennent de brutalité. — L action de la femme ne s y
est pas exercée comme chez nous pour les adoucir. — Le sou-
venir que Moore emporte des Françaises ne tourne pas à l a-
vantage des femmes de son pays. — L inégalité des rangs a,
en France, des compensations qui frappent les étrangers : telle,
la place que tiennent les gens de lettres dans nos sociétés. —
Enthousiasme des Français pour la couronne, la cour; plus de
sang-froid, selon Mercier, convient à la juste fierté des An-
glais, quise sententdes hommes libres; mais le travers reproché
aux Français n est, après tout, que l expression, et très fervente,
de leur sentiment national. — La réalité des choses plus ac-
commodante que les principes. — Tout le long du Tableau,
Mercier en témoignait. — Dans la description du peuple qu il
propose pour modèle à ses compatriotes, revit quelque peu du
dogmatisme de l An SMAO..............674
TABLE ANALYTIQUE DES MATIÈRES 809
CHAPITRE VU
Mercier et la Comédie-Italienne : représentation,
des drames. — Mercier et ses amis : Grimod de la
Reynière, Restif de la Bretonne, la QoKitesse
Fanny de Beauharnais. — Mercier a la veille de la
Äe-srolution : ses sentiments politiques.
Pages.
I. La vogue du Tableau. — Les affaires du dramaturge s en
trouvent mieux. — Les théâtres du boulevard. — La Brouette
du Vinaigrier et Jenneval sur la scène des Associés. — Réno-
vation de la Comédie-Italienne. — Elle met Mercier à contri-
bution.— La Demande imprévue — Jenneval. —M 8 Verteuil.
— Le Déserteur. —¦ L acteur Granger. — L Indigent. — La
Brouette du Vinaigrier. — L Habitant de la Guadeloupe. —
Natalie....................684
II. La Maison de Molière. — Retour en grâce auprès de la Co-
médie-Française. — Cette pièce en demeure l unique témoi-
gnage. — Olympe de Gouge». — Ses démêlés avec la Comé-
die. — Mercier pourrait bieu lui avoir été de quelque assistance. 704
III. Mercier croit en renom et en crédit. — Le Théâtre moral de
Cubières. — La Dramaturgie de Lessing. — Ovation dont Mer-
cier se voit l objet au théâtre de Rouen. — Même en faveur,
il continue de passer pour un excentrique : les sociétés où il
fréquente y contribuent. — Grimod de la Reynière. — Les
Déjeuners philosophiques. — Amitié de Grimod pour Mercier
et pour Restif..................714
IV. Restif de la Bretonne. — Esquisse de ce caractère mal connu.
— Libertinage sentimental. — Complaisance à s étaler soi-même
dans ses écrits. — Opinion flatteuse que les contemporains
prennent de lui : il est le peintre de la vertu; ses écrits ser-
vent les mœurs. — Engouement des gens du monde : il ob-
tient quelque chose de la même faveur dont jouissait Rous-
seau .....................724
V. Affinités de nature, de talent, de doctrine qui attachent Mer-
cier à Restif. — Comment ces deux hommes se connurent. —
Commerce étroit qui s établit entre eux. — Enthousiasme de
réformateur qui leur est commun. — Mercier se donne à
plein cœur...................732
VI. Grimod de la Reynière en captivité. — Correspondance avec
Restif. — Zèle inconsidéré de Mercier. — Son séjour à Do-
mèvre.__L amitié se relâche entre Grimod et Mercier, mais
elle ne s éteint pas. — Voyage en Allemagne. — Le théâtre de
Mannheim. — Mort de Letourneur: chagrin que Mercier en
ressentit....................142
810 TABLE ANALYTIQUE DES MATIÈRES
VII. Le salon de la comtesse Fanny de Beauharnais. — Femme
de lettres par prédestination. — Le Cercle de Poinsinet.—Amie
tendre de Dorai. — Mercier se lie avec la comtesse, lui amène
Restif. — Grand accueil que l on fait à ce dernier. — Réunions
brillantes et variées. — Mercier dans l ivresse de la conversa-
tion. — Voix de Polichinelle. — La politique envahit tous les
entretiens...................747
VIII. Mercier historien. — Les Portraits des Rois de France. —
Insuffisance de la critique historique. — Esprit remarquable de
modération et d équité. — Beauté de certaines formules évoca-
toires .....................759
IX. Vues politiques de Mercier. — Notions claires sur les gou-
vernements. — Le progrès de l humanité. — Ne point trop se
hâter, ne pas tout condamner du passé. — A tout prendre, on
s achemine vers le mieux. — Mercier n oppose point la nature
3t la société. — Vivre en société est la vocation nécessaire de
l homme. — Conséquence acceptée comme nécessaire : l iné-
galité. — Elle a ses compensations et ses correctifs. — Pas de
régression : marcher toujours plus avant dans le sens de la
civilisation. — Devoir étroit qui attache l individu à l œuvre
commune. — Formation première des sociétés : contrat spon-
tané qui en est l origine. — Du principe de Rousseau Mercier
lire des conséquences bien différentes. — La politique, versa-
tile par nature. — C est à l application qu on juge les théories.
— Les hommes dupes des mots. — Aucun régime n est stric-
tement conforme à sa définition. — Aucun n étant nécessaire-
ment préférable en soi, Mercier, en ce qui le concerne, penche
pour la monarchie tempérée. — L autorité, quelle qu elle soit,
ne vaut néanmoins que par son accord avec la nation. — Les
changements nécessaires. — Y procéder sans timidité, mais avec
ménagement. — Accord nécessaire à cet eÉfet entre la partie qui
gouverne et la partie qui enseigne. — Tout finit par s arranger
en somme. — Même les moyens violents ne font pas si grand
mal. — Optimisme démesuré de Mercier. — Le Philosophe du
Port au bled. — Un accès d inquiétude passagère. — La con-
vocation des États Généraux. — Longtemps l illusion tiendra
bon contre les pires démentis............ 765
Appendice. — Lettres de Mercier à Thomas........790
Table analytique des matières.............797
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