Breveter l'humain?:
Gespeichert in:
1. Verfasser: | |
---|---|
Format: | Buch |
Sprache: | French |
Veröffentlicht: |
Paris
L'Harmattan
2006
|
Schriftenreihe: | BibliothèqueS de droit
|
Online-Zugang: | Inhaltsverzeichnis |
Beschreibung: | 186 S. |
ISBN: | 2296015204 9782296015203 |
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adam_text | CECILE OLIVA BREVETER L HUMAIN ? PREFACE DE JOCELYNE CAYRON LHUTNABAN
HOTGRIE KONYVESBOH KOSSUTHL U. 14-16 1053 BUDAPEST L HAIMATTAN 5-7, RAE
DE L ECOELE-POLYTECHNIQUE; 75005 PARIS FRANCE ESPACE L HARMATLAN KINSHASA
L HANNALTAN LLALU FAC.DES SC. SOCIALES, POL. ET VIADEGU ANISTI, 15 ADM.;
BP243, KIN XI 10124 TORINO UNIVCRSILCDEKIIEHAJA-RDC ITAUE L HARMATTAN
BURKINA FASO 1200 LOGTMCNU VILLA 96 12B226O OUAGADOUGOU 12 TABLE DES
MATIERES PRINCIPALES ABREVIATIONS 7 PREFACE 9 INTRODUCTION 11 1ERE
PARTIE . LA REIFICATION DU VIVANT HUMAIN: UNE ALTERNATIVE AE LA BARRIERE
BIOETHIQUE DE LA BREVETABILITE 35 CHAPITRE 1. LA PERSONNIFICATION DU
CORPS HUMAIN, DE SES ELEMENTS ET PRODUITS COMMANDEE PAR LA PROTECTION DE
L ETRE HUMAIN 39 SECTION 1. LA RECONNAISSANCE DE CERTAINS DROITS AE FETTE
HUMAIN AVANT LA NAISSANCE 39 §1. L APPLICATION DE LA THEORIE DE
L ANIMATION AE L EMBRYON ETAU FOETUS 40 A. LA THEORIE DE L ANIMATION
DURANT L ANTIQUITE 41 B . LA THEORIE DE L ANIMATION DU POINT DE VUE
RELIGIEUX 42 §2. LA REGLE INFANS COACEPTUS : LA TECONNAISSANCE DE LA
QUALITE DE SUJET DE DROIT DE L ENFANT AE NAITRE 43 A. LA JUSTIFICATION
PAR L ADAGE DES DROITS DE L ENFANT AE NAITRE44 B. LA JUSTIFICATION PAR
L ADAGE D UNE SANCTION DE L ATTEINTE AUX DROITS DE L ENFANT AE NAITRE 46
§3. L OPPOSITION DES TELIGIONS A LA TEISSCATION DU CORPS HUMAIN DES SA
CONCEPTION 47 A. LES DIFFERENTS MOYENS ADOPTES AU SEIN DE LA CHRETIENTE
AE LA POURSUITE D UNE MEINE FIN PROTECTRICE 47 1. LA POSITION
CONSERVATRICE DE L EGLISE CATHOLIQUE 48 2. LA POSITION PROGRESSISTE DE
L EGLISE PROTESTANTE 50 B. LE CONTROELE RABBINIQUE COMME GARANT DE LA
PROTECTION DE L EMBRYON ET DU FOETUS 51 C. LA SACRALISATION DE LA
CONCEPTION PAR L ISLAM 51 SECTION 2. LE CORPS HUMAIN : PROLONGEMENT DE
LA PETSONNE HUMAINE 53 §1. LA PROTECTION DU CORPS HUMAIN FONDEE
SURLA NOTION DE DIGNITE DE LA PERSONNE HUMAINE. 53 A. LA CONSECRATION
INTERNATIONALE DU PRINCIPE SANS VERITABLE VALEUR CONTRAIGNANTE 54 1. LA
DEKLARATION UNIVERSELLE DES DROITS DE L HOMME ET LES PACTES DES NATIONS
UNIES 54 2. LA DECLARATION SUR LE GENOME HUMAIN 55 B. LA SANCTION DES
ATTEINTES CONTRAIRES AE LA DIGNITE RECOMMANDEE AUX LEGISLATEURS NATIONAUX
PAR LES TEXTES REGIONAUX 57 1. LES NORMES REGIONALES ELABOREES DANS LE
CADRES DES ORGANISATIONS AMERICAINES ET AFRICAINES 57 2. LES NORMES
REGIONALES ELABOREES DANS LE CADRE DU CONSEIL DE L EUROPE 59 L ARTICLE
14 DE CETTE CONVENTION DEFEND EGALEMENT LE PRINCIPE DE DIGNITE 60 C. LA
SANCTION AU PLAN INTERNE DU NON-RESPECT DU CORPS HUMAIN AU NOM DE LA
DIGNITE 61 1. LA VALEUR CONSTITUTIONNELLE DU PRINCIPE DE SAUVEGARDE DE
LA DIGNITE DE LA PERSONNE 61 2. L EXCLUSION DE LA BREVETABILITE DES
INVENTIONS CONTRAIRES AE LA DIGNITE DE LA PERSONNE 62 §2. LE DROIT AU
RESPECT DU CORPS HUMAIN : UN ATTRIBUT DU DROH DE LA PERSONNALITE 63 A.
L INVIOLABILITE DU CORPS HUMAIN 63 1. LE PRINCIPE D INVIOLABILITE DU
CORPS HUMAIN 64 2. LES ATTEINTES CORPORELIES JUSTIFIEES PAR LE
CONSENTEMENT PREALABLE DE LA PERSONNE INTERESSEE 66 B. LA
NON-PATRIMONIAUETE DU CORPS HUMAIN 67 1. LE REJET DE L INDISPONIBILITE
ABSOLUE DU CORPS HUMAIN AU PROFIT D UNE PROTECTION PLUS ADAPTEE 67 2.
LES PRINCIPES DE GRATUITE ET D ANONYMAT: LES COROLLAIRES DU PRINCIPE DE
NON-PATRIMONIALITE DU CORPS HUMAIN 68 C. L EXCLUSION DU CORPS HUMAIN DE
LA BREVETABILITE 70 CHAPITRE 2. LA REIFICATION DES ELEMENTS ET PRODUITS
DU CORPS HUMAIN COMMANDEE PAR LES INTERETS DE LA SCIENCE DE L INDUSTRIE
73 SECTION 1. LA TEIFICATION DE L EMBRYON CONSENTIE PAT LA LOI DU
6AOUET2004 74 §1. L BYPOTHESE DU BEBE-MEDICAMENT. 74 A.
L INSTRUMENTALISATION DE L ENFANT AE NAITRE AU BENEFICE DE SON AINE 75 B.
L INSTRUMENTALISATION DE L ENFANT AE NAITRE AU SERVICE DE L HUMANITE 76
§2. L ADMISSION AE O TRE EXCEPTIONNEL DES RECHERCHES SUR L EMBRYON
HUMAIN. 77 A. LE RISQUE D INSTRUMENTALISATION DE L ENFANT AE NAITRE ISSU
DE L ADMISSION DE LA RECHERCHE SUR L EMBRYON IN VITRO 78 B.
L INSTRUMENTALISATION DE L ETRE HUMAIN AU SEIN DU PROJET PARENTAL 79 C.
L AUTORISATION DE L AGENCE DE LA BIOMEDECINE : LE MIRAGE DU RESPECT
D UNE CERTAINE ETHIQUE 80 SECTION 2. LA REIFICATION DES ELEMENTS ET
PRODUITS DU CORPS HUMAIN LEGITIMEE PAR LE CONSENTEMENT DE LEUR HOETE 81 §
1. LES EFFETS D UNE ACTI ON EN REVENDICATION SUR LES ELEMENTS ET
PRODUITS DU CORPS HUMAIN INTEN TEE DEVANTLA COUR D APPELDE CALIFORNIE.
82 A. UNE ILLUSTRATION DU PROCESSUS DE PATRIMONIALISATION DU CORPS
HUMAIN AUX ETATS-UNIS 83 1. LA PROTECTION DES ELEMENTS ET PRODUITS DU
CORPS HUMAIN PAR LA COMBINAISON DES DROITS DE LA PERSONNALITE ET DE
PROPRIETE 83 2. LA RECENTE CONFIRMATION D UNE PATRIMONIALISATION DU
CORPS HUMAIN ET DE SES ELEMENTS 85 B. TENTATIVE DE TRANSPOSITION DE
L AFFAIRE MOORE EN DROH FRANCAIS 87 §2. LA MISE SURLE MARCHE DU
CORPS JUSTISSEE PAR LE CONSENTEMENT DE LA PERSONNE AE LA RECHERCHE 88 A.
L ORGANISATION DE RECHERCHES BIOMEDICALES SUR L ETRE HUMAIN AVEC OU SANS
BENEFICE INDIVIDUEL DIRECT POUR LE SUJET 89 B. LE BENEFICE DE LA
RECHERCHE AU PROFIT DES CHERCHEURS ET DE L INDUSTRIE PHARMACEUTIQUE 91
SECTION 3. LA MISE SUR LE MARCHE DES ELEMENTS ET PRODUITS DU CORPS
HUMAIN JUSTIFIEE PAR LA RECONNAISSANCE DE LEUR STATUT REEL 93 § 1. LE
STATUT REEL DES EXCREMENTS ET DES EXCRESS ONS 94 A. LE CARACTERE
DETACHABLE DES EXCREMENTS 94 B. LA LIBRE CESSION AE TITRE ONEREUX DES
EXCRETIONS 95 §2. LES DIFFERENTESPRQPOSIUE ONS STATUTAIRES DE LA DOCTRINE
POUR LES DECHETS OPERATOIRES . 96 A. LES RES DERELICTAE 96 B. LES
CHOSES D ORIGINE HUMAINE 97 §3. LE STATUT DE MEDICAMENT. 97 A. LES
PRODUITS DERIVES DU SANG ET DU PLASMA 98 B. LES PRODUITS BIOLOGIQUES
ISSUS D ORGANES, DE TISSUS OU DE CELLULES MODIFIEES AE DES FINS
THERAPEUTIQUES 99 §4. LE STATUT REEL DU MATERIELGENE TIQUE HUMAIN. WO A.
LE MATERIEL GENETIQUE HUMAIN: OBJET POTENTIEL D UN CONTRAT DE DEPOET
100 B. LE GENOME INDIVIDUEL APPROPRIABLE APRES ABANDON 101 C. UNE
ILLUSTRATION : L ASSIMILATION DE LA RELAXINE AE UNE MOLECULE CHIMIQUE 102
SECTION 4. LA QUALIFICATION JURIDIQUE D INVENTION ATTRIBUEE AUX ELEMENTS
ET PRODUITS DU CORPS HUMAIN PAR SIMPLE ISOLATION 104 § 1. LES PREMICES
DU DEBAT SUR LA BREVETABILITE D UN GENE EN TANTQUE TEL DEVANTL OEB. 105
A. LA TENTATIVE D OBTENTION DE BREVET SUR DES SEQUENCES PARTIELLES DE
GENES DE FONCTION INCONNUE 105 B. LA TENTATIVE DE CLARIFICATION DU DEBAT
PAR L INTERVENTION DE LA DIRECTIVE 98/44/CE 106 1. LA REVENDICATION DU
RESPECT DU PROGRES SCIENTIFIQUE.. 106 2. LA JUSTIFICATION DE L ACTIVITE
INVENTIVE PAR SIMPLE ISOLATION DES ELEMENTS DU CORPS HUMAIN 107 §2. LA
CONFRONTATION DES NOTIONS D INVENTI ON ET DE DECOUVERTE EN DROH DES
BREVETS AU SEIN DE LA DIRECTIVE 98/44/CE 108 A. L INTERVENTION DE
L HOMME : LE POINT DE RENCONTRE DE L INVENTION ET DE LA DECOUVERTE 109
B. LA RESISTANCE NATIONALE FACE AE UNE TRANSPOSITION ACCORDANT LA
BREVETABILITE DES ELEMENTS ISOLES DU CORPS HUMAIN 110 §3. L IGNORANCE
FEINTE PAR LES AUTEURS DE LA DIRECTIVE DU CARACTERE POTENTIELLEMENT
SQUELETTIQUE DE L ACTIVITE INVENTIVE. 112 A. LA VOLONTE DES AUTEURS DE
LA DIRECTIVE DE PROTEGER LES INTERETS DES CHERCHEURS ET DE L INDUSTRIE
PHARMACEUTIQUE 112 B. LA SUPREMATIE DE LA CONDITION D APPLICATION
INDUSTRIELLE 114 PARTIE . LA RECHERCHE D UN CONSENSUS PAR L ADAPTATION
DU SYSTEME CLASSIQUE DU DROIT DES BREVETS 117 CHAPITRE 1. LA
TRANSPOSITION DE LA DIRECTIVE N 98/44/CE 121 SECTION 1. LA
TRANSPOSITION DES DISPOSITIONS FIDELES AU CONTENU DE LA DIRECTIVE 121
§1. LE RAPPELDES CONDITI ONS DE BREVETABILITE APPLIQUEES AUX ELEMENTS ET
PRODUITS DU CORPS HUMAIN 122 A. L INTERPRETATION DE LA CONDITION DE
NOUVEAUTE APPLIQUEE AU VIVANT HUMAIN 122 1. L EXCLUSION DE LA
BREVETABILITE D UNE SECONDE APPLICATION THERAPEUTIQUE 122 2. LA
NOUVEAUTE DE L INVENTION AU REGARD DE L ETAT DE LA TECHNIQUE 123 A)
L ETAT DE LA TECHNIQUE DEFINI AU REGARD DE CE QUI A ETE RENDU ACCESSIBLE
AU PUBLIC 123 B) LE NECESSAIRE MAINTIEN DU SECRET AUTOUR DE L INVENTION
AVANT LE DEPOET D UNE DEMANDE DE BREVET 124 B. L INTERPRETATION DE LA
CONDITION D ACTIVITE INVENTIVE APPLIQUEE AU VIVANT HUMAIN 125 1. LA
QUALIFICATION D HOMME DU METIER ATTRIBUEE AUX SCIENTIFIQUES SPECIALISES
125 2. UNE SOLUTION TECHNIQUE AE UN PROBLEMC TECHNIQUE 125 C.
L INTERPRETATION DE LA CONDITION D APPLICATION INDUSTRIELLE APPLIQUEE AU
VIVANT HUMAIN 126 §2. L AVENEMENT DE LA DIMENSION ETHIQUE AU SEIN DES
CONDITIONS DE BREVETABILITE DU VIVANT HUMAIN 127 A. L INSERTION DE LA
NOTION DE DIGNITE 127 B. L ORDRE PUBLIC ET LES BONNES MSURS 128 § 3. LES
CONDITIONS DE VALIDITE DU DEPOET DE LA DEMANDE DE BREVET SUR UNE MAUERE
BIOLOGIQUE. 129 A. LE DEPOET DE LA MATIERE BIOLOGIQUE AE TITRE DE
DESCRIPTION 129 B. L ETENDUE DU DROIT DE REVENDICATION SUR UN BREVET
RELATIF AE UNE MATIERE BIOLOGIQUE 130 §4. L EXTENSION DU CHAMP
D EXPLOITATION DU BREVET PORTANT SURLE VIVANT HUMAIN 131 A. LA
SIMPLIFICATION DE L OCTROI DE LICENCE DE DEPENDANCE SUR DES PRODUITS DE
SANTE 132 B. L EXTENSION DE POBJET DES LICENCES D OFFICE DANS I INTERET
DE LA SANTE PUBLIQUE 133 1. LE JEU DE L EXTENSION SOUMIS AE LA CONDITION
D UN ACCES AUX PRODUITS EN CAUSE EN QUANTITE OU QUALITE SUEFFISANTES
OU AE DES PRIX ANORMALEMENT ELEVES 133 2. LA PROTECTION DU JEU DE LA
CONCURRENCE ET SES EXCES... 135 SECTION 2. LES DIVERGENCES CONSTANTES
ENTRE LES LOI DE TRANSPOSITION ET LE CONTENU INITIAL DE LA DIRECTIVE 136
§1. LES RESTRICDONS ISSUES DE LA LOI DU 6 AOUET 2004 AE LA BREVETABILITE
INITIALE DU CORPS HUMAIN 137 A. LES CONDITIONS DE LA LIMITATION DE LA
BREVETABILITE A 1 APPLICATION TECHNIQUE D UNE FONCTION D UN CLEMENT
DU CORPS HUMAIN 137 1. LA BREVETABILITE DES ELEMENTS DU CORPS HUMAIN
CONTRADICTOIREMENT SOUTENUE PAR LE LEGISLATEUR FRANCAIS 138 2. LA
DISPARITION DE LA DISTINCTION ENTRE L ELEMENT ISOLE DU CORPS ET LA
SIMPLE DECOUVERTE 139 B. L EXCLUSION DE LA BREVETABILITE DES SEQUENCES
TOTALES OU PARTIELLES D UN GENE PRISES EN TANT QUE TELLES 140 1.
L ELARGISSEMENT POSSIBLE DU CHAMP DE L EXCLUSION EN L ABSENCE DE
REFERENCE AE L ORIGINE DES GENES 141 2. LA REDUCTION DE LA PROTECTION DU
PREMIER BREVET AU BENEFICE DU SECOND SUR UNE MEME SEQUENCE GENIQUE
142 §2. L AFFAIBLISSEMENT DE LA PROTECTION INITIALE DE LA MATIERE
VIVANTE ISSU DE LA LOI DU 8 DECEMBRE 2004 143 A. LA REGRESSION DE LA
PROTECTION DU DROIT DES BREVETS PAR UNE DEFINITION TRONQUEE DE LA
MATIERE BIOLOGIQUE 143 B. LA LIMITATION DE LA PROTECTION DE LA MATIERE
BIOLOGIQUE AE CELLE CONTENANT UNE INFORMATION GENETIQUE AE LA FONCTION
INDIQUEE I 44 CHAPITRE 2. LA NECESSAIRE RECHERCHE D UN EQUILIBRE
JURIDIQUE ENTRE DES INTERETS ANTINOMIQUES 149 SECTION 1. LA NECESSAIRE
PROTECTION DES INDUSTRIES PHATMACEUTIQUES DANS I INTERET DU MATCHE
EUTOPEEN 150 § 1. L ADAPTATION DU DROIT DES BREVETS EN FAVEUR DE
L INDUSTRIE AU REGARD DES EN/EUX ECONOMIQUES EUROPEENS... 151 A. LES
CAUSES DU DEVELOPPEMENT DU MARCHE DES INVENTIONS BIOTECHNOLOGIQUES * 151
B. L ADAPTATION NECESSAIRE DU SYSTEME JURIDIQUE AUX EXIGENCES DU MARCHE
152 §2. LES RISQUES DE L ABSENCE D BARMONISATION DES DROITS DES BREVETS
NATIONAUX AE L EGARD DE LA POLITIQUE DE L OEB.... 154 A. LES POSSIBLES
DIVERGENCES D INTERPRETATION DE LA DEMANDE DE BREVET ENTRE L OEB ET LES
ETATS VISES 154 B. UN DROIT COMMUNAUTAIRE UNIFIE POUR UNE JURISPRUDENCE
EUROPEENNE RESPECTEE 156 SECTION 2. LA NECESSAIRE PREDOMINANCE DE L ETRE
HUMAIN SUR LES INTETETS PUREMENT PECUNIAKES DE L INDUSTRIE 157 § 1. LES
INSTANCES ETHIQUES INDEPENDANTES CBARGEES D EMETTRE DE SIMPLES AVIS OU
RECOMMANDATIONS 158 A. LE GROUPE EUROPEEN D ETHIQUE DES SCIENCES ET DES
NOUVELLES TECHNOLOGIES DE LA COMMISSION 158 B. LE COMITE CONSULTATIF
NATIONAL D ITHIQUE 159 §2. L ATTRIBUTION SOUHAITABLE D UN CARACTERE
OBLIGATOIRE AUX AVIS DES INSTANCES EUROPEENNES ETFRANCAISES 161 A. LA
RECENTE CREATION D UN ETABLISSEMENT PUBLIC ADMINISTRATTF SOUS
L APPELLATION D AGENCE DE LA BIOMEDECINE 162 B. LES EXCES POTENTIELS
DU DROIT JUGULES PAR PETHIQUE 163 SECTION 3. LA MISE EN PLACE D UN DTOIT
SUI GENERIS : UNE ALTERNATIVE AUX DIFFICULTES D INTERPRETATION DE LA
DIRECTIVE 98/44/CE 165 § 1. L EXEMPLE REUSSI DU DROIT SUI GENERIS
APPLIQUE AUX BASES DE DONNEES 165 A. LA MISE EN CEUVRE D UN DROIT SUI
GENERIS RESULTANT DE L ESSOR DES NOUVELLES TECHNOLOGIES 166 B. LES
CONDITIONS D APPLICATION DU DROIT D AUTEUR INADAPTEES K L ENSEMBLE DES
BASES DE DONNEES 168 1. LA NECESSAIRE PRISE EN COMPTE DU CARACTERE
SQUELETTIQUE DE LA CONDITION D ORIGINALITE 168 2. LE MAINTIEN DE LA
PROTECTION DU DROIT D AUTEUR POUR LES BASES DE DONNEES ORIGINALES 170 3.
LA PROTECTION SUI GENERIS DES BASES DE DONNEES NON ORIGINALES SOUS
CONDITION D INVESTISSEMENTS SUBSTANTIELS 171 §2. L EXEMPLE DES BASES DE
DONNEES TRANSPOSABLE AUX INVENTIONS SUR LES ELEMENTS ET PRODUITS DU
CORPS HUMAIN.... 173 A. LA NECESSAIRE PRISE EN COMPTE DU CARACTERE
SQUELETTIQUE DE LA CONDITION D ACTIVITE INVENTIVE APPLIQUEE AUX
ELEMENTS ET PRODUITS ISOLES DU CORPS HUMAIN 174 B. LE MAINTIEN DE LA
PROTECTION DU DROIT DES BREVETS POUR LES INVENTIONS EFFECTIVES 178
C. LA PROTECTION SUI GENERIS DES INVESTISSEMENTS ENGAGES POUR LA
RECHERCHE ET LA PRODUCTION D ELEMENTS ISOLES DU CORPS HUMAIN 179 1. LA
CONDITION D INVESTISSEMENTS SUBSTANTIELS INJECTES DANS LES
BIOTECHNOLOGIES 180 2. LA CONDITION DE RECHERCHE DE I INTERET DE LA
SANTE PUBLIQUE 182 3. L AVIS OBLIGATOIRE D UNE INSTANCE ETHIQUE 182
CONCLUSION 185 INDEX 187 BIBLIOGRAPHIE 193 TABLE DES MATIERES 203
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CECILE OLIVA BREVETER L'HUMAIN ? PREFACE DE JOCELYNE CAYRON LHUTNABAN
HOTGRIE KONYVESBOH KOSSUTHL U. 14-16 1053 BUDAPEST L HAIMATTAN 5-7, RAE
DE L'ECOELE-POLYTECHNIQUE; 75005 PARIS FRANCE ESPACE L'HARMATLAN KINSHASA
L'HANNALTAN LLALU FAC.DES SC. SOCIALES, POL. ET VIADEGU ANISTI, 15 ADM.;
BP243, KIN XI 10124 TORINO UNIVCRSILCDEKIIEHAJA-RDC ITAUE L'HARMATTAN
BURKINA FASO 1200 LOGTMCNU VILLA 96 12B226O OUAGADOUGOU 12 TABLE DES
MATIERES PRINCIPALES ABREVIATIONS 7 PREFACE 9 INTRODUCTION 11 1ERE
PARTIE . LA REIFICATION DU VIVANT HUMAIN: UNE ALTERNATIVE AE LA BARRIERE
BIOETHIQUE DE LA BREVETABILITE 35 CHAPITRE 1. LA PERSONNIFICATION DU
CORPS HUMAIN, DE SES ELEMENTS ET PRODUITS COMMANDEE PAR LA PROTECTION DE
L'ETRE HUMAIN 39 SECTION 1. LA RECONNAISSANCE DE CERTAINS DROITS AE FETTE
HUMAIN AVANT LA NAISSANCE 39 §1. L 'APPLICATION DE LA THEORIE DE
L'ANIMATION AE L'EMBRYON ETAU FOETUS 40 A. LA THEORIE DE L'ANIMATION
DURANT L'ANTIQUITE 41 B . LA THEORIE DE L'ANIMATION DU POINT DE VUE
RELIGIEUX 42 §2. LA REGLE "INFANS COACEPTUS " : LA TECONNAISSANCE DE LA
QUALITE DE " SUJET DE DROIT" DE L'ENFANT AE NAITRE 43 A. LA JUSTIFICATION
PAR L'ADAGE DES DROITS DE L'ENFANT AE NAITRE44 B. LA JUSTIFICATION PAR
L'ADAGE D'UNE SANCTION DE L'ATTEINTE AUX DROITS DE L'ENFANT AE NAITRE 46
§3. L'OPPOSITION DES TELIGIONS A LA TEISSCATION DU CORPS HUMAIN DES SA
CONCEPTION 47 A. LES DIFFERENTS MOYENS ADOPTES AU SEIN DE LA CHRETIENTE
AE LA POURSUITE D'UNE MEINE FIN PROTECTRICE 47 1. LA POSITION
CONSERVATRICE DE L'EGLISE CATHOLIQUE 48 2. LA POSITION PROGRESSISTE DE
L'EGLISE PROTESTANTE 50 B. LE CONTROELE RABBINIQUE COMME GARANT DE LA
PROTECTION DE L'EMBRYON ET DU FOETUS 51 C. LA SACRALISATION DE LA
CONCEPTION PAR L'ISLAM 51 SECTION 2. LE CORPS HUMAIN : PROLONGEMENT DE
LA " PETSONNE HUMAINE " 53 §1. LA PROTECTION DU CORPS HUMAIN FONDEE
SURLA NOTION DE DIGNITE DE LA PERSONNE HUMAINE. 53 A. LA CONSECRATION
INTERNATIONALE DU PRINCIPE SANS VERITABLE VALEUR CONTRAIGNANTE 54 1. LA
DEKLARATION UNIVERSELLE DES DROITS DE L'HOMME ET LES PACTES DES NATIONS
UNIES 54 2. LA DECLARATION SUR LE GENOME HUMAIN 55 B. LA SANCTION DES
ATTEINTES CONTRAIRES AE LA DIGNITE RECOMMANDEE AUX LEGISLATEURS NATIONAUX
PAR LES TEXTES REGIONAUX 57 1. LES NORMES REGIONALES ELABOREES DANS LE
CADRES DES ORGANISATIONS AMERICAINES ET AFRICAINES 57 2. LES NORMES
REGIONALES ELABOREES DANS LE CADRE DU CONSEIL DE L'EUROPE 59 L'ARTICLE
14 DE CETTE CONVENTION DEFEND EGALEMENT LE PRINCIPE DE DIGNITE 60 C. LA
SANCTION AU PLAN INTERNE DU NON-RESPECT DU CORPS HUMAIN AU NOM DE LA
DIGNITE 61 1. LA VALEUR CONSTITUTIONNELLE DU PRINCIPE DE SAUVEGARDE DE
LA DIGNITE DE LA PERSONNE 61 2. L'EXCLUSION DE LA BREVETABILITE DES
INVENTIONS CONTRAIRES AE LA DIGNITE DE LA PERSONNE 62 §2. LE DROIT AU
RESPECT DU CORPS HUMAIN : UN ATTRIBUT DU DROH DE LA PERSONNALITE 63 A.
L'INVIOLABILITE DU CORPS HUMAIN 63 1. LE PRINCIPE D'INVIOLABILITE DU
CORPS HUMAIN 64 2. LES ATTEINTES CORPORELIES JUSTIFIEES PAR LE
CONSENTEMENT PREALABLE DE LA PERSONNE INTERESSEE 66 B. LA
NON-PATRIMONIAUETE DU CORPS HUMAIN 67 1. LE REJET DE L'INDISPONIBILITE
ABSOLUE DU CORPS HUMAIN AU PROFIT D'UNE PROTECTION PLUS ADAPTEE 67 2.
LES PRINCIPES DE GRATUITE ET D'ANONYMAT: LES COROLLAIRES DU PRINCIPE DE
NON-PATRIMONIALITE DU CORPS HUMAIN 68 C. L'EXCLUSION DU CORPS HUMAIN DE
LA BREVETABILITE 70 CHAPITRE 2. LA REIFICATION DES ELEMENTS ET PRODUITS
DU CORPS HUMAIN COMMANDEE PAR LES INTERETS DE LA SCIENCE DE L'INDUSTRIE
73 SECTION 1. LA TEIFICATION DE L'EMBRYON CONSENTIE PAT LA LOI DU
6AOUET2004 74 §1. L'BYPOTHESE DU BEBE-MEDICAMENT. 74 A.
L'INSTRUMENTALISATION DE L'ENFANT AE NAITRE AU BENEFICE DE SON AINE 75 B.
L'INSTRUMENTALISATION DE L'ENFANT AE NAITRE AU SERVICE DE L'HUMANITE 76
§2. L'ADMISSION AE O'TRE EXCEPTIONNEL DES RECHERCHES SUR L'EMBRYON
HUMAIN. 77 A. LE RISQUE D'INSTRUMENTALISATION DE L'ENFANT AE NAITRE ISSU
DE L'ADMISSION DE LA " RECHERCHE " SUR L'EMBRYON IN VITRO 78 B.
L'INSTRUMENTALISATION DE L'ETRE HUMAIN AU SEIN DU PROJET PARENTAL 79 C.
L'AUTORISATION DE L'AGENCE DE LA BIOMEDECINE : LE MIRAGE DU RESPECT
D'UNE CERTAINE ETHIQUE 80 SECTION 2. LA REIFICATION DES ELEMENTS ET
PRODUITS DU CORPS HUMAIN LEGITIMEE PAR LE CONSENTEMENT DE LEUR HOETE 81 §
1. LES EFFETS D'UNE ACTI'ON EN REVENDICATION SUR LES ELEMENTS ET
PRODUITS DU CORPS HUMAIN INTEN TEE DEVANTLA COUR D'APPELDE CALIFORNIE.
82 A. UNE ILLUSTRATION DU PROCESSUS DE PATRIMONIALISATION DU CORPS
HUMAIN AUX ETATS-UNIS 83 1. LA PROTECTION DES ELEMENTS ET PRODUITS DU
CORPS HUMAIN PAR LA COMBINAISON DES DROITS DE LA PERSONNALITE ET DE
PROPRIETE 83 2. LA RECENTE CONFIRMATION D'UNE PATRIMONIALISATION DU
CORPS HUMAIN ET DE SES ELEMENTS 85 B. TENTATIVE DE TRANSPOSITION DE
L'AFFAIRE " MOORE " EN DROH FRANCAIS 87 §2. LA MISE SURLE MARCHE DU
CORPS JUSTISSEE PAR LE CONSENTEMENT DE LA PERSONNE AE LA RECHERCHE 88 A.
L'ORGANISATION DE RECHERCHES BIOMEDICALES SUR L'ETRE HUMAIN AVEC OU SANS
BENEFICE INDIVIDUEL DIRECT POUR LE SUJET 89 B. LE BENEFICE DE LA
RECHERCHE AU PROFIT DES CHERCHEURS ET DE L'INDUSTRIE PHARMACEUTIQUE 91
SECTION 3. LA MISE SUR LE MARCHE DES ELEMENTS ET PRODUITS DU CORPS
HUMAIN JUSTIFIEE PAR LA RECONNAISSANCE DE LEUR STATUT REEL 93 § 1. LE
STATUT REEL DES EXCREMENTS ET DES EXCRESS'ONS 94 A. LE CARACTERE
DETACHABLE DES EXCREMENTS 94 B. LA LIBRE CESSION AE TITRE ONEREUX DES
EXCRETIONS 95 §2. LES DIFFERENTESPRQPOSIUE'ONS STATUTAIRES DE LA DOCTRINE
POUR LES DECHETS " OPERATOIRES ". 96 A. LES " RES DERELICTAE " 96 B. LES
" CHOSES D'ORIGINE HUMAINE " 97 §3. LE STATUT DE MEDICAMENT. 97 A. LES
PRODUITS DERIVES DU SANG ET DU PLASMA 98 B. LES PRODUITS BIOLOGIQUES
ISSUS D'ORGANES, DE TISSUS OU DE CELLULES MODIFIEES AE DES FINS
THERAPEUTIQUES 99 §4. LE STATUT REEL DU MATERIELGENE'TIQUE HUMAIN. WO A.
LE MATERIEL GENETIQUE HUMAIN: OBJET POTENTIEL D'UN " CONTRAT DE DEPOET "
100 B. LE GENOME INDIVIDUEL APPROPRIABLE APRES ABANDON 101 C. UNE
ILLUSTRATION : L'ASSIMILATION DE LA RELAXINE AE UNE MOLECULE CHIMIQUE 102
SECTION 4. LA QUALIFICATION JURIDIQUE D'INVENTION ATTRIBUEE AUX ELEMENTS
ET PRODUITS DU CORPS HUMAIN PAR SIMPLE ISOLATION 104 § 1. LES PREMICES
DU DEBAT SUR LA BREVETABILITE D'UN GENE "EN TANTQUE TEL"DEVANTL'OEB. 105
A. LA TENTATIVE D'OBTENTION DE BREVET SUR DES SEQUENCES PARTIELLES DE
GENES DE FONCTION INCONNUE 105 B. LA TENTATIVE DE CLARIFICATION DU DEBAT
PAR L'INTERVENTION DE LA DIRECTIVE 98/44/CE 106 1. LA REVENDICATION DU
RESPECT DU PROGRES SCIENTIFIQUE. 106 2. LA JUSTIFICATION DE L'ACTIVITE
INVENTIVE PAR SIMPLE ISOLATION DES ELEMENTS DU CORPS HUMAIN 107 §2. LA
CONFRONTATION DES NOTIONS D'INVENTI'ON ET DE DECOUVERTE EN DROH DES
BREVETS AU SEIN DE LA DIRECTIVE 98/44/CE 108 A. L'INTERVENTION DE
L'HOMME : LE POINT DE RENCONTRE DE L'INVENTION ET DE LA DECOUVERTE 109
B. LA RESISTANCE NATIONALE FACE AE UNE TRANSPOSITION ACCORDANT LA
BREVETABILITE DES ELEMENTS ISOLES DU CORPS HUMAIN 110 §3. L'IGNORANCE
FEINTE PAR LES AUTEURS DE LA DIRECTIVE DU CARACTERE POTENTIELLEMENT"'
SQUELETTIQUE " DE L'ACTIVITE INVENTIVE. 112 A. LA VOLONTE DES AUTEURS DE
LA DIRECTIVE DE PROTEGER LES INTERETS DES CHERCHEURS ET DE L'INDUSTRIE
PHARMACEUTIQUE 112 B. LA SUPREMATIE DE LA CONDITION D'APPLICATION
INDUSTRIELLE 114 PARTIE . LA RECHERCHE D'UN CONSENSUS PAR L'ADAPTATION
DU SYSTEME CLASSIQUE DU DROIT DES BREVETS 117 CHAPITRE 1. LA
TRANSPOSITION DE LA DIRECTIVE N 98/44/CE 121 SECTION 1. LA
TRANSPOSITION DES DISPOSITIONS FIDELES AU CONTENU DE LA DIRECTIVE 121
§1. LE RAPPELDES CONDITI'ONS DE BREVETABILITE APPLIQUEES AUX ELEMENTS ET
PRODUITS DU CORPS HUMAIN 122 A. L'INTERPRETATION DE LA CONDITION DE
NOUVEAUTE APPLIQUEE AU VIVANT HUMAIN 122 1. L'EXCLUSION DE LA
BREVETABILITE D'UNE SECONDE APPLICATION THERAPEUTIQUE 122 2. LA
NOUVEAUTE DE L'INVENTION AU REGARD DE L'ETAT DE LA TECHNIQUE 123 A)
L'ETAT DE LA TECHNIQUE DEFINI AU REGARD DE CE QUI A ETE RENDU ACCESSIBLE
AU PUBLIC 123 B) LE NECESSAIRE MAINTIEN DU SECRET AUTOUR DE L'INVENTION
AVANT LE DEPOET D'UNE DEMANDE DE BREVET 124 B. L'INTERPRETATION DE LA
CONDITION D'ACTIVITE INVENTIVE APPLIQUEE AU VIVANT HUMAIN 125 1. LA
QUALIFICATION D'HOMME DU METIER ATTRIBUEE AUX SCIENTIFIQUES SPECIALISES
125 2. UNE SOLUTION TECHNIQUE AE UN PROBLEMC TECHNIQUE 125 C.
L'INTERPRETATION DE LA CONDITION D'APPLICATION INDUSTRIELLE APPLIQUEE AU
VIVANT HUMAIN 126 §2. L'AVENEMENT DE LA DIMENSION ETHIQUE AU SEIN DES
CONDITIONS DE BREVETABILITE DU VIVANT HUMAIN 127 A. L'INSERTION DE LA
NOTION DE DIGNITE 127 B. L'ORDRE PUBLIC ET LES BONNES MSURS 128 § 3. LES
CONDITIONS DE VALIDITE DU DEPOET DE LA DEMANDE DE BREVET SUR UNE MAUERE
BIOLOGIQUE. 129 A. LE DEPOET DE LA MATIERE BIOLOGIQUE AE TITRE DE
DESCRIPTION 129 B. L'ETENDUE DU DROIT DE REVENDICATION SUR UN BREVET
RELATIF AE UNE MATIERE BIOLOGIQUE 130 §4. L'EXTENSION DU CHAMP
D'EXPLOITATION DU BREVET PORTANT SURLE VIVANT HUMAIN 131 A. LA
SIMPLIFICATION DE L'OCTROI DE LICENCE DE DEPENDANCE SUR DES PRODUITS DE
SANTE 132 B. L'EXTENSION DE POBJET DES LICENCES D'OFFICE DANS I'INTERET
DE LA SANTE PUBLIQUE 133 1. LE JEU DE L'EXTENSION SOUMIS AE LA CONDITION
D'UN ACCES AUX PRODUITS EN CAUSE " EN QUANTITE OU QUALITE SUEFFISANTES "
OU " AE DES PRIX ANORMALEMENT ELEVES " 133 2. LA PROTECTION DU JEU DE LA
CONCURRENCE ET SES EXCES. 135 SECTION 2. LES DIVERGENCES CONSTANTES
ENTRE LES LOI DE TRANSPOSITION ET LE CONTENU INITIAL DE LA DIRECTIVE 136
§1. LES RESTRICDONS ISSUES DE LA LOI DU 6 AOUET 2004 AE LA BREVETABILITE
INITIALE DU CORPS HUMAIN 137 A. LES CONDITIONS DE LA LIMITATION DE LA
BREVETABILITE A 1' " APPLICATION TECHNIQUE D'UNE FONCTION " D'UN CLEMENT
DU CORPS HUMAIN 137 1. LA BREVETABILITE DES ELEMENTS DU CORPS HUMAIN
CONTRADICTOIREMENT SOUTENUE PAR LE LEGISLATEUR FRANCAIS 138 2. LA
DISPARITION DE LA DISTINCTION ENTRE L'ELEMENT ISOLE DU CORPS ET LA
SIMPLE DECOUVERTE 139 B. L'EXCLUSION DE LA BREVETABILITE DES " SEQUENCES
TOTALES OU PARTIELLES D'UN GENE PRISES EN TANT QUE TELLES " 140 1.
L'ELARGISSEMENT POSSIBLE DU CHAMP DE L'EXCLUSION EN L'ABSENCE DE
REFERENCE AE L'ORIGINE DES GENES 141 2. LA REDUCTION DE LA PROTECTION DU
PREMIER BREVET AU BENEFICE DU SECOND SUR UNE MEME " SEQUENCE GENIQUE "
142 §2. L'AFFAIBLISSEMENT DE LA PROTECTION INITIALE DE LA MATIERE
VIVANTE ISSU DE LA LOI DU 8 DECEMBRE 2004 143 A. LA REGRESSION DE LA
PROTECTION DU DROIT DES BREVETS PAR UNE DEFINITION TRONQUEE DE LA "
MATIERE BIOLOGIQUE " 143 B. LA LIMITATION DE LA PROTECTION DE LA MATIERE
BIOLOGIQUE AE CELLE CONTENANT UNE INFORMATION GENETIQUE AE " LA FONCTION
INDIQUEE" I 44 CHAPITRE 2. LA NECESSAIRE RECHERCHE D'UN EQUILIBRE
JURIDIQUE ENTRE DES INTERETS ANTINOMIQUES 149 SECTION 1. LA NECESSAIRE
PROTECTION DES INDUSTRIES PHATMACEUTIQUES DANS I'INTERET DU MATCHE
EUTOPEEN 150 § 1. L'ADAPTATION DU DROIT DES BREVETS EN FAVEUR DE
L'INDUSTRIE AU REGARD DES EN/EUX ECONOMIQUES EUROPEENS. 151 A. LES
CAUSES DU DEVELOPPEMENT DU MARCHE DES INVENTIONS BIOTECHNOLOGIQUES * 151
B. L'ADAPTATION NECESSAIRE DU SYSTEME JURIDIQUE AUX EXIGENCES DU MARCHE
152 §2. LES RISQUES DE L'ABSENCE D'BARMONISATION DES DROITS DES BREVETS
NATIONAUX AE L'EGARD DE LA POLITIQUE DE L'OEB. 154 A. LES POSSIBLES
DIVERGENCES D'INTERPRETATION DE LA DEMANDE DE BREVET ENTRE L'OEB ET LES
ETATS VISES 154 B. UN DROIT COMMUNAUTAIRE UNIFIE POUR UNE JURISPRUDENCE
EUROPEENNE RESPECTEE 156 SECTION 2. LA NECESSAIRE PREDOMINANCE DE L'ETRE
HUMAIN SUR LES INTETETS PUREMENT PECUNIAKES DE L'INDUSTRIE 157 § 1. LES
INSTANCES ETHIQUES INDEPENDANTES CBARGEES D'EMETTRE DE SIMPLES AVIS OU
RECOMMANDATIONS 158 A. LE GROUPE EUROPEEN D'ETHIQUE DES SCIENCES ET DES
NOUVELLES TECHNOLOGIES DE LA COMMISSION 158 B. LE COMITE CONSULTATIF
NATIONAL D'ITHIQUE 159 §2. L'ATTRIBUTION SOUHAITABLE D'UN CARACTERE
OBLIGATOIRE AUX AVIS DES INSTANCES EUROPEENNES ETFRANCAISES 161 A. LA
RECENTE CREATION D'UN ETABLISSEMENT PUBLIC ADMINISTRATTF SOUS
L'APPELLATION D'" AGENCE DE LA BIOMEDECINE " 162 B. LES EXCES POTENTIELS
DU DROIT JUGULES PAR PETHIQUE 163 SECTION 3. LA MISE EN PLACE D'UN DTOIT
SUI GENERIS : UNE ALTERNATIVE AUX DIFFICULTES D'INTERPRETATION DE LA
DIRECTIVE 98/44/CE 165 § 1. L'EXEMPLE REUSSI DU DROIT SUI GENERIS
APPLIQUE AUX BASES DE DONNEES 165 A. LA MISE EN CEUVRE D'UN DROIT SUI
GENERIS RESULTANT DE L'ESSOR DES NOUVELLES TECHNOLOGIES 166 B. LES
CONDITIONS D'APPLICATION DU DROIT D'AUTEUR INADAPTEES K L'ENSEMBLE DES
BASES DE DONNEES 168 1. LA NECESSAIRE PRISE EN COMPTE DU CARACTERE "
SQUELETTIQUE " DE LA CONDITION D'ORIGINALITE 168 2. LE MAINTIEN DE LA
PROTECTION DU DROIT D'AUTEUR POUR LES BASES DE DONNEES ORIGINALES 170 3.
LA PROTECTION SUI GENERIS DES BASES DE DONNEES NON ORIGINALES SOUS
CONDITION D'INVESTISSEMENTS SUBSTANTIELS 171 §2. L'EXEMPLE DES BASES DE
DONNEES TRANSPOSABLE AUX INVENTIONS SUR LES ELEMENTS ET PRODUITS DU
CORPS HUMAIN. 173 A. LA NECESSAIRE PRISE EN COMPTE DU CARACTERE "
SQUELETTIQUE " DE LA CONDITION D'ACTIVITE INVENTIVE APPLIQUEE AUX
ELEMENTS ET PRODUITS ISOLES DU CORPS HUMAIN 174 B. LE MAINTIEN DE LA
PROTECTION DU DROIT DES BREVETS POUR LES " INVENTIONS " EFFECTIVES 178
C. LA PROTECTION SUI GENERIS DES INVESTISSEMENTS ENGAGES POUR LA
RECHERCHE ET LA PRODUCTION D'ELEMENTS ISOLES DU CORPS HUMAIN 179 1. LA
CONDITION D'INVESTISSEMENTS SUBSTANTIELS INJECTES DANS LES
BIOTECHNOLOGIES 180 2. LA CONDITION DE RECHERCHE DE I'INTERET DE LA
SANTE PUBLIQUE 182 3. L'AVIS OBLIGATOIRE D'UNE INSTANCE ETHIQUE 182
CONCLUSION 185 INDEX 187 BIBLIOGRAPHIE 193 TABLE DES MATIERES 203 |
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