L' investissement en capital humain: Le rôle de l'enseignement secondaire du 2e cycle et de l'enseignement supérieur

Le présent document porte sur divers aspects de l'équité et de l'efficience qui sont liés à l'acquisition de qualifications par les jeunes et les adultes relativement âgés. L'analyse donne à penser que ce type d'investissement dans le capital humain procure aux perso...

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Bibliographische Detailangaben
1. Verfasser: Blöndal, Sveinbjörn (VerfasserIn)
Weitere Verfasser: Field, Simon (MitwirkendeR), Girouard, Nathalie (MitwirkendeR)
Format: Elektronisch Artikel
Sprache:French
Veröffentlicht: Paris OECD Publishing 2003
Schlagworte:
Online-Zugang:Volltext
Zusammenfassung:Le présent document porte sur divers aspects de l'équité et de l'efficience qui sont liés à l'acquisition de qualifications par les jeunes et les adultes relativement âgés. L'analyse donne à penser que ce type d'investissement dans le capital humain procure aux personnes d'importants avantages sur le marché du travail, notamment des gains, après impôt, plus élevés et de meilleures perspectives d'emploi, avantages qui compensent largement le coût des investissements, c'est-à-dire principalement, le manque à gagner et les frais d'études. Il ressort également de cette analyse que les avantages nets varient considérablement sous l'effet de facteurs liés à l'action des pouvoirs publics, tels que la durée de la scolarisation, les allocations d'études et le soutien apporté aux élèves et étudiants. Globalement, les estimations indiquées dans le rapport montrent que l'élève moyen serait fortement incité à poursuivre ses études au-delà de l'âge de l'obligation scolaire et elles mettent également en évidence les avantages que cet investissement dans l'éducation procure à la société dans son ensemble. Toutefois, les gains nets sont d'autant plus faibles que l'étudiant est âgé, ce qui tient surtout au fait que les avantages découlant de la formation s'étalent sur une plus courte durée. Enfin, il est signalé dans le document que les étudiants de l'enseignement supérieur appartiennent en général aux classes aisées et qu'ils profitent donc d'importantes subventions publiques alors que les jeunes issus de milieux défavorisés ont moins de chances de faire des études supérieures et, partant, de bénéficier des subventions publiques.
Beschreibung:1 Online-Ressource (67 p.)
DOI:10.1787/eco_studies-v2002-art3-fr

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