De la recherche de la vérité: 1 Livres I - III
Gespeichert in:
1. Verfasser: | |
---|---|
Format: | Buch |
Sprache: | French |
Veröffentlicht: |
Paris
Vrin
2006
|
Schriftenreihe: | Bibliothèque des textes philosophiques
|
Online-Zugang: | Inhaltsverzeichnis |
Beschreibung: | 512 S. |
Internformat
MARC
LEADER | 00000nam a2200000 cc4500 | ||
---|---|---|---|
001 | BV022282678 | ||
003 | DE-604 | ||
005 | 20070410 | ||
007 | t | ||
008 | 070223s2006 |||| 00||| fre d | ||
020 | |z 2711618665 |9 2-7116-1866-5 | ||
035 | |a (OCoLC)635222799 | ||
035 | |a (DE-599)BVBBV022282678 | ||
040 | |a DE-604 |b ger |e rakwb | ||
041 | 0 | |a fre | |
049 | |a DE-29 |a DE-355 | ||
084 | |a 5,1 |2 ssgn | ||
100 | 1 | |a Malebranche, Nicolas |d 1638-1715 |e Verfasser |0 (DE-588)118576682 |4 aut | |
245 | 1 | 0 | |a De la recherche de la vérité |n 1 |p Livres I - III |c Nicolas Malebranche. Pres., ed. et notes par Jean-Christophe Bardout |
264 | 1 | |a Paris |b Vrin |c 2006 | |
300 | |a 512 S. | ||
336 | |b txt |2 rdacontent | ||
337 | |b n |2 rdamedia | ||
338 | |b nc |2 rdacarrier | ||
490 | 0 | |a Bibliothèque des textes philosophiques | |
700 | 1 | |a Bardout, Jean-Christophe |e Sonstige |0 (DE-588)1033937460 |4 oth | |
773 | 0 | 8 | |w (DE-604)BV022282674 |g 1 |
856 | 4 | 2 | |m V:DE-604 |q application/pdf |u http://bvbr.bib-bvb.de:8991/F?func=service&doc_library=BVB01&local_base=BVB01&doc_number=015492960&sequence=000001&line_number=0001&func_code=DB_RECORDS&service_type=MEDIA |3 Inhaltsverzeichnis |
999 | |a oai:aleph.bib-bvb.de:BVB01-015492960 |
Datensatz im Suchindex
_version_ | 1804136292101914624 |
---|---|
adam_text | TABLE DES MATIERES A VERTISSEMENT 7 ABREVIATIONS 11 PRESENTATION, PAR
JEAN-CHRISTOPHE BARDOUT 13 LES SOURCES,LE TEXTE ET SES EDITIONS 13 LE
PROBLEME DE LA RECHERCHE 19 LA PRIMAUTE DE L ESPRIT 20 LES CAUSES DE
L ERREUR 22 L ESPRIT ET SES FACULTES 24 LES SENS ET L IMAGINATION 24 L
ENTENDEMENT 39 INCLINATIONS ET PASSIONS 41 LA
METHODE..................................................................................
52 DN TITRE PROGRAMME 54 L UNIVERSEL ET LE PARTICULIER 57 LES BINOMES
CONCEPTUELS 57 LA VISION ENDIEU ET SES LIMITES 59 VISION ENDIEU ET
SCIENCE DE L HOMME 72 ENTRE AGECLASSIQUEET LUMIERES 78 VOLONTE ET
PLAISIR 78 LA DOUBLE FIGURE DE LA CAUSE 80 QU EST-CEQUELAPHILOSOPHIE? 88
CONTRE LES PERSONNES DE PIETE
».................................................. 89 LA PHILOSOPHIE ET
LA CRITIQUE DES PHILOSOPHES 92 504 TASSLE DES MATIERES NICOLAS
MALESSRANCHE DE LA RECHERCHE DE LA VERITE PREFACE . 103 A
VERTISSEMENTTOUCHANT CETTE DERNIEREEDITION 121 LIVRE PREMIER DES SENS
CHAPITRE
PREMIER...................................................................................
123 1.DE LA NATURE ETDES PROPRIETES DE I ENTENDEMENT 124 H. DE LA NATURE
ETDES PROPRIETES DE LA VOLONTE, ETDE LA LIBERTE 128 CHAPITRE
11............................................................................
................... 131 1.DESJUGEMENTSETDES RAISONNEMENTS 131 H. QUE
LESJUGEMENTS ET LES RAISONNEMENTS DEPENDENT DE LA VOLONTE 132 M.DE
I USAGE QUE NOUS DEVONS FAIRE DE NOTRE LIBERTE POUR NE NOUS TROMPER
JAMAIS 136 IV. REGLES GENERALES POUR EVITER I ERREUR 137 V. REFLEXIONS
NECESSAIRES SURCES DEUX REGLES 137 CHAPITRE
III...........................................................................
................... 139 1.REPONSES A QUELQUES OBJECTIONS 139 H.
REMARQUES SUR CE QU ON A DIT DE LA NECESSITE DE I EVIDENCE 143 CHAPITRE
IV 145 I.DES CAUSES OCCASIONNELLES DE NOS ERREURS, ET QU IL YEN A CINQ
PRINCIPALES 145 11. DESSEIN GENERAL DE TOUTCETOUVRAGE 147 M. DESSEIN
PARTICULIER DUPREMIER LIVRE 148 CHAPITRE V: DES SENS 148 1.DEUX MANIERES
D EXPLIQUER LA CORRUPTION DES SENS PAR LEPECHE 148 H. CE NE SONT PAS
NOS SENS QUI NOUS JETTENT DANS I ERREUR, MAIS LE MAUVAIS USAGE DE NOTRE
LIBERTE 155 M. REGLE POUREVITERL ERREURDANS L USAGE DE SES
SENS....................... 156 CHAPITRE VI....... 156 I. DESERREURSDE
LA VUEA I EGARDDE I ETENDUEENSOI 157 H. SUITE DES ERREURS DE NOS YEUX
SUR DES SUJETS QUI NE LEUR SANT POINT SOUMIS .. 165 M. DE I ERREUR DE
NOS YEUX TOUCHANT I ETENDUE DES CORPS PAR RAPPORT LES UNS AUX AUTRES 167
A VERTISSEMENT 169 TABLE DES MATIERES 505 CHAPITRE VII 169 I. DES
ERREURS DE NOTRE VUE TOUCHANT LESFIGURES 169 II. QUE NOUS N AVONS
AUCUNE CONNAISSANCE DES PLUS PETITES 170 III. QUE LA CONNAISSANCE QUE
NOUS AVONS DES PLUS GRANDES, N EST POINT EXACTE 170 IV. EXPLICATION DE
CERTAINS JUGEMENTS NATUREIS QUI NOUS EMPECHENT DE NOUS TROMPER. JE LES
APPELLE NATUREIS, PARCE QUE C EST I AUTEUR DE LA NATURE QUI NOUS LES
DONNE 171 V. QUE CES MEMES JUGEMENTS NOUS TROMPENT DANS QUELQUES
RENCONTRES PARTICULIERES I72 CHAPITRE
VIII...........................................................................................
175 I. QUE NOS YEUX NE NOUS APPRENNENT POINT LA GRANDEUR OU LA VITESSE
DU MOUVEMENT CONSIDERE EN LUI-MEME 176 II. QUE LA DUREE, QUI EST
NECESSAIRE POUR CONNAFTRE LA GRANDEUR DU MOUVEMENT, NE NOUS ESTPAS
CONNUE 177 III. EXEMPLE DE I ERREUR DE NOS YEUX TOUCHANT LE MOUVEMENT
OU LE REPOS DES CORPS 178 CHAPITREIX: CONTINUATION DU MEME
SUJET............................................... 179 I. PREUVE
GENERALE DES ERREURS DE NOTRE VUE TOUCHANT LE MOUVEMENT.. 179 11. QU IL
EST NECESSAIRE DE SAVOIR LA DISTANCE DES OB JETS POUR CONNAFTRE
LAGRANDEURDE LEURMOUVEMENT 180 III. EXAMEN DES MOYENS POUR RECONNAFTRE
LA DISTANCE DES OBJETS 181 CHAPITREX: DESERREURS TOUCHANT LESQUALITES
SENSIBLES......................... 191 I. DISTINCTIONDE L ILME ETDU
CORPS 192 11. EXPLICATION DES ORGANES DES SENS 194 III.L ILME EST UNIE
IMMEDIATEMENT II LA PARTIE DU CERVEAU, OU LES FILETS DES ORGANES DES
SENS ABOUTISSENT......................................... 195 IV.
EXEMPLEDECE QUE LESOBJETSFONT SURLECORPS 195 V. CE QUE LES OBJETS
PRODUISENT DANS L ILME ET LES RAISONS POUR LESQUELLES L ILME N APERROIT
POINT LES MOUVEMENTS DES FIBRES DU CORPS............. 196 VI. QUATRE
CHOSES QUE I ON CONFOND DANS CHAQUE SENSATION 199 CHAPITRE XI 200 I. DE
I ERREUR OU I ON TOMBE TOUCHANT I ACTION DES OBJETS CONTRE LES FIBRES DE
NOS SENS 200 11. CAUSEDE CETTE ERREUR 200 111. OBJECTION 201 506 TABLE
DES MATIERES CHAPITRE XII 202 I. ERREURS TOUCHANT LES MOUVEMENTS OU LES
EBRANLEMENTS DES FIBRES DE NOS SENS 202 H. QUE NOUS LES CONFONDONS AVEC
LES SENSATIONS DE NOTRE AME, ET QUE QUELQUEFOIS NOUS NE LES APERCEVONS
POINT 202 III. EXPERIENCE QUI LE PROUVE 203 IV. EXPLICATION DE TROIS
SORTES DE SENSATIONS DE L AME 204 V. ERREURS QUI ACCOMPAGNENT LES
SENSATIONS...................................... 205 CHAPITRE XIII 209
I. DEFINITION DES SENSATIONS 209 H. ON CONNAFT MIEUX SES PROPRES
SENSATIONS QU ON NE CROIT 209 III. OBJECTION ET REPONSE 210 IV.D OU
VIENT QU ON S IMAGINE NE PAS CONNAFTRE SES PROPRES SENSATIONS 211 V. QU
ON SE TROMPE DE CROIRE QUE TOUS LES HOMMES ONT LES MEMES SENSATIONS DES
MEMES OBJETS 213 VI. OBJECTION ET REPONSE 216 CHAPITRE
XLV...........................................................................
................ 219 I. DES FAUX JUGEMENTS QUI ACCOMPAGNENT NOS
SENSATIONS, ET QUE NOUS CONFONDONS AVEC ELLES 219 H. RAISON DE
CESFAUXJUGEMENTS 220 IH. L ERREUR NE SE RENCONTRE PAS DANS NOS
SENSATIONS MAIS SEULEMENT DANS NOSJUGEMENTS 223 CHAPITRE XV: EXPLICATION
DES ERREURS PARTICULIERES DE LA VUE POUR SERVIRD EXEMPLE DES ERREURS
GENERALES DE NOS SENS............................ 224 CHAPITRE
XVI...........................................................................................
226 I. LES ERREURS DE NOS SENS NOUS SERVENT DE PRINCIPES GENERAUX POUR
TIRER DEFAUSSES CONCLUSIONS, QUI SERVENT DE PRINCIPES A LEUR TOUR. 226
H.L ORIGINE DES DIFFERENCES QU ON ATTRIBUE AUX OBJETS; QUE CES
DIFFERENCES SONTDANS L AME 227 III. L ORIGINE DESFORMES SUBSTANTIELLES
228 IV.L ORIGINE DE TOUTES LES AUTRES ERREURS LES PLUS GENERALES DE LA
PHYSIQUEDE L ECOLE 229 CHAPITRE XVII........ 231 I. EXEMPLE TIRE DE LA
MORALE, QUE NOS SENS NE NOUS OFFRENT QUE DEFAUX BIENS 231 TABLE DES
MATIERES 507 11. QU IL N Y A QUE DIEU QUI SOIT NOTRE BIEN, ET QUE TOUS
LES OB JETS SENSIBLES NE PEUVENTNOUSFAIRE SENTIRDUPLAISIR 232 III.
L ORIGINE DES ERREURS DES EPICURIENS ETDES STOICIENS 233 CHAPITRE
XVIII.........................................................................................
234 I. QUE NOS SENS NOUS PORTENT A L ERREUR EN DES CHOSES MEME QUI NE
SONT POINT SENSIBLES 234 11. EXEMPLE TIRE DE LA CONVERSATION DES HOMMES
236 III. QU IL NEFAUT POINT S ARRETER AUX MANIERES SENSIBLES ET
AGREABLES. 237 CHAPITREXIX: DEUX AUTRES EXEMPLES 238 I. ERREURS TOUCHANT
LA NATURE DES CORPS............................................... 238
11. ERREURS TOUCHANT LEURS QUALITES ET LEURS PERFECTIONS 239 CHAPITRE
XX: CONCLUSIONDE CE PREMIER LIVRE 241 I. QUE NOS SENS NE NOUS SONT
DONNES QUE POUR LA CONSERVATION DE NOTRE
CORPS................................................... 241 11. QU
ILFAUT DOUTERDU RAPPORT QU ILS NOUSFONTDES CHOSES................. 242
III. QUECE N ESTPAS PEUQUEDE SAVOIRDOUTERCOMME ILFAUT 242 LIVRE SECOND
DE I IMAGINATION PREMIERE PARTIE CHAPITRE PREMIER
:.......................................................... 245 I.LDT!E
GENERALE DE
I IMAGINATION........................................................
246 11. DEUX FACULTES DANS I IMAGINATION, I UNE ACTIVE ET I AUTRE
PASSIVE.. 247 III. CAUSE GENERALE DES CHANGEMENTS QUI ARRIVENT A
I IMAGINATION DES HOMMES, ET LEFONDEMENTDECE SECOND LIVRE 248 CHAPITRE
II..........................................................................................
250 I. DES ESPRITS ANIMAUX, ET DES CHANGEMENTS AUXQUELS ILS SONT SUJETS
EN
GENERAL....................................................................................
250 11. QUE LE CHYLE VA AU CL1 UR ET QU IL CAUSE DU CHANGEMENT DANS LES
ESPRITS.......................................... 251 III. QUE LE VIN
ENFAITAUTANT.................................................................
252 CHAPITRE III: QUE I AIR QU ON RESPIRE, CAUSE AUSSI QUELQUE
CHANGEMENT DANS LES ESPRITS 253 CHAPITRE IV 256 I. DU CHANGEMENT DES
ESPRITS CAUSE PAR LES NERFS QUI VONT AU CL1 UR ET AU POUMON 256 508
TASSLE DES MATIERES H. DU CHANGEMENT DES ESPRITS CAUSE PAR LES NEIFS QUI
VONT AUFOIE, A LA RATE ETAUXAUTRES VISCERES 257 III. QUE CES CHANGEMENTS
ARRIVENT CONTRE NOTRE VOLONTE PAR L ORDRE D UNE PROVIDENCE 259 CHAPITRE
V................................. 262 1.DE L UNIONDE L AME ETDU CORPS
263 H. DE LA LIAISON MUTUELLE DES TRACES 269 IH. DE LA MEMOIRE 271 IV.
DES HABITUDES 272 CHAPITRE VI 275 1.QUE LESFIBRES DU CERVEAU NE SONT PAS
SUJETTES ADES CHANGEMENTS SI PROMPTS QUE LES ESPRITS 275 H. TROIS
CHANGEMENTS CONSIDERABLES QUI ARRIVENT DANS LES TROIS DIFFERENTS AGES
276 CHAPITRE VII 277 1.DE LA COMMUNICATION QUI EST ENTRE LE CERVEAU
D UNE MERE ET CELUI DE SON ENFANT 278 H. DE LA COMMUNICATION QUI EST
ENTRE NOTRE CERVEAU ET LES AUTRES PARTIES DE NOTRE CORPS, LAQUELLE NOUS
PORTE A I IMITATION ET A LA COMPASSION 279 III.EXPLICATION DE LA
GENERATION DES ENFANTS MONSTRUEUX ET DE LA PROPAGATION DE L ESPECE 282
IV. EXPLICATION DE QUELQUES DEREGLEMENTS D ESPRIT ET D INCLINATIONS DE
LA
VOLONTE.................................................................................
288 V. EXPLICATION DE LA CONCUPISCENCE, ET DU PECHE ORIGINEL 290 VI.
OBJECTIONS ET
REPONSES..................................................................
291 CHAPITRE VIII 297 I. CHANGEMENTS QUI ARRIVENT A L IMAGINATION D UN
ENFANT QUI SORT DU SEIN DE SA MERE PAR LA CONVERSATION QU IL A AVEC SA
NOURRICE, SA MERE, ETD AUTRES PERSONNES 297 H. AVIS POUR BIEN ELEVER LES
ENFANTS 301 SECONDEPARTIE CHAPITRE
PREMIER.......................................................................
...... 305 I. DE L IMAGINATION DESFEMMES 305 H. DE I IMAGINATION DES
HOMMES DANS LAPEIFECTION DE LEURAGE 307 III. DE I IMAGINATION DES
VIEILLARDS 310 TASSLE DES MATIERES 509 CHAPITRE II: QUE LES ESPRITS
ANIMAUX VONT D ORDINAIRE DANS LES TRACES DES IDIES QUI NOUS SONT LES
PLUS FAMILIERES, CE QUI FAIT QU ON NE JUGE POINT SAINEMENT DES CHOSES
311 CHAPITRE III.. 315 I. QUE LESPERSONNES D HUDE SONTLES PLUS SUJETTES
A L ERREUR 316 H. RAISONS POUR LESQUELLES ON AIME MIEUX SUIVRE L
AUTORITE QUE DE FAIRE USAGE DE SON
ESPRIT...............................................................
317 CHAPITREIV: DEUX MAUVAIS EFFETS DE LA LEETURE SUR I
IMAGINATION........... 320 CHAPITRE V: QUE LES PERSONNES D ETUDE
S ENTETENT ORDINAIREMENT DE QUELQUE AUTEUR, DE SORTE QUE LEUR BUT
PRINCIPAL EST DE SAVOIR CE QU IL A CRU, SANS SE SOUCIERDE CE QU ILFAUT
CROIRE 323 CHAPITRE VI: DE LAPREOCCUPATION DES COMMENTATEURS 329
CHAPITRE VII 337 I. DES INVENTEURS DE NOUVEAUX SYSTEMES 337 H.
ERREURCONSIDERABLE DES PERSONNES D HUDE 339 CHAPITRE VIII 342 I. DES
ESPRITS EFFEMINES 342 H. DES ESPRITS SUPERFICIEIS 344 III. DES PERSONNES
D
AUTORITE..............................................................
345 IV. DE CEUX QUIFONT DES EXPERIENCES 349 TROISIEME PARTIE DE LA
COMMUNICATION CONTAGIEUSE DES IDEESFORTES CHAPITRE
PREMIER.....................................................................
353 I. DE LA DISPOSITION QUE NOUS AVONS A IMITER LES AUTRES EN TOUTES
CHOSES, LAQUELLE EST L ORIGINE DE LA COMMUNICATION DES ERREURS QUI
DEPENDENTDE LAPUISSANCE DE I IMAGINATION 353 11. DEUX CAUSES PRINCIPALES
QUI AUGMENTENT CETTE DISPOSITION 355 III. CE QUE C EST QU
IMAGINATIONFORTE 355 IV. IL Y ENADEUX SORTES 356 V. DEUX DEFAUTS
CONSIDERABLES DE CEUX QUI ONT I IMAGINATION FORTE 357 VI. QUE CEUX QUI
ONT I IMAGINATIONFORTE PERSUADENTFACILEMENT 360 CHAPITREII: EXEMPLES
GENERAUXDE LAFORCE DE I IMAGINATION 362 CHAPITRE
III..............................................................................................
371 I. DE LAFORCE DE L IMAGINATIONDE CERTAINS AUTEURS 371 H. DE
TERTULLIEN 372 CHAPITRE IV: DE I IMAGINATION DE SENEQUE 374 CHAPITRE V:
DU LIVRE DE
MONTAIGNE......................................................... 387
510 TABLE DES MATIERES CHAPITRE
DERNIER...................................................................................
397 I. DES SORCIERS PAR IMAGINATION ETDES
LOUPS-GAROUS........................... 397 H. CONCLUSIONDES DEUX
PREMIERS LIVRES 403 LIVRE TROISIEME DE I ENTENDEMENT OU DE I ESPRIT PUR
PREMIERE PARTIE CHAPITRE
PREMIER.......................................................................
............ 405 LLA PENSEE SEULE EST ESSENTIELLE A L ESPRIT SENTIR ET
IMAGINER N EN SONT QUE DES MODIFICATIONS 406 H. NOUS NE CONNAISSONS PAS
TOUTES LES MODIFICATIONS DONT NOTRE AME EST CAPABLE 408 IH. NOS
SENSATIONS SONT DIFFERENTES DE NOTRE CONNAISSANCE ET DE NOTRE AMOUR, ET
ELLES N EN SONT POINT DES SUITES......................................
411 CHAPITRE
IR............................................................................
................... 413 L L ESPRIT, ETANTBORNE, NE PEUTCOMPRENDRECE QUI
TIENTDE I INFINI..... 413 H. LA LIMITATIONDE I ESPRITEST I ORIGINE DE
BEAUCOUPD ERREURS 414 III. ETPRINCIPALEMENTDES HERESIES 416 IV. ILFAUT
SOUMETTRE I ESPRIT A LAFOI 418 CHAPITRE
III...........................................................................
................... 419 LLES PHILOSOPHES SE DISSIPENT I ESPRIT, EN
S APPLIQUANT A DES SUJETS QUI RENFERMENT TRAP DE RAPPORTS, ET QUI
DEPENDENT DE TROP DE CHOSES SANS GARDERAUCUN ORDRE DANS LEURS ETUDES 419
H. EXEMPLE DU DEFAUT D ORDRE DANSARISTOTE 421 III. LES GEOMETRES SE
CONDUISENT BIEN DANS LA RECHERCHE DE LA VERITE.. 423 IV. LEUR METHODE
AUGMENTE LA CAPACITE DE I ESPRIT, EELLE D ARISTOTE LA DIMINUE 423
V.AUTRE DEFAUTDES PERSONNES D ETUDE 425 CHAPITRE IV 425 I. L ESPRIT NE
PEUT S APPLIQUER LONGTEMPS ADES OBJETS QUI N ONTPOINT DE RAPPORT A
LUI, OU QUI NE TIENNENT POINT QUELQUE CHOSE DE I
INFINI..........................................................................................
425 H. L INCONSTANCE DE LA VOLONTE EST LA CAUSE DU DEFAUT D APPLICATION
ETPAR CONSEQUENT DE I ERREUR 426 III. NOS SENSATIONS NOUS OCCUPENT
DAVANTAGE QUE LES IDIES PURES DE I ESPRIT 428 TABLE DES MA TIERES 511
IV. CE QUI EST LA SOURCE DE LA CORRUPTION DES
MA!URS............................ 429 V. ETDE L IGNORANCE DES
HOMMES........................................................ 431
SECONDEPARTIE DE LA NATURE DES IDEES CHAPITRE PREMIER. 435 I. CE QU ON
ENTEND PAR IDEES. QU ELLES EXISTENT VERITABLEMENT, ET QU ELLES SONT
NECESSAIRES POUR APERCEVOIR TOUS LES OBJETS MATERIELS 435 11. DIVISION
DE TOUTES LES MANIERES SELON LESQUELLES ON PEUT VOIR LES OBJETS DE
DEHORS 438 CHAPITRE II: QUE LES OBJETS MATERIEIS N ENVOIENT POINT D
ESPECES QUI LEUR RESSEMBLENT 439 CHAPITRE III: QUE L AME N A POINT LA
PUISSANCE DE PRODUIRE LES IDEES. CAUSE DE L ERREUROU I ON TOMBE SURCE
SUJET 442 CHAPITRE IV : QUE NOUS NE VOYONS POINT LES OBJETS PAR DES
IDEES CREEES AVEC NOUS. QUE DIEU NE LES PRODUIT POINT EN NOUS II CHAQUE
MOMENT QUE NOUS EN AVONS
BESOIN....................................................................
448 CHAPITRE V: QUE I ESPRIT NE VOIT NI I ESSENCE, NI I EXISTENCE DES
OBJETS EN CONSIDERANT SES PROPRES PERJECTIONS. QU I/ N Y A QUE DIEU QUI
LES VOIE EN CETTE MANIERE 450 CHAPITRE VI: QUE NOUS VOYONS TOUTES CHOSES
EN DIEU.............................. 453 CHAPITRE VII 463 I. QUATRE
MANIERES DE VOIR LES
CHOSES.................................................. 463 11. COMMENT
ON CONNA!T DIEU 464 III. COMMENTON CONNA!T LES CORPS 465 IV. COMMENT ON
CONNA!T SON AME 466 V. COMMENT ON CONNAIT L AME DES AUTRES
HOMMES.............................. 468 CHAPITRE VIII 470 I. LA
PRESENCE INTIME DE L IDEE VAGUE DE I ERRE EN GENERAL EST LA CAUSE DE
TOUTES LES ABSTRACTIONS DEREGLEES DE I ESPRIT, ET DE LA PLUPART DES
CHIMERES DE LA PHILOSOPHIE ORDINAIRE, QUI EMPECHENT BEAUCOUP DE
PHI/OSOPHES DE RECONNA!TRE LA SOLIDITE DES VRAIS PRINCIPES DEPHYSIQUE
470 II. DE L ESSENCE DE LA MATIERE 473 CHAPITRE IX 481 I. DEMIERE CAUSE
GENERALE DE NOS ERREURS 481 11. LES IDEES DES CHOSES NE SONT PAS II I
ESPRIT DES QU ON LE SOUHAITE.... 482 512 TABLE DES MA TIERES III. TOUT
ESPRITJINI EST SUJETA L ERREUR 482 IV. ON NE DOIT PAS JUGER QU IL N Y
AIT RIEN DE CREE QUE DES CORPS OU DES ESPRITS, NI QUE DIEU SOIT ESPRIT
COMME NOUS CONCEVONS LES ESPRITS......... 483 CHAPITRE X: EXEMPLES DE
QUELQUES ERREURS DE PHYSIQUE DANS LESQUELLES ON TOMBE, PARCE QU ON
SUPPOSE QUE DES ETRES QUI DIFFERENT DANS LEUR NATURE, LEURS QUALITES,
LEUR ETENDUE, LEUR DUREE, ET LEUR PROPORTION, SONT SEMBLABLES EN TOUTES
CES CHOSES 486 CHAPITRE XI: EXEMPLES DE QUELQUES ERREURS DE MORALE QUI
DEPENDENT DU MEME PRINCIPE . CONCLUSIONDES TROIS PREMIERS LIVRES 499
TABLE DES MA TIERES 503 IMPRIMERIE DE LA MANUTENTION A MAYENNE (FRANCE)
- OCTOBRE 2006 - N 265-06 DEPOT LEGAL: 4 TRIMESTRE 2006
|
adam_txt |
TABLE DES MATIERES A VERTISSEMENT 7 ABREVIATIONS 11 PRESENTATION, PAR
JEAN-CHRISTOPHE BARDOUT 13 LES SOURCES,LE TEXTE ET SES EDITIONS 13 LE
PROBLEME DE LA RECHERCHE 19 LA PRIMAUTE DE L'ESPRIT 20 LES CAUSES DE
L'ERREUR 22 L' ESPRIT ET SES FACULTES 24 LES SENS ET L'IMAGINATION 24 L'
ENTENDEMENT 39 INCLINATIONS ET PASSIONS 41 LA
METHODE.
52 DN TITRE PROGRAMME 54 L'UNIVERSEL ET LE PARTICULIER 57 LES BINOMES
CONCEPTUELS 57 LA VISION ENDIEU ET SES LIMITES 59 VISION ENDIEU ET
SCIENCE DE L'HOMME 72 ENTRE AGECLASSIQUEET LUMIERES 78 VOLONTE ET
PLAISIR 78 LA DOUBLE FIGURE DE LA CAUSE 80 QU'EST-CEQUELAPHILOSOPHIE? 88
CONTRE LES PERSONNES DE PIETE
». 89 LA PHILOSOPHIE ET
LA CRITIQUE DES PHILOSOPHES 92 504 TASSLE DES MATIERES NICOLAS
MALESSRANCHE DE LA RECHERCHE DE LA VERITE PREFACE . 103 A
VERTISSEMENTTOUCHANT CETTE DERNIEREEDITION 121 LIVRE PREMIER DES SENS
CHAPITRE
PREMIER.
123 1.DE LA NATURE ETDES PROPRIETES DE I'ENTENDEMENT 124 H. DE LA NATURE
ETDES PROPRIETES DE LA VOLONTE, ETDE LA LIBERTE 128 CHAPITRE
11.
. 131 1.DESJUGEMENTSETDES RAISONNEMENTS 131 H. QUE
LESJUGEMENTS ET LES RAISONNEMENTS DEPENDENT DE LA VOLONTE 132 M.DE
I'USAGE QUE NOUS DEVONS FAIRE DE NOTRE LIBERTE POUR NE NOUS TROMPER
JAMAIS 136 IV. REGLES GENERALES POUR EVITER I'ERREUR 137 V. REFLEXIONS
NECESSAIRES SURCES DEUX REGLES 137 CHAPITRE
III.
. 139 1.REPONSES A QUELQUES OBJECTIONS 139 H.
REMARQUES SUR CE QU' ON A DIT DE LA NECESSITE DE I'EVIDENCE 143 CHAPITRE
IV 145 I.DES CAUSES OCCASIONNELLES DE NOS ERREURS, ET QU'IL YEN A CINQ
PRINCIPALES 145 11. DESSEIN GENERAL DE TOUTCETOUVRAGE 147 M. DESSEIN
PARTICULIER DUPREMIER LIVRE 148 CHAPITRE V: DES SENS 148 1.DEUX MANIERES
D' EXPLIQUER LA CORRUPTION DES SENS PAR LEPECHE 148 H. CE NE SONT PAS
NOS SENS QUI NOUS JETTENT DANS I'ERREUR, MAIS LE MAUVAIS USAGE DE NOTRE
LIBERTE 155 M. REGLE POUREVITERL' ERREURDANS L'USAGE DE SES
SENS. 156 CHAPITRE VI. 156 I. DESERREURSDE
LA VUEA I'EGARDDE I'ETENDUEENSOI 157 H. SUITE DES ERREURS DE NOS YEUX
SUR DES SUJETS QUI NE LEUR SANT POINT SOUMIS . 165 M. DE I'ERREUR DE
NOS YEUX TOUCHANT I'ETENDUE DES CORPS PAR RAPPORT LES UNS AUX AUTRES 167
A VERTISSEMENT 169 TABLE DES MATIERES 505 CHAPITRE VII 169 I. DES
ERREURS DE NOTRE VUE TOUCHANT LESFIGURES 169 II. QUE NOUS N' AVONS
AUCUNE CONNAISSANCE DES PLUS PETITES 170 III. QUE LA CONNAISSANCE QUE
NOUS AVONS DES PLUS GRANDES, N 'EST POINT EXACTE 170 IV. EXPLICATION DE
CERTAINS JUGEMENTS NATUREIS QUI NOUS EMPECHENT DE NOUS TROMPER. JE LES
APPELLE NATUREIS, PARCE QUE C' EST I'AUTEUR DE LA NATURE QUI NOUS LES
DONNE 171 V. QUE CES MEMES JUGEMENTS NOUS TROMPENT DANS QUELQUES
RENCONTRES PARTICULIERES I72 CHAPITRE
VIII.
175 I. QUE NOS YEUX NE NOUS APPRENNENT POINT LA GRANDEUR OU LA VITESSE
DU MOUVEMENT CONSIDERE EN LUI-MEME 176 II. QUE LA DUREE, QUI EST
NECESSAIRE POUR CONNAFTRE LA GRANDEUR DU MOUVEMENT, NE NOUS ESTPAS
CONNUE 177 III. EXEMPLE DE I' ERREUR DE NOS YEUX TOUCHANT LE MOUVEMENT
OU LE REPOS DES CORPS 178 CHAPITREIX: CONTINUATION DU MEME
SUJET. 179 I. PREUVE
GENERALE DES ERREURS DE NOTRE VUE TOUCHANT LE MOUVEMENT. 179 11. QU 'IL
EST NECESSAIRE DE SAVOIR LA DISTANCE DES OB JETS POUR CONNAFTRE
LAGRANDEURDE LEURMOUVEMENT 180 III. EXAMEN DES MOYENS POUR RECONNAFTRE
LA DISTANCE DES OBJETS 181 CHAPITREX: DESERREURS TOUCHANT LESQUALITES
SENSIBLES. 191 I. DISTINCTIONDE L'ILME ETDU
CORPS 192 11. EXPLICATION DES ORGANES DES SENS 194 III.L'ILME EST UNIE
IMMEDIATEMENT II LA PARTIE DU CERVEAU, OU LES FILETS DES ORGANES DES
SENS ABOUTISSENT. 195 IV.
EXEMPLEDECE QUE LESOBJETSFONT SURLECORPS 195 V. CE QUE LES OBJETS
PRODUISENT DANS L'ILME ET LES RAISONS POUR LESQUELLES L'ILME N 'APERROIT
POINT LES MOUVEMENTS DES FIBRES DU CORPS. 196 VI. QUATRE
CHOSES QUE I'ON CONFOND DANS CHAQUE SENSATION 199 CHAPITRE XI 200 I. DE
I'ERREUR OU I'ON TOMBE TOUCHANT I'ACTION DES OBJETS CONTRE LES FIBRES DE
NOS SENS 200 11. CAUSEDE CETTE ERREUR 200 111. OBJECTION 201 506 TABLE
DES MATIERES CHAPITRE XII 202 I. ERREURS TOUCHANT LES MOUVEMENTS OU LES
EBRANLEMENTS DES FIBRES DE NOS SENS 202 H. QUE NOUS LES CONFONDONS AVEC
LES SENSATIONS DE NOTRE AME, ET QUE QUELQUEFOIS NOUS NE LES APERCEVONS
POINT 202 III. EXPERIENCE QUI LE PROUVE 203 IV. EXPLICATION DE TROIS
SORTES DE SENSATIONS DE L'AME 204 V. ERREURS QUI ACCOMPAGNENT LES
SENSATIONS. 205 CHAPITRE XIII 209
I. DEFINITION DES SENSATIONS 209 H. ON CONNAFT MIEUX SES PROPRES
SENSATIONS QU' ON NE CROIT 209 III. OBJECTION ET REPONSE 210 IV.D'OU
VIENT QU'ON S'IMAGINE NE PAS CONNAFTRE SES PROPRES SENSATIONS 211 V. QU'
ON SE TROMPE DE CROIRE QUE TOUS LES HOMMES ONT LES MEMES SENSATIONS DES
MEMES OBJETS 213 VI. OBJECTION ET REPONSE 216 CHAPITRE
XLV.
. 219 I. DES FAUX JUGEMENTS QUI ACCOMPAGNENT NOS
SENSATIONS, ET QUE NOUS CONFONDONS AVEC ELLES 219 H. RAISON DE
CESFAUXJUGEMENTS 220 IH. L' ERREUR NE SE RENCONTRE PAS DANS NOS
SENSATIONS MAIS SEULEMENT DANS NOSJUGEMENTS 223 CHAPITRE XV: EXPLICATION
DES ERREURS PARTICULIERES DE LA VUE POUR SERVIRD'EXEMPLE DES ERREURS
GENERALES DE NOS SENS. 224 CHAPITRE
XVI.
226 I. LES ERREURS DE NOS SENS NOUS SERVENT DE PRINCIPES GENERAUX POUR
TIRER DEFAUSSES CONCLUSIONS, QUI SERVENT DE PRINCIPES A LEUR TOUR. 226
H.L'ORIGINE DES DIFFERENCES QU'ON ATTRIBUE AUX OBJETS; QUE CES
DIFFERENCES SONTDANS L'AME 227 III. L'ORIGINE DESFORMES SUBSTANTIELLES
228 IV.L'ORIGINE DE TOUTES LES AUTRES ERREURS LES PLUS GENERALES DE LA
PHYSIQUEDE L'ECOLE 229 CHAPITRE XVII. 231 I. EXEMPLE TIRE DE LA
MORALE, QUE NOS SENS NE NOUS OFFRENT QUE DEFAUX BIENS 231 TABLE DES
MATIERES 507 11. QU 'IL N 'Y A QUE DIEU QUI SOIT NOTRE BIEN, ET QUE TOUS
LES OB JETS SENSIBLES NE PEUVENTNOUSFAIRE SENTIRDUPLAISIR 232 III.
L'ORIGINE DES ERREURS DES EPICURIENS ETDES STOICIENS 233 CHAPITRE
XVIII.
234 I. QUE NOS SENS NOUS PORTENT A L' ERREUR EN DES CHOSES MEME QUI NE
SONT POINT SENSIBLES 234 11. EXEMPLE TIRE DE LA CONVERSATION DES HOMMES
236 III. QU 'IL NEFAUT POINT S' ARRETER AUX MANIERES SENSIBLES ET
AGREABLES. 237 CHAPITREXIX: DEUX AUTRES EXEMPLES 238 I. ERREURS TOUCHANT
LA NATURE DES CORPS. 238
11. ERREURS TOUCHANT LEURS QUALITES ET LEURS PERFECTIONS 239 CHAPITRE
XX: CONCLUSIONDE CE PREMIER LIVRE 241 I. QUE NOS SENS NE NOUS SONT
DONNES QUE POUR LA CONSERVATION DE NOTRE
CORPS. 241 11. QU
'ILFAUT DOUTERDU RAPPORT QU'ILS NOUSFONTDES CHOSES. 242
III. QUECE N'ESTPAS PEUQUEDE SAVOIRDOUTERCOMME ILFAUT 242 LIVRE SECOND
DE I' IMAGINATION PREMIERE PARTIE CHAPITRE PREMIER
:. 245 I.LDT!E
GENERALE DE
I'IMAGINATION.
246 11. DEUX FACULTES DANS I' IMAGINATION, I'UNE ACTIVE ET I'AUTRE
PASSIVE. 247 III. CAUSE GENERALE DES CHANGEMENTS QUI ARRIVENT A
I'IMAGINATION DES HOMMES, ET LEFONDEMENTDECE SECOND LIVRE 248 CHAPITRE
II.
250 I. DES ESPRITS ANIMAUX, ET DES CHANGEMENTS AUXQUELS ILS SONT SUJETS
EN
GENERAL.
250 11. QUE LE CHYLE VA AU CL1'UR ET QU'IL CAUSE DU CHANGEMENT DANS LES
ESPRITS. 251 III. QUE LE VIN
ENFAITAUTANT.
252 CHAPITRE III: QUE I'AIR QU' ON RESPIRE, CAUSE AUSSI QUELQUE
CHANGEMENT DANS LES ESPRITS 253 CHAPITRE IV 256 I. DU CHANGEMENT DES
ESPRITS CAUSE PAR LES NERFS QUI VONT AU CL1'UR ET AU POUMON 256 508
TASSLE DES MATIERES H. DU CHANGEMENT DES ESPRITS CAUSE PAR LES NEIFS QUI
VONT AUFOIE, A LA RATE ETAUXAUTRES VISCERES 257 III. QUE CES CHANGEMENTS
ARRIVENT CONTRE NOTRE VOLONTE PAR L' ORDRE D'UNE PROVIDENCE 259 CHAPITRE
V. 262 1.DE L'UNIONDE L'AME ETDU CORPS
263 H. DE LA LIAISON MUTUELLE DES TRACES 269 IH. DE LA MEMOIRE 271 IV.
DES HABITUDES 272 CHAPITRE VI 275 1.QUE LESFIBRES DU CERVEAU NE SONT PAS
SUJETTES ADES CHANGEMENTS SI PROMPTS QUE LES ESPRITS 275 H. TROIS
CHANGEMENTS CONSIDERABLES QUI ARRIVENT DANS LES TROIS DIFFERENTS AGES
276 CHAPITRE VII 277 1.DE LA COMMUNICATION QUI EST ENTRE LE CERVEAU
D'UNE MERE ET CELUI DE SON ENFANT 278 H. DE LA COMMUNICATION QUI EST
ENTRE NOTRE CERVEAU ET LES AUTRES PARTIES DE NOTRE CORPS, LAQUELLE NOUS
PORTE A I 'IMITATION ET A LA COMPASSION 279 III.EXPLICATION DE LA
GENERATION DES ENFANTS MONSTRUEUX ET DE LA PROPAGATION DE L' ESPECE 282
IV. EXPLICATION DE QUELQUES DEREGLEMENTS D' ESPRIT ET D'INCLINATIONS DE
LA
VOLONTE.
288 V. EXPLICATION DE LA CONCUPISCENCE, ET DU PECHE ORIGINEL 290 VI.
OBJECTIONS ET
REPONSES.
291 CHAPITRE VIII 297 I. CHANGEMENTS QUI ARRIVENT A L'IMAGINATION D'UN
ENFANT QUI SORT DU SEIN DE SA MERE PAR LA CONVERSATION QU 'IL A AVEC SA
NOURRICE, SA MERE, ETD'AUTRES PERSONNES 297 H. AVIS POUR BIEN ELEVER LES
ENFANTS 301 SECONDEPARTIE CHAPITRE
PREMIER.
. 305 I. DE L'IMAGINATION DESFEMMES 305 H. DE I'IMAGINATION DES
HOMMES DANS LAPEIFECTION DE LEURAGE 307 III. DE I 'IMAGINATION DES
VIEILLARDS 310 TASSLE DES MATIERES 509 CHAPITRE II: QUE LES ESPRITS
ANIMAUX VONT D'ORDINAIRE DANS LES TRACES DES IDIES QUI NOUS SONT LES
PLUS FAMILIERES, CE QUI FAIT QU' ON NE JUGE POINT SAINEMENT DES CHOSES
311 CHAPITRE III. 315 I. QUE LESPERSONNES D'HUDE SONTLES PLUS SUJETTES
A L'ERREUR 316 H. RAISONS POUR LESQUELLES ON AIME MIEUX SUIVRE L'
AUTORITE QUE DE FAIRE USAGE DE SON
ESPRIT.
317 CHAPITREIV: DEUX MAUVAIS EFFETS DE LA LEETURE SUR I
'IMAGINATION. 320 CHAPITRE V: QUE LES PERSONNES D'ETUDE
S'ENTETENT ORDINAIREMENT DE QUELQUE AUTEUR, DE SORTE QUE LEUR BUT
PRINCIPAL EST DE SAVOIR CE QU 'IL A CRU, SANS SE SOUCIERDE CE QU 'ILFAUT
CROIRE 323 CHAPITRE VI: DE LAPREOCCUPATION DES COMMENTATEURS 329
CHAPITRE VII 337 I. DES INVENTEURS DE NOUVEAUX SYSTEMES 337 H.
ERREURCONSIDERABLE DES PERSONNES D' HUDE 339 CHAPITRE VIII 342 I. DES
ESPRITS EFFEMINES 342 H. DES ESPRITS SUPERFICIEIS 344 III. DES PERSONNES
D
'AUTORITE.
345 IV. DE CEUX QUIFONT DES EXPERIENCES 349 TROISIEME PARTIE DE LA
COMMUNICATION CONTAGIEUSE DES IDEESFORTES CHAPITRE
PREMIER.
353 I. DE LA DISPOSITION QUE NOUS AVONS A IMITER LES AUTRES EN TOUTES
CHOSES, LAQUELLE EST L'ORIGINE DE LA COMMUNICATION DES ERREURS QUI
DEPENDENTDE LAPUISSANCE DE I'IMAGINATION 353 11. DEUX CAUSES PRINCIPALES
QUI AUGMENTENT CETTE DISPOSITION 355 III. CE QUE C 'EST QU
'IMAGINATIONFORTE 355 IV. IL Y ENADEUX SORTES 356 V. DEUX DEFAUTS
CONSIDERABLES DE CEUX QUI ONT I' IMAGINATION FORTE 357 VI. QUE CEUX QUI
ONT I'IMAGINATIONFORTE PERSUADENTFACILEMENT 360 CHAPITREII: EXEMPLES
GENERAUXDE LAFORCE DE I'IMAGINATION 362 CHAPITRE
III.
371 I. DE LAFORCE DE L'IMAGINATIONDE CERTAINS AUTEURS 371 H. DE
TERTULLIEN 372 CHAPITRE IV: DE I 'IMAGINATION DE SENEQUE 374 CHAPITRE V:
DU LIVRE DE
MONTAIGNE. 387
510 TABLE DES MATIERES CHAPITRE
DERNIER.
397 I. DES SORCIERS PAR IMAGINATION ETDES
LOUPS-GAROUS. 397 H. CONCLUSIONDES DEUX
PREMIERS LIVRES 403 LIVRE TROISIEME DE I'ENTENDEMENT OU DE I'ESPRIT PUR
PREMIERE PARTIE CHAPITRE
PREMIER.
. 405 LLA PENSEE SEULE EST ESSENTIELLE A L'ESPRIT SENTIR ET
IMAGINER N'EN SONT QUE DES MODIFICATIONS 406 H. NOUS NE CONNAISSONS PAS
TOUTES LES MODIFICATIONS DONT NOTRE AME EST CAPABLE 408 IH. NOS
SENSATIONS SONT DIFFERENTES DE NOTRE CONNAISSANCE ET DE NOTRE AMOUR, ET
ELLES N' EN SONT POINT DES SUITES.
411 CHAPITRE
IR.
. 413 L L'ESPRIT, ETANTBORNE, NE PEUTCOMPRENDRECE QUI
TIENTDE I'INFINI. 413 H. LA LIMITATIONDE I'ESPRITEST I'ORIGINE DE
BEAUCOUPD' ERREURS 414 III. ETPRINCIPALEMENTDES HERESIES 416 IV. ILFAUT
SOUMETTRE I 'ESPRIT A LAFOI 418 CHAPITRE
III.
. 419 LLES PHILOSOPHES SE DISSIPENT I'ESPRIT, EN
S'APPLIQUANT A DES SUJETS QUI RENFERMENT TRAP DE RAPPORTS, ET QUI
DEPENDENT DE TROP DE CHOSES SANS GARDERAUCUN ORDRE DANS LEURS ETUDES 419
H. EXEMPLE DU DEFAUT D'ORDRE DANSARISTOTE 421 III. LES GEOMETRES SE
CONDUISENT BIEN DANS LA RECHERCHE DE LA VERITE. 423 IV. LEUR METHODE
AUGMENTE LA CAPACITE DE I'ESPRIT, EELLE D' ARISTOTE LA DIMINUE 423
V.AUTRE DEFAUTDES PERSONNES D' ETUDE 425 CHAPITRE IV 425 I. L' ESPRIT NE
PEUT S' APPLIQUER LONGTEMPS ADES OBJETS QUI N' ONTPOINT DE RAPPORT A
LUI, OU QUI NE TIENNENT POINT QUELQUE CHOSE DE I'
INFINI.
425 H. L'INCONSTANCE DE LA VOLONTE EST LA CAUSE DU DEFAUT D'APPLICATION
ETPAR CONSEQUENT DE I'ERREUR 426 III. NOS SENSATIONS NOUS OCCUPENT
DAVANTAGE QUE LES IDIES PURES DE I'ESPRIT 428 TABLE DES MA TIERES 511
IV. CE QUI EST LA SOURCE DE LA CORRUPTION DES
MA!URS. 429 V. ETDE L'IGNORANCE DES
HOMMES. 431
SECONDEPARTIE DE LA NATURE DES IDEES CHAPITRE PREMIER. 435 I. CE QU' ON
ENTEND PAR IDEES. QU' ELLES EXISTENT VERITABLEMENT, ET QU' ELLES SONT
NECESSAIRES POUR APERCEVOIR TOUS LES OBJETS MATERIELS 435 11. DIVISION
DE TOUTES LES MANIERES SELON LESQUELLES ON PEUT VOIR LES OBJETS DE
DEHORS 438 CHAPITRE II: QUE LES OBJETS MATERIEIS N' ENVOIENT POINT D'
ESPECES QUI LEUR RESSEMBLENT 439 CHAPITRE III: QUE L'AME N'A POINT LA
PUISSANCE DE PRODUIRE LES IDEES. CAUSE DE L'ERREUROU I'ON TOMBE SURCE
SUJET 442 CHAPITRE IV : QUE NOUS NE VOYONS POINT LES OBJETS PAR DES
IDEES CREEES AVEC NOUS. QUE DIEU NE LES PRODUIT POINT EN NOUS II CHAQUE
MOMENT QUE NOUS EN AVONS
BESOIN.
448 CHAPITRE V: QUE I'ESPRIT NE VOIT NI I'ESSENCE, NI I'EXISTENCE DES
OBJETS EN CONSIDERANT SES PROPRES PERJECTIONS. QU'I/ N'Y A QUE DIEU QUI
LES VOIE EN CETTE MANIERE 450 CHAPITRE VI: QUE NOUS VOYONS TOUTES CHOSES
EN DIEU. 453 CHAPITRE VII 463 I. QUATRE
MANIERES DE VOIR LES
CHOSES. 463 11. COMMENT
ON CONNA!T DIEU 464 III. COMMENTON CONNA!T LES CORPS 465 IV. COMMENT ON
CONNA!T SON AME 466 V. COMMENT ON CONNAIT L'AME DES AUTRES
HOMMES. 468 CHAPITRE VIII 470 I. LA
PRESENCE INTIME DE L' IDEE VAGUE DE I'ERRE EN GENERAL EST LA CAUSE DE
TOUTES LES ABSTRACTIONS DEREGLEES DE I'ESPRIT, ET DE LA PLUPART DES
CHIMERES DE LA PHILOSOPHIE ORDINAIRE, QUI EMPECHENT BEAUCOUP DE
PHI/OSOPHES DE RECONNA!TRE LA SOLIDITE DES VRAIS PRINCIPES DEPHYSIQUE
470 II. DE L'ESSENCE DE LA MATIERE 473 CHAPITRE IX 481 I. DEMIERE CAUSE
GENERALE DE NOS ERREURS 481 11. LES IDEES DES CHOSES NE SONT PAS II I
'ESPRIT DES QU' ON LE SOUHAITE. 482 512 TABLE DES MA TIERES III. TOUT
ESPRITJINI EST SUJETA L'ERREUR 482 IV. ON NE DOIT PAS JUGER QU 'IL N 'Y
AIT RIEN DE CREE QUE DES CORPS OU DES ESPRITS, NI QUE DIEU SOIT ESPRIT
COMME NOUS CONCEVONS LES ESPRITS. 483 CHAPITRE X: EXEMPLES DE
QUELQUES ERREURS DE PHYSIQUE DANS LESQUELLES ON TOMBE, PARCE QU 'ON
SUPPOSE QUE DES ETRES QUI DIFFERENT DANS LEUR NATURE, LEURS QUALITES,
LEUR ETENDUE, LEUR DUREE, ET LEUR PROPORTION, SONT SEMBLABLES EN TOUTES
CES CHOSES 486 CHAPITRE XI: EXEMPLES DE QUELQUES ERREURS DE MORALE QUI
DEPENDENT DU MEME PRINCIPE . CONCLUSIONDES TROIS PREMIERS LIVRES 499
TABLE DES MA TIERES 503 IMPRIMERIE DE LA MANUTENTION A MAYENNE (FRANCE)
- OCTOBRE 2006 - N 265-06 DEPOT LEGAL: 4' TRIMESTRE 2006 |
any_adam_object | 1 |
any_adam_object_boolean | 1 |
author | Malebranche, Nicolas 1638-1715 |
author_GND | (DE-588)118576682 (DE-588)1033937460 |
author_facet | Malebranche, Nicolas 1638-1715 |
author_role | aut |
author_sort | Malebranche, Nicolas 1638-1715 |
author_variant | n m nm |
building | Verbundindex |
bvnumber | BV022282678 |
ctrlnum | (OCoLC)635222799 (DE-599)BVBBV022282678 |
format | Book |
fullrecord | <?xml version="1.0" encoding="UTF-8"?><collection xmlns="http://www.loc.gov/MARC21/slim"><record><leader>01216nam a2200313 cc4500</leader><controlfield tag="001">BV022282678</controlfield><controlfield tag="003">DE-604</controlfield><controlfield tag="005">20070410 </controlfield><controlfield tag="007">t</controlfield><controlfield tag="008">070223s2006 |||| 00||| fre d</controlfield><datafield tag="020" ind1=" " ind2=" "><subfield code="z">2711618665</subfield><subfield code="9">2-7116-1866-5</subfield></datafield><datafield tag="035" ind1=" " ind2=" "><subfield code="a">(OCoLC)635222799</subfield></datafield><datafield tag="035" ind1=" " ind2=" "><subfield code="a">(DE-599)BVBBV022282678</subfield></datafield><datafield tag="040" ind1=" " ind2=" "><subfield code="a">DE-604</subfield><subfield code="b">ger</subfield><subfield code="e">rakwb</subfield></datafield><datafield tag="041" ind1="0" ind2=" "><subfield code="a">fre</subfield></datafield><datafield tag="049" ind1=" " ind2=" "><subfield code="a">DE-29</subfield><subfield code="a">DE-355</subfield></datafield><datafield tag="084" ind1=" " ind2=" "><subfield code="a">5,1</subfield><subfield code="2">ssgn</subfield></datafield><datafield tag="100" ind1="1" ind2=" "><subfield code="a">Malebranche, Nicolas</subfield><subfield code="d">1638-1715</subfield><subfield code="e">Verfasser</subfield><subfield code="0">(DE-588)118576682</subfield><subfield code="4">aut</subfield></datafield><datafield tag="245" ind1="1" ind2="0"><subfield code="a">De la recherche de la vérité</subfield><subfield code="n">1</subfield><subfield code="p">Livres I - III</subfield><subfield code="c">Nicolas Malebranche. Pres., ed. et notes par Jean-Christophe Bardout</subfield></datafield><datafield tag="264" ind1=" " ind2="1"><subfield code="a">Paris</subfield><subfield code="b">Vrin</subfield><subfield code="c">2006</subfield></datafield><datafield tag="300" ind1=" " ind2=" "><subfield code="a">512 S.</subfield></datafield><datafield tag="336" ind1=" " ind2=" "><subfield code="b">txt</subfield><subfield code="2">rdacontent</subfield></datafield><datafield tag="337" ind1=" " ind2=" "><subfield code="b">n</subfield><subfield code="2">rdamedia</subfield></datafield><datafield tag="338" ind1=" " ind2=" "><subfield code="b">nc</subfield><subfield code="2">rdacarrier</subfield></datafield><datafield tag="490" ind1="0" ind2=" "><subfield code="a">Bibliothèque des textes philosophiques</subfield></datafield><datafield tag="700" ind1="1" ind2=" "><subfield code="a">Bardout, Jean-Christophe</subfield><subfield code="e">Sonstige</subfield><subfield code="0">(DE-588)1033937460</subfield><subfield code="4">oth</subfield></datafield><datafield tag="773" ind1="0" ind2="8"><subfield code="w">(DE-604)BV022282674</subfield><subfield code="g">1</subfield></datafield><datafield tag="856" ind1="4" ind2="2"><subfield code="m">V:DE-604</subfield><subfield code="q">application/pdf</subfield><subfield code="u">http://bvbr.bib-bvb.de:8991/F?func=service&doc_library=BVB01&local_base=BVB01&doc_number=015492960&sequence=000001&line_number=0001&func_code=DB_RECORDS&service_type=MEDIA</subfield><subfield code="3">Inhaltsverzeichnis</subfield></datafield><datafield tag="999" ind1=" " ind2=" "><subfield code="a">oai:aleph.bib-bvb.de:BVB01-015492960</subfield></datafield></record></collection> |
id | DE-604.BV022282678 |
illustrated | Not Illustrated |
index_date | 2024-07-02T16:49:53Z |
indexdate | 2024-07-09T20:54:05Z |
institution | BVB |
language | French |
oai_aleph_id | oai:aleph.bib-bvb.de:BVB01-015492960 |
oclc_num | 635222799 |
open_access_boolean | |
owner | DE-29 DE-355 DE-BY-UBR |
owner_facet | DE-29 DE-355 DE-BY-UBR |
physical | 512 S. |
publishDate | 2006 |
publishDateSearch | 2006 |
publishDateSort | 2006 |
publisher | Vrin |
record_format | marc |
series2 | Bibliothèque des textes philosophiques |
spelling | Malebranche, Nicolas 1638-1715 Verfasser (DE-588)118576682 aut De la recherche de la vérité 1 Livres I - III Nicolas Malebranche. Pres., ed. et notes par Jean-Christophe Bardout Paris Vrin 2006 512 S. txt rdacontent n rdamedia nc rdacarrier Bibliothèque des textes philosophiques Bardout, Jean-Christophe Sonstige (DE-588)1033937460 oth (DE-604)BV022282674 1 V:DE-604 application/pdf http://bvbr.bib-bvb.de:8991/F?func=service&doc_library=BVB01&local_base=BVB01&doc_number=015492960&sequence=000001&line_number=0001&func_code=DB_RECORDS&service_type=MEDIA Inhaltsverzeichnis |
spellingShingle | Malebranche, Nicolas 1638-1715 De la recherche de la vérité |
title | De la recherche de la vérité |
title_auth | De la recherche de la vérité |
title_exact_search | De la recherche de la vérité |
title_exact_search_txtP | De la recherche de la vérité |
title_full | De la recherche de la vérité 1 Livres I - III Nicolas Malebranche. Pres., ed. et notes par Jean-Christophe Bardout |
title_fullStr | De la recherche de la vérité 1 Livres I - III Nicolas Malebranche. Pres., ed. et notes par Jean-Christophe Bardout |
title_full_unstemmed | De la recherche de la vérité 1 Livres I - III Nicolas Malebranche. Pres., ed. et notes par Jean-Christophe Bardout |
title_short | De la recherche de la vérité |
title_sort | de la recherche de la verite livres i iii |
url | http://bvbr.bib-bvb.de:8991/F?func=service&doc_library=BVB01&local_base=BVB01&doc_number=015492960&sequence=000001&line_number=0001&func_code=DB_RECORDS&service_type=MEDIA |
volume_link | (DE-604)BV022282674 |
work_keys_str_mv | AT malebranchenicolas delarecherchedelaverite1 AT bardoutjeanchristophe delarecherchedelaverite1 |